Un bain en Naralik
Publié : 11 janv. 2009, 00:54
Sage, clairvoyante au nom prédestiné,
Je n’aurais jamais cru que cette destinée
Me mènerait à toi et à tous tes cadeaux,
Et nous entraînerait dans ce charmant rondeau.
D’abord, j’ai apprécié tes récits du passé.
Pour me sortir des livres, tu m’as embrassé,
Tu m’as pris la main et montré de beaux endroits;
Car, la beauté parfois transparaît sous l’effroi
Des souterrains anciens ou vivent les gargouilles.
Je te dis « vous » et toi, tu me fais des papouilles!
Tu m’as pris la main, offert de précieux secrets.
Mais toujours tu m’a laisser seul les pénétrer.
Comme un guide merveilleux au passé mystérieux...
Car je sens tant de souvenirs dans tes yeux.
Prenant tes confessions comme une marque d’estime,
J’ai la nuit dévoré tes carnets très intimes:
Cauchemars, cris, cocons noirs, cacophonies,
Il faudra être solide pour trouver l’harmonie.
Et je dois l’avouer, parfois j’ai un peu peur
Ne pas vraiment pouvoir être à la hauteur.
En attendant j’espère répondre à tes caresses,
Malgré mon très jeune âge, avec assez d’adresse!
Malade de toi, bienheureux par dessus tout
Tu m’as pris la main et c’est un sérieux atout.
Bien maladroitement, je crains le temps qui passe:
Comment te rendrai-je assez toutes tes grâces ?
Je n’aurais jamais cru que cette destinée
Me mènerait à toi et à tous tes cadeaux,
Et nous entraînerait dans ce charmant rondeau.
D’abord, j’ai apprécié tes récits du passé.
Pour me sortir des livres, tu m’as embrassé,
Tu m’as pris la main et montré de beaux endroits;
Car, la beauté parfois transparaît sous l’effroi
Des souterrains anciens ou vivent les gargouilles.
Je te dis « vous » et toi, tu me fais des papouilles!
Tu m’as pris la main, offert de précieux secrets.
Mais toujours tu m’a laisser seul les pénétrer.
Comme un guide merveilleux au passé mystérieux...
Car je sens tant de souvenirs dans tes yeux.
Prenant tes confessions comme une marque d’estime,
J’ai la nuit dévoré tes carnets très intimes:
Cauchemars, cris, cocons noirs, cacophonies,
Il faudra être solide pour trouver l’harmonie.
Et je dois l’avouer, parfois j’ai un peu peur
Ne pas vraiment pouvoir être à la hauteur.
En attendant j’espère répondre à tes caresses,
Malgré mon très jeune âge, avec assez d’adresse!
Malade de toi, bienheureux par dessus tout
Tu m’as pris la main et c’est un sérieux atout.
Bien maladroitement, je crains le temps qui passe:
Comment te rendrai-je assez toutes tes grâces ?