Histoire d'un elfe [rejetez y un oeil je l'ai remis a jour]

[Wrandrall]

salutations, voyageurs. vous me connaissez sans doute, je le sais. Mais je pense que vous ignorez tout de mon histoire, et je vais donc vous la raconter.
Tout commença losque je vins au monde dans la fabuleuse contrée de Séridia. Je me nomme Wrandrall, Un haut elfe comme les autres. Pourtant, je vais tout de même vous raconter mon histoire.
Cette terre était alors déjà fort peuplé losque je vint au monde. un monde remplis de courageux guerriers mais aussi d'artisans, forgerons, nécromanciens redoutables alchimiste, druides et commerçants.
Malheureusement, Les monstres existaient aussi, rôdaient partout et je n'aurai jamais connus les landes si ma mère n'avait pas échappée à l'un deux (du moins c'est ce qu'elle m'avait raconté un soir d'orage)
Elle m'avait dit qu'un orc armé lui avait assené un coup d'épée en visant le ventre, mais il la frappa dans la jambe sans doute ivre mort, mais bon ça, c'est son problème) plutôt ivre que mort, c'est bien dommage et mon père coura à son secours, lui qui c'était éloigné un instant.
bien sûr, elle alla voir un magicien pour qu'il la soigne, mais il restera toujours une cicatrice.
Mes parents était tellement heureux d'avoir un fils et donc de pouvoir assurer la descendance de notre famille qu'il organisèrent un banquet en mon honneur.
Mais ma vie ne fut pas toujours heureuse ( d'ailleurs, elle le fut rarement, si ce n'est le moment ou ils se sont mariés, le moment ou je suis né et les moment ou mon père revenait avec des livres ou autre objets trouvé sur des gobelins ou gargouilles) car le deuil devait frapper notre famille: mon père décida un jour de défier les ogres de Zork'len car notre famille, vivant de peu s'apauvrissait car les gobelins et les gargouilles ne donnait que peu de pièces d'or, et c'était en fonction de cela que nous vivions. Il est donc allé à Zork'len pour trouver un ogre, ....En route pour conquérir une immortelle gloire,il ne rencontra que l'affligeante mort; tombée dans une mare boueuse,mon père ne vit pas l'imposant monstre qui,traîtreusement,s'était approché de lui.Ce monstre,un terrifiant cyclope,voyant mon père embourbé et aveuglé,lui fendit le crâne avec sa lourde masse,sans lui laisser l'ombre d'une chance".

C'est ainsi qu'il disparu. Nous l'apprîme deux jours plus tard. Nous n'étions pas inquiets car il nous avait prévenus qu'il tarderait. toujours est-il qu'un autre guerrier nous apporta son corps
ce même guerrier frappa à notre porte alors que nous allions nous coucher
-bonsoir, gente demoiselle
- bonsoir. qui êtes vous?
- je suis l'un des meilleurs amis de votre mari et...je dois vous annoncer une nouvelle
devenant inquiête, ma mère demanda:
- quelle est cette nouvelle?
- et bien votre mari... il est mort...
- QUOI???
- il a été tué par un cyclope qui l'a assasiné alors que votre père était aveuglé
- je... je... avez vous son corps?
- bien sûr! je vous l'ai ramené, je vous donne toutes mes condoléances avec... je suis désolé pour vous
- merci beaucoup, repartez s'il vous plait à présent

Ma mère ne s'est jamais remie de la mort de mon père, et était triste tout les jours, toutes les nuits -ou elle fesait le même cauchemar souvent, ou elle le voyait mourir- tout les mois. Si bien que je quitta la maison dans l'espoir de me venger du Cyclope qui l'avait tué en m'entrainant jour après jour, pour tuer tout Cyclope que je croiserai au cas ou se serait l'assasin de mon père, ce Héros.
je n'ai pas toujours été comme cela, je n'ai jamais été vengeur auparavant. Mais attaquer une personne aveuglée, c'est franchement... Je ne saurai trouver aucun mot pour qualifier cette traitrise.
pendant plus de 20 fingeliens, j'ai beaucoup voyagé, rencontré de nobles aventurier, je combattait, et je combat encore, je m'enrichis un jour, je me fait volé le 2ème par un voleur plus fort que moi, mais j'ai survécu à tous ces malheurs grâce à la gentillesse et l'honnêteté d'autres voyageurs.
j'ai beaucoup voyagé, ce sont mes paroles. mais cela ne veut pas dire que c'était non sans mal. j'ai souvenance d'une traversée en pleine mer ou la tempête fesait rage, les voiles se déchiraient comme du tissus alors qu'elle étaient le résultat d'un croisement de plusieurs matériaux bien plus solides. tout le monde en était fatigué, mais nous savions tous que laisser tomber le gouvernail, ne plus tenir la voile etc..., tous savait que ce serait une erreur.
Soudain, quand je sentit que notre fin approchait, je vit un objet flotter à la surface. après avoir donné le gouvernail à quelqu'un, j'essaya de repêcher l'objet. j'y suis arrivé quelques secondes après. cela ressemblait à une bague en or, et cette bague m'avait l'air très précieuse, je fus frappé par sa beauté. je l'enfila de façon à ne pas la perdre, lorsque tout d'un coup, une forme naissait. je ne savait pas de quoi il s'agissait, et je ne saurait vous le dire maintenant, toujours est-il que cette fumerolle me parla dans une langue indescriptible, mais dont j'avait appris à la parler. elle me proposa de choisir une action de sa part qui serait établi dans la minute. après mure réflexion, courte mais néanmoins importante, je choisit de lui demander le beau temps pour rentrer sain et sauf.
j'avait d'abord songé à faire revivre mon père, mais nul ne peut braver la mort, et tout le monde le sait.
comme convenu, la tempête s'effaça en quelque minutes de cette façon; la fumerolle de la bague grandissait et avait entouré le bateau: quand elle eu disparu, nous vîmes un temps radieux exactement comme je l'avait souhaité. L'équipage ne sût jamais comment cela c'est produit. J'ai jugé bon de ne point leur en parler, de peur qu'ils veuillent retourner sur cette mer pour retrouver un anneau sembleble. En ce qui me concerne, mon anneau a disparu en même temps que la tempête.
voilà comment se termina cette traversée. On a rejoint la terre tranquillement.
pendant de longue années, il ne s'est rien passé de spécial
Un jour, l'aventure m'apellait, l'ennui était en moi, j'en avait assez de tuer des monstres, et j'avait entendu parlé d'une quête à accomplir. j'ai attrapé mon armure, ma cape et mon épée, et je suis partit à l'aventure
malheureusement, après maints efforts, je ne réussi pas à la faire, et je conclus donc que je n'était pas assez prêt à l'effectuer
"Il est possible d’être invité par le destin à suivre un chemin de héros, il est aussi possible que le destin vous claque la porte au nez."
Ce sont les paroles que j'ai prononcé après avoir raté cette quête, en me disant aussi que je pourrai toujours la réessayer plus tard



Mais la bonne chose de tous ces malheurs, c'est que je suis toujour resté honnête dans l'espoir que ces voleurs le deviennent aussi, comme l'un des voleurs que j'ai rencontré il n'y a pas si longtemps et qui m'a rendu une épée de grande valeur. Ces vols m'ont aussi endurçis. Aujourd'hui, jour 1 mundia fingeliens 361, je suis toujours dans l'espoir de tuer ces monstrueuses bestioles que vous connaissez.
aujourd'hui, jour 18 elouenien, je vous raconte le reste, ( et si vous êtes pas content, ce n'est pas grave je ne vous oblige pas à lire mon histoire)
après avoir combattu maintes et maintes fois, je décidait d'acheter un équipement digne de ce nom, je me procurai quelques Essences volcanique enrichies, que j'échangerai contre une armure qui se compose: de jambières en fer, de bottes en fer, une cotte en acier, et une épée serpentine. la cotte en acier, c'est parce que le forgeron Feanor, grand forgeron malgrès tout, à échoué dans la fabrication d'un heaubert renforcé en fer. Je ne lui en veut pas trop, et continue à penser que c'est un grand forgeron. mais toujours est-il que cela m'oblige à porter une simple cotte en acier. désormais, en plus de combattre, de faire de la magie, je fabrique des EC je débute donc j'en fait pas énormément, mais assez pour moi. bientôt, je pourrai en fabriquer pour les vendre
pour changer de sujet, parlons des nains que je hais ( comme tout elfe qui se respecte) vous voulez savoir pourquoi je les déteste tant? non? oui?
bon on va dire oui et je vais vous expliquer.
un soir ou je cherchais une quête dans une taverne, et un nain m'a demander, je cite ( et en bégayant) mais... mais (hips) qu'est ce que... ce que tu f... fout là, to... toi (hips)?
poliment, sans m'énerver, je lui répondait
- je cherche une noble quête à accomplir, irascible barbu qui m’arrive à la ceinture ( que j'ai fort belle d'ailleurs)
- (himpd) ah.. ah ouais? moi... je... je t'ordonne de f... foutre le camp... et ...
puis il s'évanouissait ivre mort, pour mon plus grand bonheur.
voilà d'où vient ma colère contre les nains. Vous allez me dire: bin pour une fois...
Mais non! c'est ici ou vous vous trompez. des scènes ressemblantes se sont passées d'autre jours. Les nains sont petits, stupides, susceptibles, chiants, avares, perfectionnistes, rancuniers, bref, tout le contraires des elfe, sans les vanter.

FIN ( mais pas encore la vrai fin, je met l'histoire à jour de temps en temps)


voilà, j'espère que ça vous à plu, et j'attend vos réponses

PS: je remerci Numa de m'avoir aidé de façon que je ne soit pas découragé

[Numa]

Nous avons tous nos talents et nos faiblesses.Je te fais donc part de mon estime et de mon soutien pour que ,toi aussi,tu continues de faire vivre ce forum par tes histoires ;

Cependant,et c'est la raison pour laquelle je n'ai pas souhaité voter,ton texte souffre de défauts majeurs,tant dans le fond que sur la forme.Ne te sens surtout pas découragé,car je suis un incurable perfectionniste frustré, rarement convaincu par les histoires des intervenants.Le critique n'est pas l'artiste .

Je n'entre volontairement pas dans le détail,car rien ne me permet-et surtout pas mes modestes connaissances littéraires-de décréter quels récits méritent nos applaudissements.C'est déjà formidable qu'il y ait autant d'investissement de chacun et de matière à lire .Je me suis senti,exceptionnellement,autorisé à donner un avis parce que tu l'as demandé.

Très cordialement.