Les Voies Nocturnes
Publié : 17 mars 2008, 03:48
*Pousse la porte de la bâtisse, dépose timidement le petit essai parmi les oeuvres respectables déjà encrées par des pairs conteurs à la main rôdée*
Aventuriers le bonsoir, en ce modeste écrit
Couché avec passion et légereté d'esprit
Un sourire rêveur quant pointe la mi-nuit
D'égrener ces heures par la petite prose
Une rêverie succinte d'emblée vous propose
De vaquer par les bois, aux aurores admirer
Avec notre facétieuse compagne la curiosité
Et pour tout guide l'insatibale envie de rêver
La Caresse des cristaux mélant le sable rose
Nous étreint l'impatience des ingénus
L'escapade s'elance d'un pas soutenu
A Galein'th la quiète naquit cet opus
Derrière nous laissons ,barrière de bois close
La danse accélerons, la voûte cristalline
Passons, aux revers cendre des galeries
Secouons la rosée, des brindilles mutines
Effrayons sans y penser Lutins et moults frêles choses
Sautons par dessus roches, fourrés et arbrisseaux
Humons cet air pur, de nos belles songes berceau
Gambadons, des étendues de Pins à celles des Eaux
Nous embarquons de sitot ,à l'heure où les cieux osent
Montrer ses pâles rayons, hâte, hâte! Le temps presse
Quai évanoui bientôt, peut-être ,ma part je le confesse
Une indisposition due aux lames et de ventre faiblesse
Arrivons au port, ballôtés ou sains ,suivant l'anté cause
Posons les pieds sur Terre , et vivement remis d'appoint
Reprenons l'évasion, arpentant Val et moindres recoins
Voguons sous les arches des chênes , rive partie au loin
Par une course rapide, dépassons Gargouilles moroses
Et enfin entrevoyons aurore et la ville portes béantes
De Pierre Blanche la Grandiose, sa lumière éclatante
Des Murs émane blancheur ,par tous temps scintillante
La course prend fin en lueurs, extinction du jeu de cristaux
Que nous offrais le spectacle, en ce matin des plus beaux
Je vous remercie bien, harassés, éreintant vol depuis l'îlot
Au moins extasiés je l'espère, se traduit à nos sourires sots
Le sentiment d'avoir vécu, en cette fin de nuit,
Une envolée des plus folles, impromptue voire
Guidée par la farandole, l'envoûtement et la vie
La rime gagne en longueur , je dois laisser choir
Fin innoportune ,doit clore ce conte premier
Aux vers ciselés, inscrit à plume irrègulière
l'Amateur de la ligne , excusez s'il vous sied
Mais se peut qu'il plusse, j'en émet la prière
Hahrneogwh, Prime Ecrit ludique,
Doit retravailler certaines briques
Aventuriers le bonsoir, en ce modeste écrit
Couché avec passion et légereté d'esprit
Un sourire rêveur quant pointe la mi-nuit
D'égrener ces heures par la petite prose
Une rêverie succinte d'emblée vous propose
De vaquer par les bois, aux aurores admirer
Avec notre facétieuse compagne la curiosité
Et pour tout guide l'insatibale envie de rêver
La Caresse des cristaux mélant le sable rose
Nous étreint l'impatience des ingénus
L'escapade s'elance d'un pas soutenu
A Galein'th la quiète naquit cet opus
Derrière nous laissons ,barrière de bois close
La danse accélerons, la voûte cristalline
Passons, aux revers cendre des galeries
Secouons la rosée, des brindilles mutines
Effrayons sans y penser Lutins et moults frêles choses
Sautons par dessus roches, fourrés et arbrisseaux
Humons cet air pur, de nos belles songes berceau
Gambadons, des étendues de Pins à celles des Eaux
Nous embarquons de sitot ,à l'heure où les cieux osent
Montrer ses pâles rayons, hâte, hâte! Le temps presse
Quai évanoui bientôt, peut-être ,ma part je le confesse
Une indisposition due aux lames et de ventre faiblesse
Arrivons au port, ballôtés ou sains ,suivant l'anté cause
Posons les pieds sur Terre , et vivement remis d'appoint
Reprenons l'évasion, arpentant Val et moindres recoins
Voguons sous les arches des chênes , rive partie au loin
Par une course rapide, dépassons Gargouilles moroses
Et enfin entrevoyons aurore et la ville portes béantes
De Pierre Blanche la Grandiose, sa lumière éclatante
Des Murs émane blancheur ,par tous temps scintillante
La course prend fin en lueurs, extinction du jeu de cristaux
Que nous offrais le spectacle, en ce matin des plus beaux
Je vous remercie bien, harassés, éreintant vol depuis l'îlot
Au moins extasiés je l'espère, se traduit à nos sourires sots
Le sentiment d'avoir vécu, en cette fin de nuit,
Une envolée des plus folles, impromptue voire
Guidée par la farandole, l'envoûtement et la vie
La rime gagne en longueur , je dois laisser choir
Fin innoportune ,doit clore ce conte premier
Aux vers ciselés, inscrit à plume irrègulière
l'Amateur de la ligne , excusez s'il vous sied
Mais se peut qu'il plusse, j'en émet la prière
Hahrneogwh, Prime Ecrit ludique,
Doit retravailler certaines briques