L' aventure de Awark

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awark
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Inscription : 18 avr. 2008, 21:37

L' aventure de Awark

Message par awark »

C’est par une longue nuit étoilée, que je me décide à prendre ma plume et un parchemin.
Je vis dans les Landes depuis déjà quelques lunes, maintenant et je ne veux pas prendre le risque d’oublier, je ne veux pas prendre le risque que mes souvenirs partent dans l’oubli des Landes.


Je me nomme Awark fils du grand mage Anuk et de la merveilleuse Amira.
Tous trois vivons très heureux dans une contrée encore inconnue de ces terres.
Là ou le soleil brille, là ou la magie règne en maître, là ou il n’y a que peu de place pour la guerre, mais ou l’amour y vis a chaque pas que l’on fait.


Alors que je me sentais en sécurité, moi qui était entouré d’amour, jamais je n’aurais pu imaginer qu’une telle chose puisse ce passer.

Le soleil se cacha très rapidement, les éclaires faisait rages, le ciel s’assombri comme si un grand danger s’annonçait, comme si le mal prenait vie.
J’étais encore qu’un enfant je venais de fêter mon 10em anniversaires et ne comprenait pas se qui se passa autour de moi. Ma mère me pris la main et me força à sombrer dans une cave sous la maison.
J’entendis des bruits a l’extérieur, les Grands Mages récitait des incantations, qui m’était inconnue, des éclats de lumières jaillissait de partout, et moi….
Oui, moi … était envahi par la peur, pétrifier ne sachant même pas dire un seul mot.


Je sanglotais dans un coin de cette cave, humide et froide, avec seul compagnie un jeune rat.
Je fouillai mes poches et pris un morceau de pain et le déposa par terre afin de pouvoir toucher le rat, il était comme moi, seul, perdu, il s’empressa de venir le chercher, il vient jusque dans ma main sans même avoir une crainte de moi, mais a chaque bruits effroyable, il trembla, et se cacha dans ses petites pattes .
Je le pris doucement et le mit dans ma poche, en espérant que tous ceci n’est qu’un mauvais rêve, que quand je me réveillerais je retrouverais mes parents.


Cela fais déjà quelques jours maintenant que les bruits ne cessent, j’ai envie de sortir afin de vois ce qui s’y passe.
Je pris alors sur moi, je me mis à prier pour avoir du courage et alla vers la porte.
J’entre ouvrit la porte, une forte odeur désagréable entra dans la pièce, et ensuite j’entendis un bruit…comme si un personne gémissait.
De nouveau la peur m’envahi, mon cœur battait au rythme d’une Licornes en pleins galops.


C’est alors que j’entendis des rires et des moqueries qui s’éloignaient dans le froid de la nuit.

J’attendis avant d’ouvrir entièrement la porte.
Je n’en croyais pas mes yeux, toutes cette horreur, ma maison étais couverte de sang, il y avait une odeur insurmontable, une matière vertes et gluante se rependais partout, plus j’avançai et plus j’étais écœuré de se que je voyais.


Soudain, je me mis a crié après mes parents…… mais rien, comme si il ne m’entendait pas. Je courais dans tous les sensés en hurlant leur nom, rien … j’essayai par la télépathie, rien….je couru a l’étage, je ne vis rien.
Je sortie de la maison, des corps, l’odeur putride, du sang il y en avait partout. C’était horrible, jamais je n’avais vu tel désastre.
Je fouillai la grande place de mon village.
Puis… Je me mis à hurler… mes …mes parents étaient là, allongé…leurs corps ensanglanté.
On pouvait lire la terreur sur leurs visages.


Je poussai des hurlements de colère et me mit à courir droit devant moi, sans même me retourné.
Puis épuiser par la fatigue, je tombai a genoux, et pensa que je pouvais laisser le village dans un tel état, je fis donc demi tour, et rentra au village.


Mais le désastre est trop grand, tant de corps.
Je m’assurai que tous étais sans vie, je mis des bois un peu partout dans le village.


J'eus la force de réunir mes parents, ils étaient ensemble, je mis la main de ma mère dans celle de mon père en implorant leurs pardons de ne pas avoir combattu a leurs coté.

Je pris la cape que mon père portais sur lui, et pris le pendentif de ma mère.
Je m’éloignai doucement du village, avec toujours le rat dans ma poches.
Je mis le pendentif a mon cou, la cape sur mes épaules, et cacha mon visage.
Je pris une essence de feu, la fit volée au dessus du village, tous en m’éloignait de celui-ci, l’essence descendis doucement, jusqu'à toucher terres et ainsi brûler le village, afin qu’il se purifie de ce mal.


Les larmes perlant sur mon visage, la rage aux cœurs, je pris le premier bateau venu.

Je ne sais pas ce qui va se passer dans l’avenir pour moi, je ne sais pas si sur cette nouvelle terre qu’on appelle Seridia, sera bonne pour moi et mon ami le rat.

Je sais juste que je dois reprendre ma vie en main, et de part mon jeunes âge, apprendre les coutumes de celui-ci.

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