Le Kultar entra dans la salle, et y déposa un lambeau en papier sur lequel était inscrite son histoire.
L’histoire d’un Kultar
Je suis Draz, un fier combattant Kultar ! Mes amis me surnomment « Pafuté ».
Chapitre 1 : Le commencement du début
Etant née de parents inconnus, mon passé fut floue mais je voulais chercher mes origines, mes racines et le but de mon existence...J’ai retourné les terres, en quête de mes géniteurs et je suis même parvenu au village voisin ! La route avait été longue et périlleuse, des porcs enragés trainaient et je devais me détourner de ma destination. Ces petites bêtes démoniaques peu impressionnantes par la taille mais on sentait l’aura de puanteur qui émanait de leur derrière faisant ainsi reculer n’importe qui.
Des semaines passèrent, et mon subconscient ne parvint pas à trouver un moyen de braver ces porcs, puisque ce patelin n’était accessible que par l’emprunt de ce chemin boueux.
Alors, j’eus une idée de génie, je décidai donc de faire demi-tour, d’embarquer au port de mon village natal et de faire escale en traversant le rectangle des bramudes, personne n’en était sortit vivant mais le choix n’était pas très compliqué ! Soit affronter une bande de porcs ou soit traverser un petit bout de mer.
Une fois élancé sur un voilier construit de mes mains et d’un bois solide, trouvé dans la baie de la mite, je fus rapidement confronté à des ouragans. Je fus surpris, on pourrait même dire éberlué, mon voilier fit volte-face sur une petite secousse maritime et se détacha en une dizaine de rondins de bois. J’étais alors en mer accroché à une planche que je tenais fortement, mais la nuit tomba aussi vite que la fatigue…
[V]Draz l'intrépide ! [Achevé]
[V]Draz l'intrépide ! [Achevé]
Dernière modification par Draz le 18 janv. 2010, 20:29, modifié 1 fois.
Re: Draz l'intrépide !
Chapitre 2 :L’arrivé du départ
J’ouvris mes yeux éblouis par le soleil, une brise douce ondulait mes cheveux soyeux, entouré de jolies kultares.
A ce moment là, un problème se posa : Je suis entièrement chauve ! Alors, les cheveux et….
Une vague s’écrasai de tout son long sur mon corps, c’est alors que je fus réveillé. Je n’avais que mes yeux pour pleurer…rien de ce que j’avais imaginé n’était réel. Mais je souhaitais fortement que cela se produise ! L’imagination est un faux semblant qui fait perdurer mon âme dans ces rêves attractifs et soudoyant un être malin et plein de jugeote tels que moi !
J’eus alors une idée encore plus géniale que les autres ! Je décidai d’apprendre les bases de la magie pour que je jouisse pleinement de ce songe. Il se trouvait que j’avais fait l’acquisition d’un parchemin aux dés il y a quelques semaines de cela. J’appris donc à formuler et mettre en œuvre des sorts mineurs.
J’avais alors fait mon arrivé sur une île pour prendre un nouveau départ !
J’ouvris mes yeux éblouis par le soleil, une brise douce ondulait mes cheveux soyeux, entouré de jolies kultares.
A ce moment là, un problème se posa : Je suis entièrement chauve ! Alors, les cheveux et….
Une vague s’écrasai de tout son long sur mon corps, c’est alors que je fus réveillé. Je n’avais que mes yeux pour pleurer…rien de ce que j’avais imaginé n’était réel. Mais je souhaitais fortement que cela se produise ! L’imagination est un faux semblant qui fait perdurer mon âme dans ces rêves attractifs et soudoyant un être malin et plein de jugeote tels que moi !
J’eus alors une idée encore plus géniale que les autres ! Je décidai d’apprendre les bases de la magie pour que je jouisse pleinement de ce songe. Il se trouvait que j’avais fait l’acquisition d’un parchemin aux dés il y a quelques semaines de cela. J’appris donc à formuler et mettre en œuvre des sorts mineurs.
J’avais alors fait mon arrivé sur une île pour prendre un nouveau départ !
Dernière modification par Draz le 13 janv. 2010, 10:01, modifié 1 fois.
" C'est une grande misère que de n'avoir pas assez d'esprit pour bien parler, ni assez de jugement pour se taire. "
Re: Draz l'intrépide !
Chapitre 3 : La découverte de l’inconnu
J’eus la sage décision, d’utiliser mes jambes comme objet de transport pour faire connaissance avec cette terre, dont le mystère de l’inconnu qui me rendait curieux de découvrir l’imprévisible… (Je suis désolé, sur ce passage j’ai perdu connaissance, sans doute mon intelligence était mis trop rudement à l’épreuve).
Je marchai, marchai encore ! Jusqu'à ce que mes membres inférieurs ne puissent me porter. Je m’effondrai sur mes deux genoux, épuisé…
A mon réveil, j’étais allongé sur un tas de feuilles, douillet d’ailleurs. Je me levai avec une précision à en couper le souffle, mon pied était parallèle à l’autre. Une hutte si parfaitement décoré, on sentait l’argent coulé à flot !
Sans perdre un instant, je me précipitais vers la sortie...ou l’entrée...qui donnait sur une forêt, je fus interpellé par une voix rauque. C’était, sans doute, le propriétaire de cette habitation. Je ne fis aucune halte et je continuais mon chemin vers l’ombre de ces arbres. Je m’enfonçais dedans, aussi vite que je pus.
Je pensais être tranquille, qu’il fallut que je brave un autre grand danger ! Je fis la rencontre de porcs, ils avaient l’air aussi féroce les uns que les autres. Je me détournais donc de ma destination une nouvelle fois.
Je trainais...mes jambes faisaient pâle-figure, c’est à ce moment là que l’espoir fit partis de ma route, j’étais à l’abord d’un village doté d’un port maritime.
Je décidai donc d’attraper une barque et de rattraper par la mer mon chemin auparavant entrepris. En route vers le rectangle des bramudes !
J’eus la sage décision, d’utiliser mes jambes comme objet de transport pour faire connaissance avec cette terre, dont le mystère de l’inconnu qui me rendait curieux de découvrir l’imprévisible… (Je suis désolé, sur ce passage j’ai perdu connaissance, sans doute mon intelligence était mis trop rudement à l’épreuve).
Je marchai, marchai encore ! Jusqu'à ce que mes membres inférieurs ne puissent me porter. Je m’effondrai sur mes deux genoux, épuisé…
A mon réveil, j’étais allongé sur un tas de feuilles, douillet d’ailleurs. Je me levai avec une précision à en couper le souffle, mon pied était parallèle à l’autre. Une hutte si parfaitement décoré, on sentait l’argent coulé à flot !
Sans perdre un instant, je me précipitais vers la sortie...ou l’entrée...qui donnait sur une forêt, je fus interpellé par une voix rauque. C’était, sans doute, le propriétaire de cette habitation. Je ne fis aucune halte et je continuais mon chemin vers l’ombre de ces arbres. Je m’enfonçais dedans, aussi vite que je pus.
Je pensais être tranquille, qu’il fallut que je brave un autre grand danger ! Je fis la rencontre de porcs, ils avaient l’air aussi féroce les uns que les autres. Je me détournais donc de ma destination une nouvelle fois.
Je trainais...mes jambes faisaient pâle-figure, c’est à ce moment là que l’espoir fit partis de ma route, j’étais à l’abord d’un village doté d’un port maritime.
Je décidai donc d’attraper une barque et de rattraper par la mer mon chemin auparavant entrepris. En route vers le rectangle des bramudes !
" C'est une grande misère que de n'avoir pas assez d'esprit pour bien parler, ni assez de jugement pour se taire. "
Re: Draz l'intrépide !
Chapitre 4 : Le mystère
Une tempête s’annonça, mon expérience le prédisait ! J’apercevais de plus en plus de vagues et de plus en plus hautes ! Ma destination était la bonne, il me manquait plus qu’a traverser le rectangle des bramudes, cette partie de mer dîtes infranchissable ! A nous deux !
Et encore une fois, j’étais soit trop faible soit pas assez fort ou soit pas le niveau pour ces balades en mer. Ma barque se brisa…emporté par le courant je dérivai je ne sais où accrocher à ma planche.
Je m’échouai sur un banc de sable, avec un soleil qui laissait marmonner quelques ronfleurs.
Une fois debout, après quelques minutes de repos bien mérité, je m’élançai en direction d’un chemin boueux qui amenait bien quelque part. Rien à l’horizon, le calme plat et presque aucune végétation.
Un philosophe [tels que moi] ne pouvait se permettre de se tromper de jugement sur un sujet commun, et j’ai pu en tirer des conclusions hâtives car je crois avoir résolus le mystère de cette île. J’étais sans doute sur la rive des Iriadisans qui se situait complètement à l’opposé de mon village, à quelques mois de marche de là.
Les terres là bas, sont arides et peu pourvus de végétation. Alors, j’ai fais tout de suite le rapprochement. J’étais tout de même sur mes gardes…on ne sait qui traine ici, sans doute des lutins aveuglés par le butin !
Une tempête s’annonça, mon expérience le prédisait ! J’apercevais de plus en plus de vagues et de plus en plus hautes ! Ma destination était la bonne, il me manquait plus qu’a traverser le rectangle des bramudes, cette partie de mer dîtes infranchissable ! A nous deux !
Et encore une fois, j’étais soit trop faible soit pas assez fort ou soit pas le niveau pour ces balades en mer. Ma barque se brisa…emporté par le courant je dérivai je ne sais où accrocher à ma planche.
Je m’échouai sur un banc de sable, avec un soleil qui laissait marmonner quelques ronfleurs.
Une fois debout, après quelques minutes de repos bien mérité, je m’élançai en direction d’un chemin boueux qui amenait bien quelque part. Rien à l’horizon, le calme plat et presque aucune végétation.
Un philosophe [tels que moi] ne pouvait se permettre de se tromper de jugement sur un sujet commun, et j’ai pu en tirer des conclusions hâtives car je crois avoir résolus le mystère de cette île. J’étais sans doute sur la rive des Iriadisans qui se situait complètement à l’opposé de mon village, à quelques mois de marche de là.
Les terres là bas, sont arides et peu pourvus de végétation. Alors, j’ai fais tout de suite le rapprochement. J’étais tout de même sur mes gardes…on ne sait qui traine ici, sans doute des lutins aveuglés par le butin !
" C'est une grande misère que de n'avoir pas assez d'esprit pour bien parler, ni assez de jugement pour se taire. "
Re: Draz l'intrépide !
Chapitre 5 : L’arrivé incongrue
Je continuais ma visite, qui était fort plaisante ! J’empruntai un chemin ardu puisqu’il s’inclinait, sans doute une montagne. Je la grimpai avec assez de facilité, malgré une irritation plantaire, avec des champignons plus qu’odorant. Dans les sentiers du sommet, on pouvait remarquer la vue splendide de ma vision ! Je compris aussi rapidement que je n’étais pas là ou ma philosophie le prétendait…
C’est qu’après réflexion [et surtout la rencontre d’une Kultare que je rencontrai en descendant la montagne] que j’appris le nom de cette friche de terre. Les Landes Eternelles !
Je ne comprenais pas moi ! Si c’est eternel, alors pourquoi t’es vieilles ? Non mais ! Faut pas me prendre pour un idiot !
Draz sortit par la porte d’entrée (Qui est la porte de « sortit » au retour) et la ferma délicatement ! *Vlan*
Je continuais ma visite, qui était fort plaisante ! J’empruntai un chemin ardu puisqu’il s’inclinait, sans doute une montagne. Je la grimpai avec assez de facilité, malgré une irritation plantaire, avec des champignons plus qu’odorant. Dans les sentiers du sommet, on pouvait remarquer la vue splendide de ma vision ! Je compris aussi rapidement que je n’étais pas là ou ma philosophie le prétendait…
C’est qu’après réflexion [et surtout la rencontre d’une Kultare que je rencontrai en descendant la montagne] que j’appris le nom de cette friche de terre. Les Landes Eternelles !
Je ne comprenais pas moi ! Si c’est eternel, alors pourquoi t’es vieilles ? Non mais ! Faut pas me prendre pour un idiot !
Draz sortit par la porte d’entrée (Qui est la porte de « sortit » au retour) et la ferma délicatement ! *Vlan*
" C'est une grande misère que de n'avoir pas assez d'esprit pour bien parler, ni assez de jugement pour se taire. "