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[V] L'histoire d'un Eldorian: Aoshi [annulé]

Publié : 24 avr. 2008, 16:29
par Aoshi
Alors, voilà, je me nomme Aoshi je suis un jeune humain et je vais vous raconter mon enfance.
Mon père se nommait Shayo, il était ni grand, ni musclé et c'était un bien pour son métier de chasseur. Il était rapide et vif cela lui permettait de trouver toujours de la viande pour le repas du soir. Ma Mère se nommait Megumi, c'était une très belle femme qui ne rigolait pratiquement jamais, je ne me suis même jamais confier a elle et je me demande pourquoi. Elle était très distante avec moi et mon père, vous imaginez que les soirs à l'heure du diner, ce n'était pas très joyeux, pas de bonne ambiance, personnes ne rigolaient juste quelques sourire creusés dans une carcasse nue de tout sentiments joyeux. De plus je n'avais qu'un seul ami Traor, mais malheureusement il est mort y a deux ans de cela d'une terrible chute lors d'un après midi où l'on étaient partient faire de l'escalade sur le mont Touhgen. Chaques jours je sombrais dans l'obscurité ne cessant de me répéter de que j'étais responsable de sa mort
C'est pourquoi à l'âge de 15 ans j'avertis mes parents de mon départ, je ne pouvais plus vivre dans ces conditions, je devais voir du monde, voyagé, me faire de nouveaux ami(e)s. Mes parents, à ma grande surprise, souffrirent lorsque je leurs annonça la nouvelle. Ils m'obligèrent à rejoindre ma chambre et de réfléchir a ce que je venais de leur dire. Mais j'étais déterminé à partir de cette maison ! De toute façon il le fallait je devais partir ....

J'avais réfléchis dans ma chambre, et j'avais trouvé le moyen pour m'évader de ces lieux. Un soir mes parents qui ne pensaient plus à ce que je leur avaient dit m'invitèrent à me reposer dans ma chambre. j'attendis une petite heure avant de passer a l'action.Je pris deux draps dans ma petite commode et je les nouèrent ensemble pour faire un seul et unique et j'accrocha l'immense tissu a un barreau de ma fenêtre et descendis a l'aide de celui-ci. Une fois dehors, je pris ou plutôt je vola la dague de mon père et je pris quelques vivres, une fois équiper, je me mis en route pour l'aventure. Je me souviens que c'était un moment très exitant, mon coeur battait la chamade et j'immaginais ma mère le lendemain matin découvrant ma chambre vide. J'esquissa un léger sourire ammusé, j'étais heureux, j'étais libre. Dix minutes plus tard je décida de prendre un morceau de fromage pour réccuperé mes forces, j'avais beaucoup de chemins a faire. Quelques jours plus tard, je pris un bateau pour la région voisine. Un pays qui était gouverné par un régent d'une bonté mais où la sécurité ne s'y trouvée nul part. Pendant que je marchais j' aperçus un homme en armure qui tenait des affiches sous le bras. Il en collaient sur les arbres. Sur celle-ci on pouvait y lire: "Cherche homme déterminé qui souhaite devenir guerrier au service de notre bon seigneur". J'interpela le soldat,je lui dit que je voulais devenir un guerrier. Je vit un sourire se tracer sur son visage remplis de cicatrice. Il laissa tomber ces affiches et commença a enlevait toutes celles qu'il venaient de mettres sur les arbres.C'est a cette instant précis que ma vie changea.

Un soir, mon mentor du nom de Grawir me reveilla comme toujours pour faire un petit entainement a l'épée.Le terrain ou j'allait m'entrainer était déjà préparer, mon mentor avait construit 3 enclos.
Dans le premiers on pouvait y voir un manequin, pour l'entrainement basique à l'épée.Dans le 2èmes on y voyait un arbre avec des branches qui partait dans tout les sens,au bout de ces branches Grawir y avait acrochait a l'aide de corde des morceaux de métal, donc ceux la était suspendu dans le vide.Et dans le denier enclos, il n'y avait rien appart un tapis de boue,mon mentor m'expliqua que cet enclos allait servir pour les duels.Cinq minutes plus tards l'entrainement commença.J'entrais de le premier,Grawir me demande de donnait de coup rapide et puissant,et je m'exécuta,j'y méttait toute mes forces, le manequin était marqué de partout;au bout de 15 minutes, Grawir mit vie au manequin grace a un sortilège heureusement le sortilège n'allait pas durer longtemp,donc je me battait contre ce pantin,il était vif et rapide, j'avais beaucoup de mal a parrer ces coups, il frappait avec violence, je n'avait jamais vue sa, mon bouclier dont je m'était éqiuper avant de commencais, fut briser lorsque le pantin voulut me donner un coup a la nuque.C'est alors que je me mit en colère pour une raison que j'ignore, et je sauta sur le pantin, je le fit tombé, je mit dessus, je sortis un dague et je lui donna de violent coups de dague jusqu'à que je vit l'herbe a travers ça tête. Grawir n'avait pas fini de s'amuser, ça je peut vous l'assurer.

J’entras dans l’enclos n°2 et je sortis mon épée longue, mon maître me dit de taper dans les barres et de frapper dedans le plus vite possible sans me faire toucher, Lorsqu’elles revenaient vers moi. Au bout de 15 minutes, mon maître utilisa le même sort que tout à l’heure pour que les barres prennent vies et a la suite il ajouta un autre sort pour que les tiges de fer m’attaquent avec précision et avec une force accrue. Rapidement je me fît tabasser par les celle-ci. Mon maître leva le sort d’un geste de main et rigola un bon coup. Tandis que moi je gisais à terre, respirant avec difficulté. Mon maître me tendit une potion de régénération moyenne, et je la vida d’un trait. Elle fit peu à peu son effet, et mes forces revenaient. Mon maître m’incita à recommencer, alors je m’exécuta, il refît les même sorts que la dernière fois, mas cette fois, j’étais près. Une des barres me fonça dessus, j’eus le temps d’esquiver et de parer une autre qui m’attaquait dans le dos. Cette séance dans l’enclos dura des heures interminables, a la fin j’étais à bout de souffle. Je n’avais même pas remarqué mais ça faisait une matinée entière que je m’entraînais ! Pendant que je me reposais en dessous d’un arbre, Grawir préparé le déjeuné. Au menu il y avait :
- Entrées
- Potage aux champignons
- Racine d’arbres(pas terribles…)
- Salades et pommes de terres ont la vinaigrette
- Plats de résistances
- Purée de pommes de terre
- Pommes de terres sautées a la poêle
- Viandes de cerf cuit au feu de bois
- Desserts
- Pommes


Après avoir bien mangés, nous avons put reprendre l’entraînement, j’allais enfin savoir ce que je devrais faire dans l’enclos n°3, contre qui j’allais combattre, si j’allais en ressortir vivant…. Toutes ces questions me passaient dans la tête rien qu’a voir cette enclos qui m’intriguer.



Le lendemain matin, mon maître me réveilla aux premieres lueures du jour.Il me dit de m'équiper de la tête aux pieds et me dit que cette journée allait se réveler très difficile.
C'était une journée particulièrement pluvieuse et je faillit a plusieurs reprise de m'étaler dans la boue, Grawir m'emmena dans le troisième enclos qui était en faite une petite arène.Il me mena au centre de l'arène,je ne remarqua qu'à cette instant qu'il était équiper d'une armure de cuir complète et portait a sa taille une épée longue en acier rangée dans son fourreau.Il me cria de me défendre tout en dégainant son arme et en me chargeant.Surpris je sortit maladroitement mon glaive en acier et me défendit tant bien que mal face aux nombreuses attaques vifs et precises de mon mentor.Après une merveilleuse raclée j'essayais de rester debout concentrant mes dernieres forces. Mon maitre chargea encore,mais cette fois,un calme m'envahit, je me concentra et me prepara a parer a l'attaque de mon maitre;son épée fendit l'air et se planta dans le sol, surpris il l'enleva et me regarda.Je venais d'esquiver son coup a une vitesse prodigieuse.Je fis un signe de tête pour lui dire que j'étais près pour une revanche.

Grawir chargea de nouveau, je pris une poignée de terre humide et lui jeta a la figure, mon mentor fit un pas de côté pour éviter le projectile, et voyant une ouverture je fonçais sur lui le plus vite possible en m’apprêtant a lui lancé un coup d’estoc. Grawir n’eu pas le temp de réagir, prit au piège, il devait encaisser le coup, il n’avait pas le choix. Mon épée traversa son armure, en provoquant une profonde coupure juste au-dessus du bassin. Au même moment mon mentor venait de trouver une solution : il pivota me tournant le dos, tint fermement son épée de sa main gauche, sa lame tournée vers mon abdomen et donna un coup sec enfonçant son épée dans mon ventre, dans le même élan, il tournoya tout en sortant avec sa main droite du fourreau une petite dague au pouvoir de paralysie et me la planta dans le mollet droit. Je tombais dans la boue du sang giclait de mes profondes blessures, bizarrement j’étais complètement paralysé, incapable de faire le moindre geste ou de poussé le moindre cris. A ce moment là, j’étais terroriser, je croyais que j’allais mourir, me vidant progressivement de mon sang … Puis, l’inconscience ma gagna, m’accordant un peu de répit dans ce monde de souffrance.

Je me réveilla dans une chambre des plus banal apparemment dans une auberge. Les yeux entre-ouvert, épuiser, je scrutait la pièce dans laquelle je me trouvais a la recherche de mon mentor. Je vis que l’on m’avez guéris, de grosses cicatrices remplaçaient les trous béant d’ou sortait abondement le sang. Enfin je le vis, dans un coin de la pièce, assis sur une chaise, fumant ça pipe, il me regardait souriant. Il s’était revêtu de vêtements simples : une chemise sombre et d’un pantalon assez large sombre également, pour mieux se fondre dans les ombres en cas de dangers. Je me redressais sur mon lit, serrant les dents pour ne pas crier de douleur, quant a mon maître, il se leva pour venir me parler : «
– Comment te sent tu apprenti ?
– Je me sens très faible, maître, c’est la preuve que vous m’avez bien amocher. Que c’est il passé lorsque je me suis évanouis ? Ou sommes nous ? Est ce vous qui m’avez guérit ? …
– Du calme, du calme ! Prenons les choses une par une … Tout d’abord je tient a te félicité tu t’es très bien battus, tu a sut trouver des failles parmi mes assauts en analysant mes techniques de combats. Maintenant pour répondre a tes questions, après que tu te soit évanouis, je but une potion de régénération, qui a suffit a me guérir complètement de ma blessure, je t’es transporter dans cette auberge, ou je t’es administrer tous les soins que je pouvais. Par contre je ne t’es pas complètement guérit car je ne suis pas un guérisseur, il faudra donc attendre un peu avant d’être complètement rétablis. Je vais te donner quelques livres a lire pour que tu étudie la stratégie militaire, comment font-il pour analysé le terrain, tendre des embuscades … Quand tu auras fini de les lires, je te donnerait un petit questionnaire pour voir si tu auras retenus quelques choses. »


Pendant les longues heures d’études a lire les livres sur les grandes batailles qui avaient eu lieues sur tout le continant, je ne me sentais vraiment pas dans mon élément, bien que je trouvais ses livres très intéressants. Je me répétais, pour tenir le coup, que c’était nécessaire à mon apprentissage de guerrier, il fallait que j’apprenne toutes sortes de stratégies en prenant exemple sur les personnages de ces livres. Les jours passèrent, et je me rétablissais vite, j’eu rapidement fait de lire tout les livres de mon maître, alors il me donna le petit questionnaire promis qui faisait en fait 70 pages ! ! ! J’ai crut devenir fou, je me retint d’essayer de casser la figure à mon maître … ce qui fut très difficile à vrai dire … Je me souviens être devenu tout rouge, bouillonnant de colère ! Mais mon maître lui éclata de rire, et malgré moi j’en fit autant. Il me dit pour me rassurer, que j’aurais tout le temps nécessaire pour le remplir et qu’en fait, seulement 10 de ces 70 pages étaient sur les livres qu’il m’avait donné. Mais enfin … 10 c’est quand même beaucoup ! Les autres j’allais les apprendre au fur et à mesure, elles portaient surtout sur différentes façons de combattre, comment réagir dans tel ou tel cas. Les questions étaient bien plus difficiles que je ne l’aurait pensé, et cela me prit toute la journée ! Mais au moins, le lendemain j’étais assez rétabli pour pouvoir allez dehors et m’entraîner avec Grawir. Une année passa, j’étais devenu un puissant guerrier, bien plus fort que mon maître (quand je dis puissant guerrier ne faites surtout pas la comparaison avec mon personnage dans le jeu il est bien moins fort;)). Alors qu’on buvait un soir dans la Taverne du nain joyeux, mon maître me demanda ce que je voulais devenir après que mon apprentissage soit terminer, ce qui était bientôt le cas. Je lui répondit que je voulais devenir un genre de guerrier à la fois rôdeur*et stratège. En entendant ma réponse il sourit, et me dit qu’il l’aurait parié, ensuite il me raconta qu’il avait un ami haut elfe qui habitait dans le val d’isgandel, que c’était justement un rôdeur et qu’il avait une dette à lui payer. « Il serait donc obligé d’accepter de te former si je lui demande poliment ! » Nous avions éclaté de rire et but nos verre de vin cul sec. Je le remerciait pour tout et nous allions dormir. Le lendemain matin, au lever du soleil j’allais passer mon dernier test pour finir mon apprentissage, j’en était triste … Mais après j’allais débuter une autre vie peut être meilleure que celle que j’avais passé jusque-là … Qui n’était je doit dire, pas très confortable. Et l’après midi il fallait que je remplisse la dernière feuille du questionnaire.

Grawir me réveilla donc à l’aube, je me vêtit de mon équipement de combat, et j’allais rejoindre mon maître auprès d’un petit Lac dans la région de Gustanden, un endroit que j’appréciais particulièrement. Je le saluait, nous parlions un bref instant de ma dernière épreuve, puis il invoqua juste devant moi à une vitesse et une dextérité que je n’aurais pas cru possible pour son âge qui était assez avancé … Une gargouille ! C’était le type de gargouille le plus puissant, de plus il portait une arme, une énorme masse d’arme remplie de pics qu’il manier à deux mains ! Le combat allait être rude, mais il fallait que je gagne, pour mon honneur, que tout cet entraînement n’ai pas servis à rien !

*rôdeur : Guerrier qui aide les gens perdus, les guident et les protègent (des brigands ainsi que d’autres créatures) à traversé les forêts, il est le protecteur des forêts, leur gardien.

Je fis rapidement un bond de côté et d’un coup d’œil je vis que a la place ou j’était un instant auparavant, le sol était complètement défoncer par un puissant coup de masse d’arme, celle-ci se dirigeant justement vers moi a une vitesse surprenante. La seule chose que j’eu le temp de faire, c’est de lever mon bouclier pour me protéger, le coup fut ci puissant que je fut projeter dans le lac a quelques mètres de la rive. Je m’enfonçait dans les eaux ténébreuses du lac, mon armure m’empêchant de nager pour remonter a la surface. Je lâchais mon bouclier réduit en charpie et essayais tant bien que mal d’enlever le reste de mon armure. Mes poumons étaient en feux, je me débattait avec rage en essayant d’enlever mon armure, mais la pression et mes doigts engourdis par l’eau glacial, me condamnaient a une mort des plus horribles … Alors que la mort était face a moi, une lueur d’espoir apparue et la fit fuir, en même temp qu’un puissant geyser me propulser hors de l’eau tout en enlevant mon armure.
C’était un véritable miracle, tout comme mon maître je n’y croyais pas mes yeux. je réussi a atteindre la rive a la nage tenant toujours fermement mon épée. Je n’eu qu’un instant de répit car déjà, la gargouille se jetée sur moi, sa masse d’arme brandie au-dessus de ça tête. Prenant appuis par terre avec mes pieds en fléchissant les genoux, j’attendit le dernier instant pour faire un rouler-bouler entre les jambes de la gargouille, je me redressa d’un bond et lui porta un coup fatal dans le dos et enchaînant des séries d’attaques, que Grawir m’avait apprises. A de nombreuse reprises, la gargouille voulut me frapper de son arme, mais a chaque fois, je réussissais a l’éviter pour la frapper de plus belle. Cinq minutes plus tard, je contemplais a mes pieds un tas de pierres et de poussières, si fière que j’étais !

Le soir même, moi et mon mentor avions organiser une petite fête, en l’honneur de la fin de mon apprentissage qui avait été un succès. Grawir était fière de moi et moi fière de l’avoir eu comme maître, tout en lui étant très reconnaissant.

Le lendemain après midi, après avoir fait de larges réservent de nourriture et d’eau potable pour le voyage, nous prîmes la route en direction d'un royaume des elfes … Le Val d’Isgandel. Il était à une semaine de voyage de la ou nous partions, mais sa ne nous dérangeait pas, les régions que nous allions traverser recellaient de mystères particulièrement intéréssant.
Tout bascula par une nuit de tempête, nous avions fait une grande partie du voyage, nous n’étions plus qu’à une journée de marche, mais quand la tempête nous était arrivée dessus, nous avions dû trouver refuge dans une petite grotte ou Grawir y avait allumé un feu à l’aide de la magie. Alors que nous mangions chacun un généreux morceau de viande, des hordes d’orcs armés, de gobelins et de trolls nous attaquèrent. Nous avions dégainer nos armes, rapide comme l’éclair, la peur au ventre, et avions à la plus grande surprise de nos ennemis chargé ! Je me rappelle que mon maître me criait de m’enfuir alors qu’il combattait courageusement des orcs qui l’entouraient, il avait invoqué quelques gargouilles ainsi que d’autres monstres, notamment des gobelin armé qui avaient l’ordre de me protéger. J’essayais de me frayer un chemin à travers les rangs ennemis mais ils étaient si nombreux ! Et apparemment bien organisés par un chef orc bien distinct par son puissant marteau de guerre attaché dans son dos et sa lourde armure en acier. Alors, Grawir, qui voyait bien que la situation était désespérée lança un ultime assaut contre leur chef, il bondit en lui transperçant un poumon de son épée, avant de mourir... Le crâne écrasé entre les mains du chef orc. Surpris les monstres me laissèrent une opportunité de m’échapper, que je saisit à pleines mains. Je courait en direction de la forêt qui était notre destination, pour rejoindre les hauts elfes et avec un peut de chance survivre … Survivre, c’était une pensée qui aurait pu paraître stupide dans cette situation là, mais il fallait que je réussisse, pour plus tard venger Grawir ! Je courait donc, les hordes de monstres à mes trousses, heureusement j’avais pris un peu d’avance, mais tout ces monstres étaient bien plus endurant que moi et finiraient par me rattrapé. Plus particulièrement, un groupe d’orcs armés, visiblement l’élite de ces hordes de monstres, qui se détacha des autres . Après une course poursuite des plus horribles, j’entendis un léger sifflement dans l’air, puis un instant plus tard sentir une flèche s’enfoncer dans mon épaule gauche. Je criais de douleur, le souffrance était énorme ! Et je sentais comme un liquide brûlant se répandre dans mes veines … Du poison ! J’avais très peur, cette fois j’étais persuadé que c’était vraiment la fin. Et la forêt était encore à deux heures de courses, j’étais plongé dans le désespoir total … Alors je m’arrêtait et décidait de faire face à mes poursuivants, je voulais mourir en guerrier, en digne Eldorian ! Le premier orc approcha sa monstrueuse monture de moi, feinta ordonné à sa monture de me dévorer, pour mieux me plonger dessus tout en me donnant un coup de gourdin dans la tête ! J’étais au bord de l’inconscience … Mon amie de toujours, au moins elle me donnait cet instant de répit si agréable, dans ce monde chaotique. J’étais étendu par terre, tremblant comme une feuille, autant par le peur que par la fatigue. Je vit l’orc qui s’était jeté sur moi se rapproché, un marteau de guerre en fer à la main, près à me réduire en bouille la tête … Quand soudain, une flèche lui transperça l’œil, lui arrachant un puissant cri de douleur. Un instant plus tard, ce fut une véritable pluie de flèches qui s’abattit sur les monstres, les transperçant de toute part … Puis ce fut le noir complet, l’inconscience m’avait de nouveau pris.

Je me réveilla sur le champ de bataille ou ce n’était que chaos, sang, mutilation, toutes les horreurs de la guerre. Je me rendit compte que les cadavres des orcs étaient beaucoup plus nombreux et qu’il y avait des centaines de cadavres de hauts elfes qui jonchait le sol couvert de sang, d’horribles gémissement emplissaient l’air d’une ambiance de chaos insupportable.
J’essayais de me remettre debout malgré mon horrible mal de crâne, mais je ne pouvait pas car j’était trop faible, et que le poison qui était en moi, faisait de puissant ravages dans mon corp. Alors que l’inconscience allait de nouveau me gagner, quand j’aperçus au loin un splendide elfe, resplendissant dans son armure de plate, malgré le sang qui la tachée. Donc cette fois ci, je décidé de repoussé l’inconscience pour appeler de l’aide a ce nouvel espoir. Il m’entendit et accourut vers moi pour me porter secours il appela ces congénères qui me portèrent dans leur forêt pour que leur guérisseur me soigne, cette fois ci ce n’était pas l’inconscience qui me gagna mais le coma. Je passa un mois entre la vie et la mort aux mains des guérisseurs hauts elfes. Quand enfin, ils me sortirent du coma, je m’était transformer en un Eldorian maigre, faible, des plus fragile tant physiquement que mentalement. Je ne parlait plus, mangeais peut, et j’étais incapable d’exprimer le moindre sentiments. Pendant une année, je n’avait parler qu’a une seule personne, l’ami de Grawir auquel je raconta mon histoire. Au fur et a mesure que je vivais avec les hauts elfes, le fait des le voir vivres, chanter, danser, me redonna la force de vivre de nouveau. J ‘allais voir l’ami de mon ancien mentor, Elandir. Je lui dit que j’étais près, près a suivre son enseignement pour faire mon deuil en vengeant Grawir. Nous partîmes dans la forêt pendant toutes la journée, il m’expliqua tout en marchant le rôle du rôdeur. Après avoir fais plus ample connaissance, il me jugea digne de devenir son disciple. C’est alors que, comme me l’avait dit Grawir une nouvelle vie pour moi allait commencer…

« Regarde cette fleur, c’est une Brachyolis. Cette plante est très particulière, son pollen à des propriétés de guérison. Réduis à l’état de poudre et mélangée avec de l’eau froide, elle apaise la douleur, et permet de cicatrisé les blessures plus rapidement. De plus, c’est une plante très facile à trouvée. Prend en note Aoshi, sa te sera très utile par la suite … »

Elandir m’avait réveiller très tôt ce jour là, pour m’emmener au plus profond de la forêt. Il m’avait donné un petit carnet pour que j’y note toutes les plantes, arbres, et ce qu’il me disait. A la fin de la journée, le carnet était déjà remplis au tiers ! Et il y avait encore tellement à apprendre … Les jours passèrent, puis les semaines, et bientôt les mois. J’avais énormément progressé, j’étais déjà capable de pister un loup chimériens des forêts à partir de traces vieilles de plusieurs semaines, et de le retrouver sans aucun problèmes. Il faut dire que j’avais un excellent maître, et de plus, j’avais pris goût à la lecture… lisant tout ce qui me passaient sous la main … donc du côté théorie j’étais parfaitement au point. Je me souviens une fois, que moi et Elandir, alors que nous nous baladions en forêt, nous étions tombés nez à nez à une énorme grizzly en chaleur. Des sueurs froides coulaient le long de mon cou, je n’osait pas respirer, elle montait sur ses deux pattes arrières de façon très impressionnante … Mon mentor, lui était calme, très calme. Un grand savoir faire et une concentration extrême face à une situation aussi dangereuse que celle-ci. Leurs regards se croisèrent, et ce fut comme si ils avaient conclus un marché, chacun s’en allant de son côté. Je suivis mon maître, et nous continuions mon apprentissage comme si de rien n’était.

Les rôdeurs sont divisés en cinq niveaux :
– Les apprentis (Ceux qui débutent, qui n’ont aucune connaissances du métier de rôdeur)
– Les apprentis confirmés (Les apprentis qui ont acquis les bases du métier de rôdeur)
– Les pisteurs (Ils ont depuis longtemps acquis les bases de leur métier, et font leur travail bien plus en profondeur, tel de véritables experts des bois, et forêts, de plus ils ont une bonne connaissance du combat et savent parfaitement utilisé le forêt à leur avantage pour combattre)
– Les ombres (Grand guerrier des forêts doublés d’une immense connaissance de leur milieu, ils sont redoutés de tous les êtres malintentionné qui mettent pied dans une forêt)
– Le seigneur des rodeurs; lusgorn (Grand chef de tous les rôdeurs, c’est le plus sage, celui qui à les grandes connaissances des forêts et terrain du même types.)
Au bout de presque une année j’allais seulement atteindre le rang d’apprenti confirmé. Elandir m’avait accompagné jusqu’à une sorte de grande salle de classe, ou j’y avais rejoint d’autres futurs apprentis confirmés. Un haut elfe déposa une feuille devant moi ainsi qu’une plume avec de l’encre. Un questionnaire de deux pages, rien à voir avec celui de Grawir. Je souriais en pensant cela, puis, je me concentrais et me mettais au boulot. Cinq minutes plus tard, j’avais fini. J’étais le deuxième à avoir rendus ma feuille mais j’avais la meilleure note de tous. Plusieurs rôdeurs vinrent me féliciter me disant a peu près la même chose :

« Elandir est un grand rôdeur, il a l’estime de tous, et il est très dur dans son choix d’apprenti. Pas étonnant que tu ai fi_ni premier, en plus il est un excellent professeur, bien que très exigeant. Toute mes félicitations petit humain. »
Puis ils ma tapotaient l’épaule et s’en allaient, légèrement déçus que se ne soit pas un elfe qui soit premier mais un Eldorian.

(réparation terminée pour cette partie là)

Publié : 26 avr. 2008, 16:08
par Aoshi
Quelques jours passèrent pendant lesquels nous célèbrâmes ma promotion au sein des rôdeurs.
Elandir se précipita sur moi et me réveilla brusquement :
« Est-tu prêts pour ta première mission, rôdeur ? Des orcs ont pénétrés dans la foret, a toi de les chasser de ces terres… »
Je me leva avec une énorme « gueule de bois », hocha la tête et s’arma pour le combat.
Avec une dizaine de compagnons, nous nous lançâmes à la poursuite des orcs à travers la foret. nous pistâmes les orcs jusqu’à l’entrée d’une clairière, restant tapis dans l’ombre, ils commençâmes à mettre notre stratégie en place.
Alors que j'étais caché dans un arbre je me figea soudainement, je venais de reconnaître le chef orc qui avait quelques années plus tôt tué mon ancien mentor :Grawir !
Mon sang se glaça, un sentiment de profonde haine m’envahis, mon regard se porta sur le torse de la créature, un bijoux émettant une lueur rougeâtre à la fois lourde et intense, à côté se voyait la cicatrice qui lui avait été infligée.

Le chef d'escadron lança un signal annonçant l’assaut. En un instant une pluie de flèche s’abattit sur les orcs qui surpris se débandèrent avant d’être ralliés par leur chef miraculeusement indemne.
Les rôdeurs n’attendirent pas que leurs ennemis se regroupent et chargèrent l’épée à la main.
L’effet de surprise fût total, en peu de temps le groupe d’orcs fût décimé et seul leur chef tînt tête aux rôdeurs.
Une force surnaturelle semblait le protéger des coups, une énergie infinie émanait du bijoux qui lui donnait puissance titanesque .
Pour les rôdeurs le combat se passa hors du temps, ils avaient hâte d’achever le chef orc alors que celui-ci prenait un cruel plaisir a faire durer ce combat et à faire tomber les elfes un par un . Alors qu’ils commençaient a désespérer, un elfe par chance parvint a passer dans le dos de l’orc et lui planter une dague, l’orc cria de surprise bien que là blessure soit moins importante qu’elle aurait dû et ayant déjà ramassé une hache, je la fracassa sur le bijoux, celle-ci éclata ce qui provoqua la mort de l’orc. L’énergie néfaste et violente pénétra dans mon corps. Je cria de douleur et m’évanouis.

Re: L'histoire d'un Eldorian: Aoshi [réparé et achevé]

Publié : 03 déc. 2009, 21:44
par Aoshi
L'escadron m'amena dans une ferme qui bordait la forêt et nous restâmes quelques temps histoire que je me rétablisse entièrement avant de reprendre notre route.
L'un des Homme, du nom de Retuh, un ancien bucheron, ne passa pas le premier soir. Le reste de la compagnie dû l'enterrer avec la permission du vieux fermier solitaire dans le champ de pommier qui bordait la rivière à une dizaine de mètre du chemin. Je fis un effort considérable sous l'œil attentif du chef pour me lever à l'aube de la deuxième journée pour enterrer dignement Retuh. Le moral des troupes n'était pas des plus hauts, le chef d'escadron décida qu'il était temps de reprendre notre route pour éviter des ennuis de plus au petit vieillard.
C'est donc dans l'après midi qui nous reprîmes la route en direction dans notre base. Et c'est là que je commença sans y prendre conscience à avoir une attitude inquiétante . Au couché du soleil, un jeune elfe aux long cheveux d'un blanc de neige sortit une petit harpe et commença à nous envouter avec sa mélodie pendant qu'un groupe nommé montait le bivouac. Assis sur un tronc d'arbre j'obsédais à sculpter un morceau de bois avec mon couteau quand un étrange son arrive à mes oreilles. Je leva la tête lentement et demanda d'une voix légèrement troublée si l'un des hommes présents avaient entendu ce son. Cependant aucun d'eux n'avaient perçue un quelconque son. Je repris mon activité ne faisant plus attention au bruit mais quelques minutes plus tard la lueur de mon regard s'effaça,mon esprit avec comme qui dirait quitté temporairement mon corps. J'eus l'impression qu'un deuxième moi venait de faire intrusion dans mon corps et en prenait la direction. Juste avant que je perde la notion de penser, je me mis à sourire en saluant de la main mes camardes, les larmes aux yeux.
Mon deuxième moi pris mon sac et partit dans une direction inconnue. Au bout de quelques jours de marche, je vis un bateau miteux déjà préparer, les voiles tendus comme-si quelqu'un s'apprêtait à prendre la mer. Je jeta mon sac et mon épée dans le bateau et défit le nœud qui relié le bateau au quai et partit en direction des Landes Éternelles.