Ma vie ancienne.

Ici, l'on conte des chroniques relatives aux îlots centraux
Sackow
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Inscription : 05 oct. 2008, 11:39
Localisation : Dans un désert bien sablé.

Ma vie ancienne.

Message par Sackow »

Mon enfance.
Voilà, je me nomme Sackow, un haut elfe fier de son peuple. Mon père était aussi fier de son peuple que moi, mais moi, il n'était pas fier, comme si il ne me voulait pas comme ça. Il ne m’aimait aussi sûrement pas à cause des bêtises que je faisais à l’école des artisans. Plus je faisais de bêtises ou de sèchement de cours, plus il m’ignorait. Pourtant je l’aimais, moi. Voilà ce qui explique son ignorance. Ah, il était forgeron et moi, je n’aimais pas ce métier, peut-être aussi sur ça. Il se nommait Racha. Ma mère, une femme peureuse mais élégante, me protégeait bien, c'était mon bouclier, mais préférait mon malheureux père. Rissone, ma deuxième mère cuisinait très bien, mais souvent la même chose. C’était tout de même l’elfette de la maison. Dans cette maison nous aimons chacun un métier différent, elle c’était les potions sa passion, et ça mon père l’acceptait. C’était la protectrice de la maison, dès qu’un bobo était présent, elle soignée, que se soit physiquement ou mentalement.C'était sûrement ce point là qui me mis de côté avec mon père. Ma "première" mère, avait été pris dans un incendie, j'aurai pu la sauvé mais je n'ai pas la force...C'est de ça que je me souviens d'elle...je n'est pas d'autre souvenir. Et mon père l'aimait fort, et il m'en veut certainement beaucoup. En voilà à mon frère, Joessa, sur lui, rien de grand à dire, il était muet! Cela m’apporta beaucoup de tristesse et de renfermement sur moi-même. Mais c'était tout de même la personne qui m'aimait le plus dans la famille et je comptais beaucoup sur lui.

Mon adoléscance.

Jusqu'à l'âge de 18 ans, la vie ne changeait pas...mon père ne m'aimait pas plus, ma mère toujours aussi polyvalente et mon frère, ne racontait pas plus de chose.
C'est alors, qu'avec mon ami balzardyz, un galdur artisan comme moi, ami très proche de moi, nous jouions avec du feu, nous faisions un feu de camp dans un champ de blé très sec, abandonné. Ce champ, nous l’aimions bien, c’est là que nous nous sommes rencontrés la première fois. C’était un terrain qui appartenait au vieux sage du village. Lorsqu’il fût mort, cela de m’a fait ni-chaud, ni-froid, au contraire j’étais content que nous puissions aller jouer dedans. Ce lieu était notre endroit de rendez-vous et nous y tenions beaucoup. Ce n’est pas cela que nous voulions aller là pour notre feu. C’était une chose que l’on aimait, ce mettre au tour d’un feu et se raconter des histoires. Nous n’étions pas seuls, en faite, c’était tout les amis de l’école...Mais je préférai balzardyz. Il n’avait que 16 ans mais était très intelligent, il comprenait tout rapidement, moi il me fallait de l’étude pour comprendre le fonctionnement artisanal. Et se qui devait arriver est arrivé, un éclat de feu jaie sur une herbe sèche et le champ s'enflamma. Là, je n'ai pas compris, tout allait trop vite...j'ai réussi à sortir du champ avec seulement une partie de la main brûlée, mais mes amis, eux, ne sont pas revenu. J’étais très triste, je ne savais pas si ils étaient vivants ou morts, je m’inquiétais. Et par le futur, je ne les ai jamais revu, cette chose là m’a fait mal au cœur.
Je suis alors rentré à la maison, avec la main amochée, et bien sûr mon père m'interrogea sur mon odeur et sur la main...
Je lui ai expliqué et il m'a donné une dizaine de minutes pour me laisser faire mes valises et m'a annoncé que c'était la goutte d'eau qui a fait déborder les vases, bien que c'était ma première grosse bétise. Je pense qu’il n’attendait que ça. Je suis alors partie de la maison, ma mère et mon frère me disait au revoir en larme sur l'avant de la porte et mon père...n'était même pas venu me dire au revoir.


Trois ans plus tard.
Je m'étais alors décidé de partir à l'aveugle avec le navire de mon père. Ne croyez pas qu’il me l’aurai laissé, il n’était pas assez gentil avec moi, J’ai dû le voler ! Je suis alors parti très loin vers l'horizon et je n'ai rien trouvé, à pars des poisons pour me nourrir, et encore, je n’avais rien pour les pêcher, je devais nager.
Le premier été fût assez paisible, quelques jours rudes mais je n’ai pas souffert, sauf de faim.
A l’arrivée de l’automne, puis hiver les journées était rûdes et longues...le temps ne passait pas, mais les poissons n’étaient plus là. A ce moment là, je ne faisais plus que boire, c’était difficle, en plus l’eau salée n’est pas agréable.
Les jours s'écoulaient, les mois s'écoulaient et la première année passa sans même toucher de la terre.
La deuxième année, je suis arrivée sur des terres, c'était pour moi le bonheur mais ce bonheur n'était présent que pendant les cinq premiers jours, sur cette îlot de cinq kilomètres carré vivaient personne, a part bien sûr de quelques rats et rien d'autres. Heureusement, des arbres y étaient présents, j’ai alors pris tout ce que je pouvais. Je pris les fruits, légumes, des pommes de terre... Je me suis alors remis dans le navire et suis parti à la recherche d'un autre îlot.
Les jours s'écoulaient, les mois s’écoulaient, l’hiver était toujours aussi rude, j’avais très froid et l’été était supportable.
Le troisième fut la bonne, je suis arrivé sur Draïa.
Je savais que c'était Draïa car, j'ai d'abord vu des habitants puis j'ai été dans la taverne de Réca, qui elle, m'a très bien accueilli.
J'ai tout de suite remarqué que les lumens, argent de ces terres, étaient indispensable et que l'artisanat pouvait m'aider à avoir quelques sous.
J'ai alors appris à connaître des gens bien comme Cerd,Sidwell,Kara...et j'en passe.
Mon navire est à présent inutile car j'ai décidé de rester ici, à Draïa.
Sackow,
Haut elfe,
Artisan.

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