L'histoire d'Hazkal le nain

Ici, l'on conte des chroniques relatives aux îlots centraux
Hazkal
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Inscription : 06 mars 2009, 22:14

L'histoire d'Hazkal le nain

Message par Hazkal »

Moi, Hazkal, fils de Gorron le Sanguinaire et de Darunia la violente, je suis le déscendant d'une illustre lignée dez nains tous aussi vaillants les uns que les autres. Mes ancêtres ont combatut les Landes avant moi, ont caillassé les Elfes avant moi et ont été ivrogne avant moi. C'est pourquoi il est de mon devoir de me joindre a la lutte des Landes...

Tout a commencé lorsque, étant en âge de boire, mon père m'emmena dans la tavergne de notre clan pour m'initier. Ce fut avec enthousiasme que j'engloutit ma première choppe.
Mon père était très respecter au sein de notre clan, c'etait notre chef. Il l'était surtout pour ses coups de folie envers les Elfes, qui amusé la galerie ou de son ardeur au combat à 1 contre 5. Peu lui importait que l'ennemi soit plus fort ou plus nombreux, il se jettait tête baissé dans la bataille. C'était bien souvent l'un des seul survivant de notre armée. C'était un vaillant héros, sans peur et sans reproche....

Seulement un jour, pendant qu'il chassait ,aux alentour de la mine, quelques ours pour le dîner, il tomba dans une embuscade. Le terrain était à découvert et ses adversaires, ses lâches Elfes, le regardait avec un air de dégoût et de répugnance en bandant leurs arc.
C'est avec la rage du désespoir que mon père s'élença contre eux, mais ils l'encerclait. Mon pére était pris au piège, mais malgrès ça, il avançait muni d'une simple hachette, contre une vinghtaine d'archers. Les Elfes ne tremblaient pas, à un moment leur chef s'avança et brandit son arc. Il tira sur mon père et le toucha en pleine cuisse pour le punir de l'affront qui leur faisait. Mais ça ne l'empêcha pas de d'avancé de plus belle, sans se soucier de la douleur attroce qu'il ressentait. Il arriva à hauteur de leur chef et lui trancha la tête, qui roula sur les gravats de sol rocheux que l'on trouve vers chez nous. Puis, un Elfe lui donna un coups de pied dans le ventre qui lui fit perdre l'équilibre et le renvoyat en bas de la colline. Et, tous en même temps, ils brandirent leurs arcs et tirèrent une unique rafale. Voilà comment fut la vie du plus illustre guerrier nain de tous les temps.

Lorsqu'on retrouva son corps transpercer de nombreux traits, on le porta en héros jusqu'à la place central du clan. On nous fit venir, ma mère et moi, admirer la dépouille de notre chef et on lui donna la plus belle tombe en granite dans le sous sol des Grands Nains. La pierre tombale faisait six pied de long et douze coudées de haut, avec une inscription disant:
"Gorron le Brave, ne recula jamais face a l'adversité"

Après la mort de mon père, c'est ma mère qui lui a succéder dans le rôle de chef. Elle me nomma lieutenant pour entraîner les hommes du clan pendant qu'elle entraînait les femmes. Les entraînement étaient rudes, ils se déroulaient sur des journées entières, de l'aube au couchant, nous nous battions, nous perfectionnions et nous endurcirions,... jusqu'à l'épuisement. J'étais chargé d'entraîner les jeunes, les vieux, quand a eux, partaient en haut d'une haute montagne afin de se perfectionner, en emmenant quelques stocks de boissons alcolisées.

Ainsi se passa les premiers mois après la disparition du plus farouche guerrier du clan, lorsq'un matin, alors que je chassais quelques ours blancs pour ravitailler nos troupes, un de mes éclaireur m'annonça qu'une armée importante avancée vers nous. A la fin de son message, une flèche lui transperça le torse. Alors j'ai courru, aussi vite que mes jambes le pouvaient, au clan pour les prévenirs du danger.
Lorsque je suis arrivé, le clan était en feu et les cadavres jonchaient les sentiers. Tous les visages de mes frères et soeurs, à jamais gravés dans ma mémoire pour le reste de mes jours, me hantent encore aujourd'hui... Je les voyais par dizaines, jusqu'à ce que j'arrive au pied de la maison familliale. A cet instant, la rage et le chagrin me submergèrent; là, à mes pieds gisait ma mère. Elle avait de nombreuses plaies ouvertes dû à des armes tranchantes et deux flèches plantés dans la poitrine et la cuisse. J'ai reconnu tout de suite qu'il sagissait de flèches d'orc et de gobelins. Peu à peu, mon chagrin s'estompa pour laissé place a une rage térifiante, jamais je n'avais ressenti une telle rage en moi. J'ai quand même réussi a gardé un minimum de dicernementet décidé de combattre plutôt que ne rien faire. C'était, à mes yeux, la seule façon de venger la mort du clan et celle de ma mère.

Je suis donc allait chercher des armes que j'avais entreposer dans le sous-sol de notre maison. C'est moi qui les avais caché au cas ou nous nous ferions attaqué. Je m'armas d'une hache à deux mains ,qui appartenait à mon pére, que je plaça dans mon dos, d'une hache a une mains en acier légère et maniable et de deux petites hache de lancer en fer. Puis je troqua ma tunique contre une cotte de maille en acier, que ma mère avait faites avec mon pére pour mon initiation, elle était parfaite pour le combat raprocher et pour les longues distances.
Après avoir fait une prière pour remercié mon père et ma mère de leurs savoir qu'ils m'avaient transmis, je me mis en route, le dos tourné au ruine de ma jeunesse. Une larme de rage coulait sur ma joue, ça allait saigner!...


Après avoir quitté le clan ravagé par les flammes, je me suis mis en quête des créatures qui venaient de le crussifier. Je me souviens que j'étais monté sur une colline et que j'observais le cla se faire mangé peu à peu par des flammes aussi hautes qu'un Troll. La nuit était rougeâtre malgrès les épais nuages de cette saison des pluie. Après un temps indéfinie, je me mis en route pour en finir avec ses assassins.

Pendant les premiers jours de ma chasse, je m'étais nourrit de gibier en tout genre, quelques loups et quelque tigres a dents de sabre agrémenté mes repas. Je dormais peu et marchais à une allure régulière, histoire que mes proies ne me distance pas de trop. Après plusieurs jours de chasse érrintante à travers les montagnes et les marrachages, j'avaisà rattraper mes assaillants qui plus qu'à un jour d'avance. Je décidais alors de monter un bivouac et de me reposer un peu.

Cette nuit là, je rêvais de mon clan et de mon père qui s'entraînait à manier une Hache de Thyl. Je voyais ses mouvements au ralentit et les apprenais tout en les analysant. Tout a coup je sentis une présence qui me fis sortir de mon rêve. Je me réveillas en sursaut, une dague à la main mais personne aux alentour. Lorsque je me recouchas, je vis à mes côté la Hache de Thyl de mon rêve. Je ne comprenais plus rien... Je l'as pris a plaine main et un éclaire de puissance m'envahi, je sentais tous mes muscles s'accroître et une puissance énorme entre les mains. Je la lâchas immédiatement en hurlant a l'hérésie, mais après une deuxième tentative, la Hache resta simple. Je me dis qu'elle ne représentait plus aucun danger, et je décidais de partir tuer mes adversaires.

Je n'eus pas de mal a les rattraper, ils avaient monter un camps ou deux orcs montaient la garde. J'observas un moment la situation et m'élença plus résolu que jamais. Je tuas en deux coups bien placé les deux gardes qui s'écroulèrent. Les autre réveiller par ma charge, sortir de leurs tante et se faisaient faucher au passage lorsque tout d'un coups, leurs chef les rallia et les fis perdre la peur qui s'était enparrer de leur coeur. Ils déchênas sur moi le reste de son petit groupe de survivant que je défis sans trop de mal, puis j'affronta leur chef en duel que je vainquis. J'empalas sa tête sur un pieux trouver dans le camps et l'y planta a l'entré de celui-ci. Je commença a chercher des informations dans la tante du chef et ce que je vis ne me surpris pas. Ils s'agissait d'un petit compte agent d'une cinquantaine d'individus venu en éclaireur afin de suivre mes moindres faits et gestes. Après avoir soigneusement enregistrer le lieux ou se trouver le reste de l'armée, je fis brulée le camps et les cadavres.

Après deux jours de course, j'arrivis en haut d'une colline ou je puis constater l'importante armée qui y campaient. Devant moi un camps avec au moins cinq cent individus qui d'aprés leurs fanions étaitent des Horoukkai. Je distinguais nettement la tante de leur de leur chef qui était au centre du terrain. Je me plaça en position de méditation et resta ainsi jusqu'au début des hostilitées.

Le jours était déjà bien avancé lorsque je me réveillas de ma trance. Les tantes avaient disparues mais l'armée elle était encore là et en rang. Elle m'attendait. Je me levis, déguenas ma Hache de Thyl et m'élença contre la mort. Au moment du chocs je fendit l'air avec ma nouvelle arme et losque je rouvrit mes yeux, une gigantesque tranché s'était creuser a la suite de mon mouvement en tuant de nombreuses créatures. Je répétat l'exploi un nombre incalculable de fois, le sang et les tripes giclaient dans tous les sens si bien que ma barbe et mes cheveux étaient devenue noir de sang. Le combat durat jusqu'a ce que le soleil est passer le cap de sa pleine hauteur. Je tombas a genoux pour reprendre mon souffle puis aprés de nombreuses bouffé d'air frais, je me remis sur mes jambes et allas défier le chef de cette armée redoutable. Il était grand et avait l'air puissant. Il tenait dans ses mains une longues épée toute tordue et m'assailla avec. J'esquivis tout ses assaut et répondit avec la même force, nos lames s'entrechoquèrent et nous renvoyères dans nos coins respectifs. Je chargas le premier et le toucha au coté, il gémit et me donna un violent coups de pied dansles cottes.
Je lui hurla:
- Est-ce bien toi qui a massacrer un village au Sud d'ici?
- Oui, c'est bien moi, dit-il en ricanant
- Dans ce cas tu vas payer pour la mort de mon clan, immonde créature!
- Même si je meurs aujourd'hui, ça n'a pas d'importance pour moi, mes qu'est-ce que ça t'apporteras de me tuer?! Si tu crois trouver le repos de l'âme en me tuant, soit mais je ne me laisserais pas faire, crois moi!!!!

Et il me charga de toutes ses forces, je ne pouvais que reculer devant tant de force. Au fur et a mesur du combat je sentis partir le courage qui m'avaient coulait dans les vaines pendant de nombreuses heures. Seul l'idée d'être tuer par un Horoukkai me redonnas le courage suffisant pour lutter et ne pas déserter comme un lâche. Je répondit a ses assauts avec la même violences, il m'entaillas au bras, je l'entaillais au torse et ainsi de suite jusqu'a ce que, faute de sang, je ne titube. A cet instant, il me poussa, je tribuchas et il me plantat sa lame dans le flan, je hurlais de douleur. Il croyais m'avoir eus mais je réussit a emponnier ma dague eet a la lui planter dans la gorge. Peu a peu, il relachâ la pression qu'il exerçait sur la lame et s'écroulat par terre, mort. Pour ma part, je n'allais pas tardé a y rester aussi. La blessur qu'il m'avait infligé était grave et ses paroles me tournoyaient dansla tête. "Dans un sens il avait raison, mon clan est mort et maintenant que j'ai réussit a le vanger, je suis le seul descendant d'une lignée déjà éteinte",pensais-je.
Je rassembla mes dernièrres forces et me relevaa, je brandis ma Hache de Thyl et hurla jusqu'a ce que le paradis des nains m'ouvre ses portes....

Ainsi mourrut Hazkal, le plus impétueux des jeunes nains qui est jamais existé, aujourd'hui encore sa mémoire perdure avec les siens, il resterat a jamais une Légende et un Exemple!

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