Moi

Ici, l'on conte des chroniques relatives aux îlots centraux
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Symork
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Inscription : 08 mai 2007, 16:14

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Message par Symork »

Prend sa plume, Symork n’avait point l’habitude d’écrire, mais il se décida de s’y mettre, peut être cela le soulagerais de conté un peu sa vie.

Il se demanda par ou commencer, peut être par avant sa naissance, lorsque ces parent qui n’avait rien en commun se rencontrèrent et eurent cette liaison…
D’une écriture maladroite il commença à essayé de traduire ces pensée, ses souvenir et ce qu’on lui avait raconté.


On me raconta dans mon enfance que ma mère Eldoriane et mon père Sinan s’était rencontré lors d’une fête qui avait eu lieu entre deux villages ennemis dans le but de trouver un accord de paix, ils avaient tout deux bu beaucoup ce soir la est eurent une relation sexuel, d’ou ma conception.
Leur relation fut passionné pendant longtemps, mais en cachette.
Hélas le père de ma mère le su et tua mon père pour l’honneur de sa famille.
Ma mère fut enfermé et séquestré jusqu'à ce qu’elle me donne vie, une fois fais elle fut envoyé dans pays lointain, vendu comme esclave par les eldorians pour ma nativité.
Je vécus mon enfance auprès de mon grand père, en tant qu’esclave. Il ne m’a jamais accépté et ne m’acceptera jamais.
Mon enfance fut terrible, fouetté a la moindre erreur, rejeté des eldorians en toute circonstance, j’était le Bâtard du village et faisait honte à ma famille, les enfant me jetait des pierre, les adulte des coup de pied ou des coup de poing.
Le pire était mon grand père qui tout les soir peut être pour se venger de ma mère qu’il avait vendu, me battais encore et encore et trace d’une larme qui à perlé encore…
Quelle sombre enfance emplis de violence et de peine !

Arriva mon douzième printemps, j’avais eu le temps de m’endurcire, j’était bien plus fort que les autre enfant de mon ages, mais je n’avais pas le droit de répondre au humiliation diverse et variée qui continuais sans cesse. Je vivais un éternelle conflit intérieur entre accepter et se rebellé, un jour alors qu’un enfant ma jeta un pierre le côté rebelle ressortie, et je cogna, juste un coup de poing cet enfant. Aussitôt mon Grand père fut mis au courant et me donna la pire raclé que j’avais eu, il me laissa presque mort sur le sol sal de la grange ou je devais vivre avec les bête de somme.
Je me rappelle m’être réfugier dans un coin sombre et d’avoir pleuré, heureusement une bonne âmes, une voisine vint me soigné, pas par respect pour moi, car je restais le bâtard, mais par respect de la vie, et cela je ne l’oublierais jamais !
Quand je fut remis sur pied, au bout de deux lune, je m’enfuie de mon village et marcha plusieurs jour pour arriver a un village de sinan. Leur pratique était étrange ils redonnaient vie a des bêtes pour faire le travail des champs, ils s’adonnaient a des jeu de lutte, des mercenaire vivait aussi dans ce village, et le soir a la taverne ils contaient avec fierté leur actes criminel.
Je fut en faite bien accueillis racontant que j’était un sinan, j’essaya de m’adonner a leur culture et je doit dire que je m’en suis pas trop mal sorti. C’est dans ce village qu’on m’appela ainsi, Symork.

Arriva mon quinzième printemps, j’arrivais a survivre en revendant les champignon que je cueillais en forêt, de la culture de quelque terre abandonné qui me donnait les fruit et les légume nécessaire a ma survit mais aussi a la revente à l’auberge. La vie était difficile, mais je débrouillait pour survivre, et personne ne me donnait d’ordre.
Un matin alors que je partais pour ma récolte de champignon en foret, je vis en bas de la foret, sur le route, un convois étrange, je me dirigea avec discrétion et curiosité, et je vis mon grand père, sur son cheval, mon cœur se serra, lui qui hantais encore mes cauchemar les plus sombre était la…
Que venait t il faire ? Me chercher ? mon sang ne fit qu’un tour dans ma poitrine et je m’enfuit du village qui m’avait accueilli.
J’appris plus tard qu’en effet il était venu me chercher, un des villageois sinan avait vendu l’information de ma présence a mon grand père.
Je sus aussi que les sinan de ce village outré d’avoir accueilli un bâtard, avait organisé une immense battu dans le but de me retrouver et de me tué.
Mais pendant tous ce temps la, je m’était réfugié dans la forêt la plus sombre et la plus profonde de la régions.
Au bout de plusieurs jour de marche, je m’effondra au sol épuisé et mourrant de faim, je fut recueilli par des elfes qui me secoururent d’une mort certaine.

Apres plusieurs jour d’inconscience j’ouvrit les yeux et ce que je vis fit vibré en moi les plus sombre et en même temps merveilleux sentiment.
Une femme d’une beauté des plus pure était en train de me soigner. Qui était elle ?
Nous fîmes connaissance, malgré nos différence nous commencions à nous aimé, du plus pur et profond des amours. Nous savions que cet amour était voué a l’échec et pourtant… nous avons essayé de le vivre malgré nous, malgré le peuple elfe… jusqu’au jour ou nous fîmes découvert…
Ce qui se passa par la suite fut la pire des choses qui puisse m’être arrivé, Elle… l’amour de ma vie, celle qui me disait qu’elle m’aimait aussi, se moqua de moi et me dit qu’une elfe ne peut être amoureuse d’un simple humain, que je n’était qu’un amusement pour elle, que je n’était pas digne d’être auprès d’elle. Une autre trace de larme.
Le cœur aussi lourd qu’une enclume, la haine en moi, la douleur qui restera éternellement en mon cœur, je repartie de se village, la rage au ventre.

Arrivé a mon vingtième printemps, je vivait avec des mercenaire de la pire espèce ou les querelle ne cessait, les combat avec les autre clan de mercenaire faisait rage, et j’avais la rage, toujours cette petite voix au fond de moi qui me disait tue ou on te tuera, aime et on te blessera, défend ta propre vie, hais comme on t’a haïs, ne laisse plus les gens te faire du mal…
J’étais devenus solitaire, me battant a la moindre provocation, tuant les voyageur pour leur volé quelque malheureuse pièces d’or !
Je survivait allant a tous les excès de boissons, de prostitué, de violence, petit à petit je m’approchais de la mort inlassablement, après du recul, je me dit que c’était sûrement ce que je désirait au fond de moi.
Une nuit de décadence après une victoire contre un clan ennemis, je fit un rêve, un rêve des plus étranges. Je rêva d’une kultar, tout de blanc vêtu, une peau rouge pourpre, des petit lunette, elle me dit que là n’était ma vie mais que je devait partir et marché vers l’Est, sans me retourner, et marché jusqu’au cœur des landes, jusqu’en territoire de séridia, elle me dit aussi que le voyage importait plus que l’arrivé, que je devais vivre chaque instant, chaque souffrance de ce voyage pour savoir… le rêve s’arrêta la et je me réveilla.
Plusieurs fingelien passèrent, peut être 3, je ne sais. Un jour je me rappela mon rêve, et décida de partir vers cet endroit.

Pose sa plume, fatigué de toute ces écritures, il écrira le voyage plus tard quand il en aurait envis…
La peur, la douleur, le mal ne sont que préceptes inutile et futile en soi lorsqu'on fait subire tout cela aux autres!

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