En toute modestie, destin d'un Galdur surpuissant.
Publié : 06 juin 2006, 16:39
En toute modestie
(plaidoirie d'un scalde agacé pour une relation plus modeste de nos aventures)
Un début extrarordinaire
En ce jour glacial du Fingelien 361, je me lève, aussitôt mon pas fait trembler le sol du Désert de Taharaji.
Devant moi rangés pour l'inspection se tiennent mes troupes.
Une centaine de Chimériens, trois ou quatre cents démons lapins et du menu fretin par milliers, Trolls et autres faibles créatures.
J'éternue négligeant et mon souffle renverse une dizaines de mes capitaines cyclopes.
Suite captivante de mes aventures
Debout sur un nuage, je crie "En avant vers Illumen", ma voix déchire l'air et fait pleurer les Dieux.
Devant notre avance irrésistible les plus hauts chênes tombent et les montagnes s'écroulent.
Nous voici devant la porte du Désert des pins ou quelques minuscules vermines essaient de nous couper le chemin.
D'un orteil distrait j'écrase Zamaah et Sathia, un de mes crachats noie toute la Gilde MM d'un coup pendant que Tictorius, Achiléis et les aventuriers survivants s'enfuient en laissant leur armure à terre.
C'est que je suis un peu soupe au lait, je tiens mon caractère parfois emporté de mon père Dieu du métal.
Mais il est temps de se réveiller
Rendu au port, je néglige les bateaux amarrés la et bien trop faibles pour m'emmener, je m'élève d'un bond et je retombe prés de Molgor au dépôt d'Illumen.
Le Mallorne libre parlera dans son édition du jour de 13871 morts à la suite du séisme causé par ma souple réception.
Rendu en ce lieu, j'ouvre mon dépôt et m'écrie "Moi, Titi, héros émérite vends trois peaux de lapin et une de castor".
/* Le texte ci-dessus est certifié par la gilde des écrivains comme contenant 100% de deuxième degré en dépit d'un certain réalisme sur les capacités exceptionnelles du narrateur */
(plaidoirie d'un scalde agacé pour une relation plus modeste de nos aventures)
Un début extrarordinaire
En ce jour glacial du Fingelien 361, je me lève, aussitôt mon pas fait trembler le sol du Désert de Taharaji.
Devant moi rangés pour l'inspection se tiennent mes troupes.
Une centaine de Chimériens, trois ou quatre cents démons lapins et du menu fretin par milliers, Trolls et autres faibles créatures.
J'éternue négligeant et mon souffle renverse une dizaines de mes capitaines cyclopes.
Suite captivante de mes aventures
Debout sur un nuage, je crie "En avant vers Illumen", ma voix déchire l'air et fait pleurer les Dieux.
Devant notre avance irrésistible les plus hauts chênes tombent et les montagnes s'écroulent.
Nous voici devant la porte du Désert des pins ou quelques minuscules vermines essaient de nous couper le chemin.
D'un orteil distrait j'écrase Zamaah et Sathia, un de mes crachats noie toute la Gilde MM d'un coup pendant que Tictorius, Achiléis et les aventuriers survivants s'enfuient en laissant leur armure à terre.
C'est que je suis un peu soupe au lait, je tiens mon caractère parfois emporté de mon père Dieu du métal.
Mais il est temps de se réveiller
Rendu au port, je néglige les bateaux amarrés la et bien trop faibles pour m'emmener, je m'élève d'un bond et je retombe prés de Molgor au dépôt d'Illumen.
Le Mallorne libre parlera dans son édition du jour de 13871 morts à la suite du séisme causé par ma souple réception.
Rendu en ce lieu, j'ouvre mon dépôt et m'écrie "Moi, Titi, héros émérite vends trois peaux de lapin et une de castor".
/* Le texte ci-dessus est certifié par la gilde des écrivains comme contenant 100% de deuxième degré en dépit d'un certain réalisme sur les capacités exceptionnelles du narrateur */