Recueils d'aventures liées à un Homme Bleu
Publié : 27 juin 2006, 01:54
I. Première Chronique sur Nodusi, arrière grand-père de Nodusii
Je me présente tout d'abord à vous, en ce jour plutôt particulier puisque j'ai retrouvé mes parchemins ayant trop traînés au fond de ma tente ([201;102]) dans le désert de Kamara aussi appelé Starath Lin. Je m'appelle Nodusii et je vais vous faire partager mon histoire de ma naissance à la fin de mon emménagement chez Balaïdaïme
Voici les premières pages de mon recueil qui reste à prolonger et à terminer. Celui-ci commence par l'épopée de mon père, un vrai héros dont je ne me souviens plus. En effet, j'ai perdu la mémoire à mon arrivée sur Seridia, continent fort vaste et empli d'ennemis à qui je n'ose encore me mesurer.
Il est déjà très tard mais comme à l'accoutumée, j'esquisse quelques uns de mes récits avant de me coucher, portant dans mes bras mon seul enfant, Nodusii, en qui je porte beaucoup d'espoirs pour rendre nos terres plus joyeuses et moins funestes. Je vais encore devoir lui narrer des récits d'épopées fantastiques de mes ancêtres ou de moi-même afin qu'il s'endorme tranquillement et le cœur empli de courage et de sympathie pour ses aïeux.
Ce soir, je vais lui parler de son grand-père dont il porte le nom, Nodusi. Celui-ci était un Homme Ancien, qui, à la suite de nombreuses années passées en terres saintes de Seridia, revint sur le continent extérieur pour rapporter de son voyage, des connaissances acquéries après de longs écoulements de sabliers. Durant ses lectures avec pour seule luminosité une petite bougie, il cherchait à interpréter des gravures d'êtres méconnus ayant vécu bien avant nous. Celles-ci décrivaient comment faire appel à des forces dévastatrices encore inconnues, les invocations. Nous n'arrivons aujourd'hui à en faire usage pour des soutiens quelque peu éphémères puisque ne durant qu'environ une heure maximum. Mais dans ces temps très anciens, ces êtres étaient capables de faire appel à des chimères, des monstres tels que des gobelins mais aussi et surtout à des créatures qui attirent encore aujourd'hui notre curiosité comme les licornes, les chimères ou bien les dragons.
Je disais donc qu'il est revenu de ces terres avec le moyen d'en faire usage et ne s'en privât pas. A peine arrivé à l'extérieur (c'est comme cela que l'on appelait le continent à cette époque reculée), il demanda à ses proches et même à ses enfants dont ma mère faisait parti de s'empresser d'aller chercher des ingrédients plutôt douteux voire risqués à se procurer dans le seul but d'invoquer un dragon qui pourrait les aider à devenir richissime et à attirer le respect puisque peu banal. Il savait que cela dépassait tout entendement mais fit tous les efforts possibles pour que ses recherches précédentes aboutissent. Il avait aussi ramené de ses fouilles une mystérieuse pierre sans laquelle aucune invocation de ce type ne fonctionnerait.
Après quelques mois de durs labeurs, notre famille accompagnée de quelques villageois se réunirent pour admirer cette étrange célébration. Ils bâtirent ensemble un autel circulaire d'environ deux mètres de haut parsemé d'objets a vocation magique et où prônait fièrement la pierre découverte par mon grand-père, d'un bleu éclatant et pénétrant ressemblant à ce que l’on appelle aujourd’hui pierre de liaison mais de diamètre bien plus conséquent. Le rituel dans une langue ressemblant à du charabia une fois accompli, les cieux se colorèrent et ne laissèrent finalement plus passer la lumière des astres. Et une magnifique mais bientôt inquiétante forme ailée plongea des cimes pour atteindre le lieux des festivités.
Celle-ci était écaillée et d'un bleu si profond qu'il paraissait impossible qu'une telle chose existe. Elle dégageait une telle puissance que beaucoup ne mirent que quelques secondes pour se terrer dans leurs appartements. Arrivée à une centaine de mètres du sol, on commença à ressentir les vents dégagés par ces battements d'ailes. Elle devaient bien mesurer au moins cinquante mètres de long et engagea simplement un souffle meurtrier de flammes sur les villageois ébahis mais bientôt tous furieux , peureux ou paralysés de cette menace. Elle arrosa de ses flammes rouges flamboyantes tirant sur le bleu le quart des bâtiments du village sans pour autant viser les villageois affolés. Elle finit sa course en cramant abusivement l'autel de sa création. qui n’eut d'autre conséquences que de faire disparaître cet être paraissant d'un autre monde.
Ces faits sont si longs que je m’aperçois finalement que mon enfant est déjà, malgré une journée peu fatigante en train de dormir. Je vais donc terminer très rapidement mais continuer demain pour finaliser l'histoire peu banal de mon grand-père. Après cette catastrophe, ce dernier fut chassé ainsi que ma famille du village et durent se réfugier dans les montagnes avoisinantes, ne leur offrant aucune sécurité. Mais mon grand-père en quête constante d'un aboutissement applaudit ne tarda pas à chercher à nouveau une pierre si précieuse puisqu'elle permettrait d'une utilisation avec tact de repousser pourquoi pas des armées entières d'hommes ou de créatures peuplant sans gène aucune les Terres Eternelles.
Je me présente tout d'abord à vous, en ce jour plutôt particulier puisque j'ai retrouvé mes parchemins ayant trop traînés au fond de ma tente ([201;102]) dans le désert de Kamara aussi appelé Starath Lin. Je m'appelle Nodusii et je vais vous faire partager mon histoire de ma naissance à la fin de mon emménagement chez Balaïdaïme
Voici les premières pages de mon recueil qui reste à prolonger et à terminer. Celui-ci commence par l'épopée de mon père, un vrai héros dont je ne me souviens plus. En effet, j'ai perdu la mémoire à mon arrivée sur Seridia, continent fort vaste et empli d'ennemis à qui je n'ose encore me mesurer.
Il est déjà très tard mais comme à l'accoutumée, j'esquisse quelques uns de mes récits avant de me coucher, portant dans mes bras mon seul enfant, Nodusii, en qui je porte beaucoup d'espoirs pour rendre nos terres plus joyeuses et moins funestes. Je vais encore devoir lui narrer des récits d'épopées fantastiques de mes ancêtres ou de moi-même afin qu'il s'endorme tranquillement et le cœur empli de courage et de sympathie pour ses aïeux.
Ce soir, je vais lui parler de son grand-père dont il porte le nom, Nodusi. Celui-ci était un Homme Ancien, qui, à la suite de nombreuses années passées en terres saintes de Seridia, revint sur le continent extérieur pour rapporter de son voyage, des connaissances acquéries après de longs écoulements de sabliers. Durant ses lectures avec pour seule luminosité une petite bougie, il cherchait à interpréter des gravures d'êtres méconnus ayant vécu bien avant nous. Celles-ci décrivaient comment faire appel à des forces dévastatrices encore inconnues, les invocations. Nous n'arrivons aujourd'hui à en faire usage pour des soutiens quelque peu éphémères puisque ne durant qu'environ une heure maximum. Mais dans ces temps très anciens, ces êtres étaient capables de faire appel à des chimères, des monstres tels que des gobelins mais aussi et surtout à des créatures qui attirent encore aujourd'hui notre curiosité comme les licornes, les chimères ou bien les dragons.
Je disais donc qu'il est revenu de ces terres avec le moyen d'en faire usage et ne s'en privât pas. A peine arrivé à l'extérieur (c'est comme cela que l'on appelait le continent à cette époque reculée), il demanda à ses proches et même à ses enfants dont ma mère faisait parti de s'empresser d'aller chercher des ingrédients plutôt douteux voire risqués à se procurer dans le seul but d'invoquer un dragon qui pourrait les aider à devenir richissime et à attirer le respect puisque peu banal. Il savait que cela dépassait tout entendement mais fit tous les efforts possibles pour que ses recherches précédentes aboutissent. Il avait aussi ramené de ses fouilles une mystérieuse pierre sans laquelle aucune invocation de ce type ne fonctionnerait.
Après quelques mois de durs labeurs, notre famille accompagnée de quelques villageois se réunirent pour admirer cette étrange célébration. Ils bâtirent ensemble un autel circulaire d'environ deux mètres de haut parsemé d'objets a vocation magique et où prônait fièrement la pierre découverte par mon grand-père, d'un bleu éclatant et pénétrant ressemblant à ce que l’on appelle aujourd’hui pierre de liaison mais de diamètre bien plus conséquent. Le rituel dans une langue ressemblant à du charabia une fois accompli, les cieux se colorèrent et ne laissèrent finalement plus passer la lumière des astres. Et une magnifique mais bientôt inquiétante forme ailée plongea des cimes pour atteindre le lieux des festivités.
Celle-ci était écaillée et d'un bleu si profond qu'il paraissait impossible qu'une telle chose existe. Elle dégageait une telle puissance que beaucoup ne mirent que quelques secondes pour se terrer dans leurs appartements. Arrivée à une centaine de mètres du sol, on commença à ressentir les vents dégagés par ces battements d'ailes. Elle devaient bien mesurer au moins cinquante mètres de long et engagea simplement un souffle meurtrier de flammes sur les villageois ébahis mais bientôt tous furieux , peureux ou paralysés de cette menace. Elle arrosa de ses flammes rouges flamboyantes tirant sur le bleu le quart des bâtiments du village sans pour autant viser les villageois affolés. Elle finit sa course en cramant abusivement l'autel de sa création. qui n’eut d'autre conséquences que de faire disparaître cet être paraissant d'un autre monde.
Ces faits sont si longs que je m’aperçois finalement que mon enfant est déjà, malgré une journée peu fatigante en train de dormir. Je vais donc terminer très rapidement mais continuer demain pour finaliser l'histoire peu banal de mon grand-père. Après cette catastrophe, ce dernier fut chassé ainsi que ma famille du village et durent se réfugier dans les montagnes avoisinantes, ne leur offrant aucune sécurité. Mais mon grand-père en quête constante d'un aboutissement applaudit ne tarda pas à chercher à nouveau une pierre si précieuse puisqu'elle permettrait d'une utilisation avec tact de repousser pourquoi pas des armées entières d'hommes ou de créatures peuplant sans gène aucune les Terres Eternelles.