[V] Histoire d'un Galdur

[Elche]

Mon père veut que je devienne Alchimiste comme lui.
Moi j'veux po. J'veux être un Héros et tuer tout les méchants.

Voila ce que je pensais à l'âge de 7 ans.

J'ai passé mon enfance à courir la région pour ramener à mon père les ingrédients dont il avait besoin.
En hiver je courrai pied nue dans la neige pour trouver un gisement de souffre ou de quartz. Je passais mes soirées dans la chaleur de l'atelier de mon père, observant ces recettes et sa méthode.
L'été arrivé je passais moins de temps chez mes parents. Les ingrédients que mon père été autant de prétexte pour explorer la région.

Je devais avoir 11 ans quand j'ai rencontré un Eldorian.
Je m'été aventurer plus loin que d'habitude et sans m'en rendre compte j'avais franchis la frontière de notre territoire. Nous nous somme regardé un long moment sans savoir que faire. Il été plus vieux que moi de quelques année mais je devais tout de même être légèrement plus grand que lui.
Ne sachant que faire j'ai décidé de lui sauter dessus sans grande conviction. Il fut très surpris mais se défendis du mieux qu'il put. Les coups de poing volaient. Je reçus sont genoux dans l'œil, je ne pouvais plus l'ouvrir mais je devais continuer. Nous avons continué de nous battre jusqu'a épuisement. Le soleil été déjà bas quand, épuisé, nous nous étalâmes sur le dos, les yeux rivé vers le ciel (en l'œil rivé vers le ciel pour moi).
J'avais mal partout mais je ne m'été jamais senti aussi bien, aussi vivant. La nuit commencé à tombé, nous nous somme relevé, nous devions partir.
Je me suis présenté, lui aussi (il s'appel Zuya) et nous nous somme donné rendez-vous le lendemain au même endroit pour remettre cela.
Nous nous somme retrouvé tout les jours, le matin je courrais aussi vite que je pouvais pour récolter ce qu'il me fallait et l'âpres midi nous nous battions jusqu'à la nuit. Nous avions construit des épées en bois et de grossiers boucliers, nous apprenions à nous battre comme le faisait les guerriers de nos villages.
Mes relations avec mes parent été de plus en plus conflictuel.
J'oubliai la moitié des ingrédients de mon père, ma mère se demandé comment je faisais pour déchirer tout mes pantalons.
J’avais une pile de livres indigestes sur les théories de l'alchimie à lire tout les soirées, je le faisais en pensant à ma journée de demain. J'imaginai de nouvelle passe, de nouvelles parades.

Ceci a durée jusqu'a mes 14 ans.

Ces années avait fait de moi un homme plus résistant, plus fort et surtout très rapide.
Le lendemain de mon anniversaire mon père m'à enfermé dans son atelier afin de créer lr nouvel élixir qui ferait de moi un alchimiste. Je n'en sortirais pas avant.
Je me suis longtemps demandé si je devais réaliser cette potion ou m'enfuir.
N'ayant pas trouvé de réponse je me retrouvé la enfermé dans cet atelier avec tout ces bocaux remplis des fleurs que j’avais cueilli, ces peaux d'animaux que j'avais chassé.
Soudain j'ai compris se que je devais faire. Un élixir qui me permettrais de fuir et qui ferait de moi un Alchimiste. Je commençais donc par rédiger une lettre d'adieu a mes parents leur expliquant ma décision.
A 14 ans les apprentis guerriers sont envoyé passé l’hiver dans le grand nord et doivent rapporter un trophée de chasse, je ferais comme eux...
Je passais ensuite les 3 jours suivant à mettre au point un élixir qui me donnerait une vitesse et une endurance suffisante pour rejoindre la cité de pierre blanche, de là commencera mon aventure...

La recette n'été pas simple, je la baptisais Potion d'évasion:
- 1 Fiole vide
- 1 Bière
- 4 Fourrure de castor
- 10 Bouillon blanc
- 10 Achillée

Je laissais donc la recette et ma lettre sur la table aussi qu'une fiole remplie de l'élixir, j'en avais préparé 5 autre que j’emmènerais avec moi.
Ma fuite devait être remarquée de tous.
Une essence volcanique me servirait à faire voler la porte en éclat et avec la vitesse acquis par mon élixir je traversais tout le village sans que personne ne puisse me rattraper.

Voila comment pour moi tout a commencé...

Depuis cette histoire bien des chose sont arrivé dans ma vie mais je vous les raconterait un autre jours…