Sous tes draps et tissus, toi que l'on nomme marchand,
N'est tu pas abbattu, par le pouvoir de l'argent ?
Il a une influence, sur tous ceux qui l'adore,
Il sait les mettre en transe, pour quelques petites pièces d'or.
Dans ta cupidité, toi qui te cropis si riche,
N'as tu pas oublié, que mal est le mépris?
Tu te crois supérieur, en ressort triomphant,
Y laissant ton bohneur, emporté par le vent.
Toi qui n'as de pitié, et qui piétine les pauvres,
Ils ont la liberté, sais tu aimer les autres?
L'on ne peut tout achete, et surtout pas l'amour,
Tu seras déprimé, vers la fin de tes jours ...
Lettre aux marchands
Oh! Grand fou, vieux débris, toi que l'on appelle or,
Ne t'es tu pas épris, de cette si belle aurore?
Tu y prends du plaisir, à les manipuler,
Eux qui rêvent de saisir, ta précieuse volupté,
Car si tu les a eus, moi je te combattrai,
N'est tu donc pas déçu, de ne pas m'emmailler?
Je ne suis pas bien riche, et vit très bien avec,
Je voudrais bien mourir, je suis bien circoncept.
Toi qui détruit souvent, sache que l'on se rends compte,
Que l'argent des dépenses, est sâle et et le monde bon,
On se met à crier, pour dresser une barrière,
Nos esprits insurgés, que tu règnes en ces terres...
(Je laisse un bout de parchemin pour tous ceux qui veulent ajouter quelque chose, il y a tellement à dire sur ce sujet...)
Ne t'es tu pas épris, de cette si belle aurore?
Tu y prends du plaisir, à les manipuler,
Eux qui rêvent de saisir, ta précieuse volupté,
Car si tu les a eus, moi je te combattrai,
N'est tu donc pas déçu, de ne pas m'emmailler?
Je ne suis pas bien riche, et vit très bien avec,
Je voudrais bien mourir, je suis bien circoncept.
Toi qui détruit souvent, sache que l'on se rends compte,
Que l'argent des dépenses, est sâle et et le monde bon,
On se met à crier, pour dresser une barrière,
Nos esprits insurgés, que tu règnes en ces terres...
(Je laisse un bout de parchemin pour tous ceux qui veulent ajouter quelque chose, il y a tellement à dire sur ce sujet...)