Récit d'une vie passé.

Ici, l'on conte des chroniques relatives aux îlots centraux
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Jansen
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Récit d'une vie passé.

Message par Jansen »

Une journée de plus, encore le même travail, le même chemin y menant, la même bâtisse qui me fait office de maison à deux pas du chemin, et ma famille vivant dans cette dernière. Ma femme " Mazzy " excelle dans l'art de la magie, une vrai Kultar, elle apprend la magie à notre fille " Thetis ", une vrai petite prodige d'ailleurs, et enfin moi, qui comme toujours est dans la forêt.

Chapitre I : La vie monotone d'un alchimiste.

Un léger vent souffle sur la plaine, la bordure de la forêt n'est pas pour rassurer les visiteurs et de petite gouttelette d'eau viennent s'écraser sur les reliefs présent. C'est d'un pas hâtif que je vagabonde entre les cimes d'arbres à la recherche de lilas. Enfin j'atteins mon but, de jolie pousse s'offre à moi, c'est donc avec entrain que j'enfile mes gants et m'attelle à ma tache. Un calme intense régné dans la forêt, quand subitement de petite particule de lumière se crée devant moi, elles virevoltent, tourbillonnent et enfin se réunissent entre elles ... une forme se fait voir, je suis surpris, c'est ma femme ... une matérialisation magique ...

Mazzy: - Jansen ! On mange, revient ... et vite cette fois ci.

Jansen grommelant : - Oui ..... j'arrive ... j'arrive ...

C'est dépité que je dois quitter mes jolies poussent de lilas pour rejoindre le nid familiale. Ainsi va ma vie depuis vingt-cinq ans, moi qui rêve tout les soirs d'aventures, de nouveau horizon, et d'être utile ...


Edit: J'écrirais la suite au fur est à mesure de mon temps disponible.

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Jansen
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Message par Jansen »

La grandeur de la forêt et son silence implacable impose le respect, lieu inconquit, nul n'impose sa griffe en cet endroit. Nature, seul maîtresse de l'immense zone boisée, elle qui m'autorise à cueillir maintes fleurs utile à mon oeuvre.

Chapitre II : Au coeur de mère Nature.

C'est d'un pas alerté que j'accours a ma chère forêt, elle qui me fait sentir un peu plus courageux, peu d'être vivant non sauvage y pénètre, et je suis un de ceux là, un des rares privilégiés. Besace en bandoulière, son contenu est bien fournit aujourd'hui, mortier, pilon, fiole vide, éprouvettes diverses et variées. A la recherche de sombrerose, vif et attentif tel un cochon truffier, c'est en dix minute que l'objet de désir vint à ce faire voir. Ce type de rose rare ne nécessitant pas l'usage de gant, le Kultar pouvait à son plus grand plaisir sentir le contact du végétal à ses doigts. D'une bonne habilitée, d'un mouvement souple et fin, Jansen décrocha la fleur de son sol.

Jansen : - Oh ! C'est un bien beau présent que vous me faites là, dame Nature votre générosité envers moi est sans limite, je vous en remercie.

Il est rare de voir une personne s'exprimer ainsi ... seul ... Si l'implacable forêt n'était pas aussi vierge de monde, le Kultar passerait sans doute pour un déluré. Mortier au sol, pilon en mains et ressources à portée, c'est avec plaisir que Jansen confectionnais ses potions, souvent dans un but lucratif, de temps en temps pour sa famille. La foret était un lieu où tout est utile, les personnes l'ayant compris avait un grand potentiel d'alchimiste. C'est seulement dans ces moments que le Kultar se sentait important.

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Jansen
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Message par Jansen »

Plongé dans une frénésie ouvrière les différentes mixtures étaient concocté à une allure élevé et soutenu. La forêt semblait hypnotiser le Kultar, ne sentant plus de fatigue. Apaisant et luxuriant regroupement de végétaux de tout type, en harmonie, bien loin des querelles humaines. Ce lieu est il aussi paradisiaque qu'il en donne l'impression ?

Chapitre III : Dans un monde à part.

Pas de lassitude, ni de peine, c'est dans une forme de soumission à la nature que Jansen oeuvrait pour son plaisir et son métier. Ne pouvant détourner le regard de son alchimie, c'est une multitude de tache qui se succédèrent, si bien que aux fils des heures qui passèrent, Jansen devenait de plus en plus le laquais de ces bois. L'inquietude se fit sentir au sein de la demeure familiale, et Mazzy tenta de le contacter maintes fois, impuissante qu'elle était, voyant son maris sombrer dans une danse hypnotique, il était en symbiose avec la forêt.

Ne pouvant laisser son époux dans l'état végétatif dans lequel il s'était enlisé, la kultars préparait de son domicile une incantation visant à faire reprendre ses esprits au pauvre Jansen. Beaucoup diront qu'elle aurait pu pénétrer dans la forêt pour y arracher son époux, mais elle et beaucoup d'autres craignaient cet zone boisé, preuve à l'appui que Jansen s'était laisser emporter par la douce mélodie du vent dans les feuilles des arbres. Suite au préparatif pour le sortilège, Mazzy commença à avoir des dires étranges, incompréhensible, des paroles incantatoires. Malheureusement les émanations magiques que dégageait le logis n'était pas des plus discrets, ce qui ne manqua pas d'attirer de vicieux êtres .... Tapis dans les fourrées, avançant tel de silencieux animaux fort agile, il fallut peu de temps pour que la chaumière des Kultars fut entouré par on ne sait quoi ...

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Jansen
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Message par Jansen »

Petite bâtisse solitaire, infime tel un grain de sable parmi les astres, assaillit par un danger inconnu, qu'adviendra t'il de ses habitants ? A l'opposé, l'indomptable forêt, luxuriante et envoûtante, en son sein un petit être, en osmose avec les végétaux, en pleine crise hypnotique.

Chapitre VI : Cruel destin.

L'incantation longue et fatiguante empêchait la Kultars de se rendre compte du danger qui rôdait. La destinée avait choisit d'être cruel avec la petite famille, elle avait placé de silencieuse créatures proche de la chaumière. Une fois ces derniers à portée des ouvertures de la maison, ils examinèrent l'intérieur via les fenêtres, et l'interstice de la porte qu'ils avaient ouvert très délicatement, observant Mazzy enveloppé de flux de mana, et la petite qui inquiète et terrorisé par ce qui aurait pu arrivé à son père.

Thetis : - Maman ! Que fais tu ? Il est où papa ? J'ai peur !

Mazzy : - SILENCE !

La fermeté de la mère de famille montrait l'importance de son sortilège, il faut en effet être dans un état de concentration absolu pour que le sort fonctionne parfaitement, c'était aussi le reflet de son inquiétude vise à vis de la situation de son époux. Ne comprennent pas spécialement la situation les intrus comprenaient clairement qu'aucune défense ne pouvait leur être opposé. Ils n'attendirent pas longtemps pour lancer l'offensive, il fallut comptabiliser cinq seconde pour que six elfes noirs soient entrés dans la structure, deux passant par la porte d'entrée, et quatre par les fenêtres de la maison.

Stupefaite de l'arrivée surprise des vicieux elfes, Mazzy ne put finir son sortilège et n'attendant pas que ceux si l'assaille en premier elle se précipita sur sa progéniture, en entament une courte incantation visant à calciner un elfe noir. Malheuresement, les elfes noirs étaient bien organisés, tandis que l'un d'entre eux arrivé dans le dos de Mazzy dague à la main, un autre banda son arc vers l'enfant. Mazzy ne pu finir sa dernière incantation, et vit son enfant mourir sous ses yeux ... De telle atrocité était pratiqué dans les cries hilares des elfes noirs.

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