Le passé de l'Eldorian { inachevé}
Publié : 07 janv. 2010, 15:06
Mon histoire commence, il y a de ça cinquante Fingéliens à Lumedantel dans une petite ville Eldorianne, au pied d'une chaine de montagnes qui sert de frontière avec les Galdurs. Où la vie est un long fleuve paisible pour tous, à l'exception des quelques hommes appartenant à une guilde de guerrier. Ils offrent la plupart du temps leurs services au seigneur de la ville, pour des missions de reconnaissances, de surveillances mais aussi aux villes voisines pour des missions,cette fois-ci plus périlleuses. Ces hommes sont tous originaires de la ville, la plupart sont des fils de commerçants. Tous sauf un. Un seul membre est étranger en ces terres. Ce personnage est originaire d'une ville lointaine où la principale activité est le combat. En réalité, c'est lui qui a créé la gilde « Visonnos »
Le maitre de gilde, a énormément voyagé en pays Kultar et autres, là où le mystère est quasi totale pour nous , Eldorians. C'est grâce à lui que des habitants de la ville sont devenus des petits mages et que les membres de Visonnos combattent en utilisant la magie. En très peu de temps cette guilde est devenue l'emblème de la petite cité et le rêve des jeunes tel que j'étais, à l'époque.
Quelques Fingéliens avant l'arrivé de l'étranger.
Je suis né dans le quartier pauvre de la ville, ma famille ne connaissaient pas le goût et l'odeur de l'argent mais cela ne les empêchaient pas d'êtres heureux. Mon père était un petit chasseur pour le compte d'un des boucher du quartier, il disait toujours: »Certes, Je ne dors pas sur un tas d'or mais je sais vivre libre contrairement à mon frère. Je ne croule pas sous les responsabilités. » Mon père était doux et aimable avec tout le monde, d'ailleurs je me souviens que lors des fêtes quotidiennes, étant un musicien, il acceptait toujours avec le sourire, sans rien demander en échange, de jouer d'un instrument à corde, qu'il frottait avec un drôle de petit arc.
Ma mère était une des nombreuses servante pour le compte de la femme du seigneur. Je n'ai guère beaucoup de souvenir d'elle. Son métier lui prenait tout son temps.
Quand à moi, à l'âge de 9 ans, mon père réussit à convaincre un alchimiste de me prendre en tant qu'apprenti. Je pouvais grâce à ça, gagner un peu d'argent et soulager légèrement la vie de mes parents et je pouvais bien entendu accéder aux mystères qu'est l'alchimie. L'unique inconvénient était qu'au moment où j'étais devenu devenue apprenti, je devais tirer un trait sur ma vie antérieure, la seule fois où mon maitre me permettait de voir mes parents était lorsque je leur remettais l'argent gagné.
C'est donc pendant 8 ans et à la mort de mon maitre que j'appris les mystères de cet art et fournir de quoi vivre à mes parents. Et c'est à cette période là que ma vie bascula très rapidement. A la venue d'une personne qui allait changer le mode de vie de toute une ville entière.
La rencontre du mystérieux.
Je me souviens que ce soir là, les étoiles étaient particulièrement belles. Leurs lueurs douces et brillantes faisaient apparaître un belle lumière bleutée sur la petite rivière qui traversait la ville de la partie Nord ouest à l' Est. Je sortis à l'extérieur des murs pour récolter quelques ingrédients recommandés à la fabrication de barre de fer pour un forgeron.
C'était en me dirigeant vers la carrière que je croisais cet étrange individu. Je me souviens qu'il portait une tunique ressemblant grossièrement à celle des prêtres d'une couleur rouge et noir, il avait attaché deux fines lame légèrement courbées dans son dos et il donnait l'impression de vivre dans un univers diffèrent son regard était comme transportait au delà des mers.
Il me regarda en souriant et continua sa route vers la ville. La misère qui vivait tout autour de moi ne me permettait pas de connaître la signification d'un sourire; le bonheur n'existait pas réellement autour de moi. J'étais l'esclave de ceux qui s'en nourrissent. Je m' inclinais mollement devant en lui et je continuais ma route, en me replongeant dans mes réflexions d'Alchimiste. Arrivé à la carrière, je m' assis sur un gros rocher et je déposais soigneusement à terre mes instruments. C'est alors dans un lieu où le silence était mélodieux que je me mis à faire chanter la roche pour extraire les minerais.
Un bouleversement dans une vie monotone.
J'étais resté à la carrière quelques semaines, il était plus pratique de créer mes barres sur place. J'avais confectionner un petit camp à monter sur pilotis un jour avec mon maitre et il me permettait d'être plus efficace dans mon travail. C'est en rentrant dans mon camp que je vis Twen; un vieille homme qui jadis chassait en compagnie de mon père. Il était venu m'avertir de la venue d 'un mystérieux guerrier qui avait de grand projet pour la ville. Il voulait que je vienne avec lui pour le rencontrer.
De retour en ville, je remarquais que les habitants étaient drôlement excités; des gens en armures étaient montés sur un estrade et proposaient aux hommes qui avaient soif d'aventures de venir les rejoindre. Beaucoup de changement avait étaient fait durant les semaines de mon absence. Un énorme bâtiment situé non loin de la bâtisse du seigneur était en construction, non loin du chantier, de drôles de personnes étrangères à la ville enseignaient la magie aux intéressés. Fatigué, je saluais Twen et je partis en direction de mon magasin. Cependant, une personne m'attendait devant ma porte d'entrée. L'homme que j'avais croisé il y a de cela quelques semaines était adossé contre le mur de ma maison et me regardait en esquissant un sourire. Je m'inclinai devant sa personne et sans un mot; par un geste de bras je l'invitai à entrer dans ma pauvre demeure. Il entra et se dirigea vers la cheminée. En passant il déposa, une lame un peu plus longue d'une dizaine de centimètre qu'une dague, sur la table. Nous fîmes connaissance pendant que je remplissais un formulaire pour la transaction des barres de fer du forgeron. J'appris qu'il se nommait Miles et qu'il était originaire d'une ville du Sud et lors de ces voyages il s'était lié d'amitié avec un habitant de Lumedantel. A la mort de ce dernier, Miles avait promis de sortir la ville de la misère Par n'importe quel moyens. Il avait décidé au décès de son ami de partir en voyage a travers beaucoup de pays pour apprendre, la magie, d'autre technique de combat, et l'art de vivre des autre peuples. Il me dit qu'il était revenu pour réaliser son rêve; que la ville de Lumedantel fleurissent et que la pauvreté disparaisse de ces lieux.
Une fois mon formulaire terminé, je lui demandai en quoi je pouvais lui être utile; je lui avouai que je ne savais pas vraiment la raison de sa venue chez moi. Il se leva et dit d'une voix douce: « pour réussir dans la vie, il faut partager son rêve. » Il me prit la main et la déposa sur l'arme qu'il avait déposé quelques instant plus tôt sur la table et me dit: « Toi qui connait la misère du monde, qui beigne dedans depuis ta naissance. J'ai vus en toi la force de vivre, la force de continuer. Épaule moi, faisons ensemble le bonheur de ces habitants. »
Le maitre de gilde, a énormément voyagé en pays Kultar et autres, là où le mystère est quasi totale pour nous , Eldorians. C'est grâce à lui que des habitants de la ville sont devenus des petits mages et que les membres de Visonnos combattent en utilisant la magie. En très peu de temps cette guilde est devenue l'emblème de la petite cité et le rêve des jeunes tel que j'étais, à l'époque.
Quelques Fingéliens avant l'arrivé de l'étranger.
Je suis né dans le quartier pauvre de la ville, ma famille ne connaissaient pas le goût et l'odeur de l'argent mais cela ne les empêchaient pas d'êtres heureux. Mon père était un petit chasseur pour le compte d'un des boucher du quartier, il disait toujours: »Certes, Je ne dors pas sur un tas d'or mais je sais vivre libre contrairement à mon frère. Je ne croule pas sous les responsabilités. » Mon père était doux et aimable avec tout le monde, d'ailleurs je me souviens que lors des fêtes quotidiennes, étant un musicien, il acceptait toujours avec le sourire, sans rien demander en échange, de jouer d'un instrument à corde, qu'il frottait avec un drôle de petit arc.
Ma mère était une des nombreuses servante pour le compte de la femme du seigneur. Je n'ai guère beaucoup de souvenir d'elle. Son métier lui prenait tout son temps.
Quand à moi, à l'âge de 9 ans, mon père réussit à convaincre un alchimiste de me prendre en tant qu'apprenti. Je pouvais grâce à ça, gagner un peu d'argent et soulager légèrement la vie de mes parents et je pouvais bien entendu accéder aux mystères qu'est l'alchimie. L'unique inconvénient était qu'au moment où j'étais devenu devenue apprenti, je devais tirer un trait sur ma vie antérieure, la seule fois où mon maitre me permettait de voir mes parents était lorsque je leur remettais l'argent gagné.
C'est donc pendant 8 ans et à la mort de mon maitre que j'appris les mystères de cet art et fournir de quoi vivre à mes parents. Et c'est à cette période là que ma vie bascula très rapidement. A la venue d'une personne qui allait changer le mode de vie de toute une ville entière.
La rencontre du mystérieux.
Je me souviens que ce soir là, les étoiles étaient particulièrement belles. Leurs lueurs douces et brillantes faisaient apparaître un belle lumière bleutée sur la petite rivière qui traversait la ville de la partie Nord ouest à l' Est. Je sortis à l'extérieur des murs pour récolter quelques ingrédients recommandés à la fabrication de barre de fer pour un forgeron.
C'était en me dirigeant vers la carrière que je croisais cet étrange individu. Je me souviens qu'il portait une tunique ressemblant grossièrement à celle des prêtres d'une couleur rouge et noir, il avait attaché deux fines lame légèrement courbées dans son dos et il donnait l'impression de vivre dans un univers diffèrent son regard était comme transportait au delà des mers.
Il me regarda en souriant et continua sa route vers la ville. La misère qui vivait tout autour de moi ne me permettait pas de connaître la signification d'un sourire; le bonheur n'existait pas réellement autour de moi. J'étais l'esclave de ceux qui s'en nourrissent. Je m' inclinais mollement devant en lui et je continuais ma route, en me replongeant dans mes réflexions d'Alchimiste. Arrivé à la carrière, je m' assis sur un gros rocher et je déposais soigneusement à terre mes instruments. C'est alors dans un lieu où le silence était mélodieux que je me mis à faire chanter la roche pour extraire les minerais.
Un bouleversement dans une vie monotone.
J'étais resté à la carrière quelques semaines, il était plus pratique de créer mes barres sur place. J'avais confectionner un petit camp à monter sur pilotis un jour avec mon maitre et il me permettait d'être plus efficace dans mon travail. C'est en rentrant dans mon camp que je vis Twen; un vieille homme qui jadis chassait en compagnie de mon père. Il était venu m'avertir de la venue d 'un mystérieux guerrier qui avait de grand projet pour la ville. Il voulait que je vienne avec lui pour le rencontrer.
De retour en ville, je remarquais que les habitants étaient drôlement excités; des gens en armures étaient montés sur un estrade et proposaient aux hommes qui avaient soif d'aventures de venir les rejoindre. Beaucoup de changement avait étaient fait durant les semaines de mon absence. Un énorme bâtiment situé non loin de la bâtisse du seigneur était en construction, non loin du chantier, de drôles de personnes étrangères à la ville enseignaient la magie aux intéressés. Fatigué, je saluais Twen et je partis en direction de mon magasin. Cependant, une personne m'attendait devant ma porte d'entrée. L'homme que j'avais croisé il y a de cela quelques semaines était adossé contre le mur de ma maison et me regardait en esquissant un sourire. Je m'inclinai devant sa personne et sans un mot; par un geste de bras je l'invitai à entrer dans ma pauvre demeure. Il entra et se dirigea vers la cheminée. En passant il déposa, une lame un peu plus longue d'une dizaine de centimètre qu'une dague, sur la table. Nous fîmes connaissance pendant que je remplissais un formulaire pour la transaction des barres de fer du forgeron. J'appris qu'il se nommait Miles et qu'il était originaire d'une ville du Sud et lors de ces voyages il s'était lié d'amitié avec un habitant de Lumedantel. A la mort de ce dernier, Miles avait promis de sortir la ville de la misère Par n'importe quel moyens. Il avait décidé au décès de son ami de partir en voyage a travers beaucoup de pays pour apprendre, la magie, d'autre technique de combat, et l'art de vivre des autre peuples. Il me dit qu'il était revenu pour réaliser son rêve; que la ville de Lumedantel fleurissent et que la pauvreté disparaisse de ces lieux.
Une fois mon formulaire terminé, je lui demandai en quoi je pouvais lui être utile; je lui avouai que je ne savais pas vraiment la raison de sa venue chez moi. Il se leva et dit d'une voix douce: « pour réussir dans la vie, il faut partager son rêve. » Il me prit la main et la déposa sur l'arme qu'il avait déposé quelques instant plus tôt sur la table et me dit: « Toi qui connait la misère du monde, qui beigne dedans depuis ta naissance. J'ai vus en toi la force de vivre, la force de continuer. Épaule moi, faisons ensemble le bonheur de ces habitants. »