[V] La jeune Elfe Sathia
Publié : 30 janv. 2009, 14:29
La jeune Sathia regarde son père travailler la terre, simple potier il veille sur elle depuis de nombreuses années Elfiques. Ces yeux or et argent le regarde avec amour, pour garder en elle ce souvenir.
Les étoiles fulgurent depuis la mer enténébrée,
Les cavernes de corail et de perles,
Et la nuit brûle d’un rouge désir
Pour les reins d’une jeune fille dorée.
Ce souvenir qu’elle veux emporté avec elle sur le navire, ce navire qui l’emportera loin des siens. Le baluchon est prêt, elle emportera rien, juste quelques vêtements et un peu d’eau claire pour ce voyage sans retour.
Tu as laissé ta ceinture sur la plage
Et tu t’éloignes du rivage palpitant,
Et les flots ardents s’élancent vers tes parties secrètes
Qui n’ont jamais connu la main d’un amant.
La dernière étreinte, les derniers baisés paternels, un dernier regard et elle franchie le seuil. Des larmes coulent sur ça peau nacrée, mais il faut être forte et avancer encore.
Les flots ardents baignent tes jambes galbées,
Que leur doigts subtils écartent,
Et la mer qui se trouve entre tes cuisses
Est le cœur du rouge cœur de la Nuit.
Beaucoup lui disent qu’elle ressemble à ça mère à son age, le même regard perdu dans les songes du passé, les mêmes cheveux ondulant au grés de la brise marine. Elle aurait tant voulue lui dire une dernière fois qu’elle l’aimait.
Dans les jours à venir et dans les nuits à venir,
Et durant les jours et lui nuits qui seront,
Un bébé tu tiendras contre ton sein doré
Et une berceuse tu fredonneras.
Le chemin mène au bateau et ce poing sur le cœur qui la serre fort, si fort. Pourquoi la mer à telle un tel pouvoir sur elle ? ce n’est qu’un voyage, un voyage de plus, mais plus loin cette fois. Vers Trepont et les nouveaux colon.
Un bébé au cri de mouette cinglée par le vent
Qui grandira et deviendra une belle jeune fille
Aux yeux étrangement froid comme la mer qui gît
Dans les cavernes de corail et de perle.
Là bas que ce passera t’il ? Elle a réfléchie longtemps au pouvoir qu’elle exerce sur les garçons, comment pourra t’elle rester seule, elle qui ne supporte pas être ignorée. Comment aidé et qui aidé, sûrement tout le monde, tous ceux qui le désireront.
Son âme ressemblera à un vent de l’océan,
Sans repos seront ses pas,
Et elle fera partie du rouge cœur de la Nuit
Et du cœur de la mer qui bat.
Les cotes approchent, maintenant dévoilés à ça vue elle regarde ces anciens rivages. Qu’avait dit l’oracle du village quant un soir d’automne, l’ancienne lui avait raconter une histoire étrange comme à ça mère. Une histoire de mer, une histoire de lune, ces souvenirs s’effacent au fur et à mesure que le bateau approche.
Et l’homme qui dort auprès de toi la nuit,
Il n’est pas le père de ta fille ;
Car elle est l’enfant d’une vorace Nuit
Et le cœur du désir de la mer.
Il est temps de posé les pieds sur cette île et de parcourir ce monde afin d’y apporté le peu de savoir qu’elle possède. Apprendre à connaître les autres, apprendre à ce faire des amis, faire qu’ensemble l’ancien monde retrouve ça gloire d’antan.
Sathia avance maintenant en ces contrés où règne la fureur des landes.
Les étoiles fulgurent depuis la mer enténébrée,
Les cavernes de corail et de perles,
Et la nuit brûle d’un rouge désir
Pour les reins d’une jeune fille dorée.
Ce souvenir qu’elle veux emporté avec elle sur le navire, ce navire qui l’emportera loin des siens. Le baluchon est prêt, elle emportera rien, juste quelques vêtements et un peu d’eau claire pour ce voyage sans retour.
Tu as laissé ta ceinture sur la plage
Et tu t’éloignes du rivage palpitant,
Et les flots ardents s’élancent vers tes parties secrètes
Qui n’ont jamais connu la main d’un amant.
La dernière étreinte, les derniers baisés paternels, un dernier regard et elle franchie le seuil. Des larmes coulent sur ça peau nacrée, mais il faut être forte et avancer encore.
Les flots ardents baignent tes jambes galbées,
Que leur doigts subtils écartent,
Et la mer qui se trouve entre tes cuisses
Est le cœur du rouge cœur de la Nuit.
Beaucoup lui disent qu’elle ressemble à ça mère à son age, le même regard perdu dans les songes du passé, les mêmes cheveux ondulant au grés de la brise marine. Elle aurait tant voulue lui dire une dernière fois qu’elle l’aimait.
Dans les jours à venir et dans les nuits à venir,
Et durant les jours et lui nuits qui seront,
Un bébé tu tiendras contre ton sein doré
Et une berceuse tu fredonneras.
Le chemin mène au bateau et ce poing sur le cœur qui la serre fort, si fort. Pourquoi la mer à telle un tel pouvoir sur elle ? ce n’est qu’un voyage, un voyage de plus, mais plus loin cette fois. Vers Trepont et les nouveaux colon.
Un bébé au cri de mouette cinglée par le vent
Qui grandira et deviendra une belle jeune fille
Aux yeux étrangement froid comme la mer qui gît
Dans les cavernes de corail et de perle.
Là bas que ce passera t’il ? Elle a réfléchie longtemps au pouvoir qu’elle exerce sur les garçons, comment pourra t’elle rester seule, elle qui ne supporte pas être ignorée. Comment aidé et qui aidé, sûrement tout le monde, tous ceux qui le désireront.
Son âme ressemblera à un vent de l’océan,
Sans repos seront ses pas,
Et elle fera partie du rouge cœur de la Nuit
Et du cœur de la mer qui bat.
Les cotes approchent, maintenant dévoilés à ça vue elle regarde ces anciens rivages. Qu’avait dit l’oracle du village quant un soir d’automne, l’ancienne lui avait raconter une histoire étrange comme à ça mère. Une histoire de mer, une histoire de lune, ces souvenirs s’effacent au fur et à mesure que le bateau approche.
Et l’homme qui dort auprès de toi la nuit,
Il n’est pas le père de ta fille ;
Car elle est l’enfant d’une vorace Nuit
Et le cœur du désir de la mer.
Il est temps de posé les pieds sur cette île et de parcourir ce monde afin d’y apporté le peu de savoir qu’elle possède. Apprendre à connaître les autres, apprendre à ce faire des amis, faire qu’ensemble l’ancien monde retrouve ça gloire d’antan.
Sathia avance maintenant en ces contrés où règne la fureur des landes.