A mes vipères, à mes démons :
J'ai longtemps crains ta morsure,
petit animal aux yeux luisants,
et ta langue qui sussure,
des mots avilissants.
Je me relèverais encore,
Je tâcherais de m'endurcir au poison,
Que tes crochets jettent sans effort,
Tant ta haine est une passion.
Tu t'y adonnes avec joie,
petit animal brun luisant,
tu restes cachée, aux aboies,
Prête à tuer tes concurrents.
Bientôt je n'aurais plus peur,
Et je piétinerais à terre,
tes infondées rancoeurs,
t'étouffant du poing, belle vipère.
Vipère au poing
Vipère au poing
"Donnez-moi la sérénité
D'accepter les choses que je ne peux changer,
Le courage de changer celles que je peux,
Et la sagesse d'en connaître la différence"
D'accepter les choses que je ne peux changer,
Le courage de changer celles que je peux,
Et la sagesse d'en connaître la différence"