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A la lueur de l'obscurité

Publié : 31 juil. 2010, 01:33
par yoyosky
*l'elfe devant sa cheminée raconte une histoire*

Pour vaincre la nature et asseoir son pouvoir,
Les landes prient la mort et crient au désespoir.

La fine lame brille du reflet de la lune,
Un regard farouche balaye l'horizon,
Tel l'œil du faucon annonce l'infortune
"La guerre est annoncée" résonnent les clairons

Sans haine et sans rancœur les courageux s'avancent,
pour affronter la nuit et vaincre l'ennemi,
Les chimères et démons n'ont plus l'ombre d'une chance.
Les armes, le sang, la boue, se mélangent à la pluie.

Puis la lueur de l'aube annonce enfin la vie,
La peur et la douleur s'effacent enfin des cœurs,
Des cœurs enfin guéris, qui hurlent la victoire,
Qui hurlent notre foie, notre âme et notre honneur!


Peut-être un jour viendra-t-elle? l'espoir fait vivre...

Re: A la lueur de l'obscurité

Publié : 12 sept. 2010, 02:18
par yoyosky
Lente est la vermine qui sommeille au fond de nous,
En notre âme infiltré de notre esprit se joue.

Cruelles et voraces, profitent des querelles,
S'enfoncent en Séridia, sans remord et sans peine,
achèvent nos coeurs épris d'une flamme immortelle,
la flamme de notre amour, celui qui brise nos chaînes.

Soldat qui git au cœur de la montagne,
entend le vend hurler une plainte entêtante,
réveillant l'émotion à jamais disparue,
d'une dépouille perdue au sein de la tourmente.

Je verse une larme à tous ces guerriers,
qui loin d'avoir vaincu, n'ont pas abandonné,
le moral abattu, l'esprit déterminé,
une flèche tordue, une lame brisée.

Amis de la liberté, guidez nos pas vers la victoire,
Car loin d'être terminé, le voyage ne fait que commencer

Re: A la lueur de l'obscurité

Publié : 09 oct. 2010, 19:55
par yoyosky
Une fleur délicate, un parfum envoutant,
Une mer qui s'agite, en mon cœur battant.

Si fragile et si doux, ce merveilleux pétale
Caresse ma main creuse, de ce poison létal.
Le sentiment profond, qui perce le fond de moi
Reflète ma folie, et puis mon désarroi.

Cette fleur envolée, à jamais disparue,
Qui a abandonné ma pauvre âme perdue
s'éloigne au lointain, à travers l'horizon,
Traversant les chemins, franchissant les cloisons.

Aujourd'hui le besoin de retrouver encore
Ma raison d'espérer, Eh oui ! d'aimer encore
Une fleur mortelle au fond de ma main creuse,
Noya dans le chagrin cette flamme impétueuse.