Trois semaines , trois semaines , maintenant qu'il a perdu sa soeur et qu'il ne voit plus personne ... Lui ? c'est Bonaparte bien sûr ...
Seul dans sa demeurre , assis sur une chaise pensant à sa soeur ...
Il ne se passe pas une minute sans qu'une larme s'échappe de ses yeux.
Quelquefois , il va lui rendre visite au cimetière de Ilumen ...
Là un tombeau très pauvre , sans aucune écriture ...
Le terrible paysage hostile ne fait qu'empirer sa douleur ...
Dans cette tombe le corps carbonisé d'une petite fille agée de à peinne 12 ans , terrible destin.
Bonaparte dépose quelques chrysanthèmes ... Pas une parole , pas un geste. Lui qui avant ne pouvait cesser de prier son dieu , s'était séparé à tout jamais de celui-ci. Il lui en voulait d'avoir pris sa soeur , si jeune ...
Après quelques minutes , il repart vers chez lui , sans même un regard pour les aventuriers arrétés au dépôt ...
Il se fait tard , Bonaparte allume une dernière bougie , et sans toujours aucune parole s'en va dormir ...
Le lendemain , ce n'est pas le coq qui réveille Bonaparte mais la pluie ...
Car il pleut sans s'arréter depuis maintenant une semaine.
Mais Bonaparte reste couché , à quoi bon se réveiller ? POur affronter le terrible destin de la vie ?
Finalement au bout d'une heure de chagrins , il se lève , s'habille et sort sans même avoir ingurgité la moindre calorie de nourriture ...
Il s'en va vers la taverne du nain Joyeux , sûrement pour noyer son chagin dans l'alcool.
" Recca ! une bièrre , demande t'il désespéré ... "
C'est sa première parole depuis trois semaines.
Recca s'en vint lui apporter la choppe qu'il boit cul sec.
" Une autre ! réclame t'il ... "
Toute la matinée , il se soule pour oublier ...
Puis une jeune haut-elfe , très jolie vient s'assoir à sa table ...
La véritable histoire de Bonaparte
- Bonaparte
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- Inscription : 12 oct. 2006, 18:07
- Localisation : Corse , Corse , ma que tu es belle !
La véritable histoire de Bonaparte
Dernière modification par Bonaparte le 10 déc. 2006, 15:04, modifié 1 fois.
" Vivre dans la défaîte , c'est mourir tous les jours ... "
" La parole forme une véritable arme quand elle sait être utilisée à escient ..."
Bonaparte, porte parole du Village, vieux mage, toujours la plume à la main.
" La parole forme une véritable arme quand elle sait être utilisée à escient ..."
Bonaparte, porte parole du Village, vieux mage, toujours la plume à la main.
- Bonaparte
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- Inscription : 12 oct. 2006, 18:07
- Localisation : Corse , Corse , ma que tu es belle !
"bonjour , je m'appelle Noémie ... " annonce t'elle d'une voix très douce ...
Tout d'abord Bonaparte tente de la repousser , mais petit à petit il se confie à elle ...
" je suis l'homme le plus maheureux du monde , je n'ai plus aucune famille ... "
Noémie : " Venez avec moi ... j'ai quelquechose de très important à vous montrer ..."
Bonaparte ne voulant bouger , la belle elfe le traine par le bras ...
Elle l'emmène vers un quartier très pauvre et démuni de Séridia ...
" Voyez-vous Bonaparte ? Ces gens là sont les plus malheureux de tous !
La plupart n'ont pas de foyer , dorment dehors , n'ont pas de famille et sont gravement malade ! "
Bonaparte ouvre les yeux et semble compatir à la douleur de ces malheureux ...
Il voit une vieille dame s'approcher de lui , elle n'a plus de jambre et sa tête semble avoir rongé par les insectes ... Elle porte des habits très pauvres , une simple tunique grise ...
Celle-ci semble lui faire la manche en lui tendant la main et Bonaparte y dépose quelques pièces ...
" je crois que j'ai compris le message que vous tentez de me faire connâîte , ô belle Noémie ... "
" vous ne serez jamais le plus malheureux Bonaparte , certe vous pouvez être noyé de chagrin mais ne laissez jamais la dépression vous emporter ! "
Cote à cote , ils repartent vers Ilumen en empruntant deux trois bateaux ...
Tout d'abord Bonaparte tente de la repousser , mais petit à petit il se confie à elle ...
" je suis l'homme le plus maheureux du monde , je n'ai plus aucune famille ... "
Noémie : " Venez avec moi ... j'ai quelquechose de très important à vous montrer ..."
Bonaparte ne voulant bouger , la belle elfe le traine par le bras ...
Elle l'emmène vers un quartier très pauvre et démuni de Séridia ...
" Voyez-vous Bonaparte ? Ces gens là sont les plus malheureux de tous !
La plupart n'ont pas de foyer , dorment dehors , n'ont pas de famille et sont gravement malade ! "
Bonaparte ouvre les yeux et semble compatir à la douleur de ces malheureux ...
Il voit une vieille dame s'approcher de lui , elle n'a plus de jambre et sa tête semble avoir rongé par les insectes ... Elle porte des habits très pauvres , une simple tunique grise ...
Celle-ci semble lui faire la manche en lui tendant la main et Bonaparte y dépose quelques pièces ...
" je crois que j'ai compris le message que vous tentez de me faire connâîte , ô belle Noémie ... "
" vous ne serez jamais le plus malheureux Bonaparte , certe vous pouvez être noyé de chagrin mais ne laissez jamais la dépression vous emporter ! "
Cote à cote , ils repartent vers Ilumen en empruntant deux trois bateaux ...
" Vivre dans la défaîte , c'est mourir tous les jours ... "
" La parole forme une véritable arme quand elle sait être utilisée à escient ..."
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- Bonaparte
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- Inscription : 12 oct. 2006, 18:07
- Localisation : Corse , Corse , ma que tu es belle !
Les jours passent et Bonaparte semble reprendre des couleurs ...
De plus en plus , il est avec la Noémie si bien qu'ils finissent pas se tutoyer puis par s'enlacer ...
Bonaparte lui caresse la douce chevelure et l'embrasse dans le cou ...
Jamais il n'a connu tels frissons et telle joie ...
Amoureux ils étaient : l'eldorian fier et la belle haut-elfe !
Jamais il ne l'oublierait ...
Encore quelques semaines plus tard , ils décidèrent de s'installer tous les deux dans une demeurre de Nord thil.
Puis vint le mariage , un mariage magnifique célébré dans la somptueuse taverne du nain joyeux ou ils s'étaient rencontré un an plus tôt ...
Le voyage de noce en Irrilion terminé , les deux amants retournent sur Séridia vaquer à leurs occupations d'antan ...
Bonaparte en avait presque oublié sa soeur Bella ...
Mais une chose qu'il n'avait jamais pu oublier , c'était la détresse de ces pauvres gens des durs quartiers séridiens ...
Si bien qu'il consacra de plus en plus d'argent à ces démunis , mais ce n'était jamais assez. Des pauvres il y en a toujours eu et il y en aura toujours !
Mais l'on remarquait quand meme une nette amélioration du niveau de ceux-ci. Si bien que Bonaparte fut félicité. Pour nombreux pauvres , il paraissait comme le messi ...
Mais en toute modestie , Bonaparte n'en fit rien. Il dédia son amour et sa vie à Noémie , son courage aux eldorians et son argent et sa sympathie aux pauvres ...
Tellement d'argent que le couple ne roulait plus sur l'or comme avant ...
Mais qu'était-ce l'argent face au bonheur ? rien du tout je vous l'accorde ...
A cette époque , Numa fut reconnu représentant des eldorians au plus grand plaisir de Bonaparte qu'il admirait.
Mais le seul véritable ami qu'est connu Bonaparte dans ces landes cruelles c'est un nain , Napoleon ...
Les deux amis pouvaient passer des heures entières à se parler à rigoler ...
Que la vie est belle pour Bonaparte en ce temps , là ...
Plus un seul nuage gris à l'horizon , rien que du soleil.
Un soir Bonaparte et Napoleon étaient assis près d'un doux feu de camp.
Après avoir consommé beaucoup de bière , Bonaparte décida de raconter à son ami , son arrivée dans les Landes , son passé ...
De plus en plus , il est avec la Noémie si bien qu'ils finissent pas se tutoyer puis par s'enlacer ...
Bonaparte lui caresse la douce chevelure et l'embrasse dans le cou ...
Jamais il n'a connu tels frissons et telle joie ...
Amoureux ils étaient : l'eldorian fier et la belle haut-elfe !
Jamais il ne l'oublierait ...
Encore quelques semaines plus tard , ils décidèrent de s'installer tous les deux dans une demeurre de Nord thil.
Puis vint le mariage , un mariage magnifique célébré dans la somptueuse taverne du nain joyeux ou ils s'étaient rencontré un an plus tôt ...
Le voyage de noce en Irrilion terminé , les deux amants retournent sur Séridia vaquer à leurs occupations d'antan ...
Bonaparte en avait presque oublié sa soeur Bella ...
Mais une chose qu'il n'avait jamais pu oublier , c'était la détresse de ces pauvres gens des durs quartiers séridiens ...
Si bien qu'il consacra de plus en plus d'argent à ces démunis , mais ce n'était jamais assez. Des pauvres il y en a toujours eu et il y en aura toujours !
Mais l'on remarquait quand meme une nette amélioration du niveau de ceux-ci. Si bien que Bonaparte fut félicité. Pour nombreux pauvres , il paraissait comme le messi ...
Mais en toute modestie , Bonaparte n'en fit rien. Il dédia son amour et sa vie à Noémie , son courage aux eldorians et son argent et sa sympathie aux pauvres ...
Tellement d'argent que le couple ne roulait plus sur l'or comme avant ...
Mais qu'était-ce l'argent face au bonheur ? rien du tout je vous l'accorde ...
A cette époque , Numa fut reconnu représentant des eldorians au plus grand plaisir de Bonaparte qu'il admirait.
Mais le seul véritable ami qu'est connu Bonaparte dans ces landes cruelles c'est un nain , Napoleon ...
Les deux amis pouvaient passer des heures entières à se parler à rigoler ...
Que la vie est belle pour Bonaparte en ce temps , là ...
Plus un seul nuage gris à l'horizon , rien que du soleil.
Un soir Bonaparte et Napoleon étaient assis près d'un doux feu de camp.
Après avoir consommé beaucoup de bière , Bonaparte décida de raconter à son ami , son arrivée dans les Landes , son passé ...
" Vivre dans la défaîte , c'est mourir tous les jours ... "
" La parole forme une véritable arme quand elle sait être utilisée à escient ..."
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- Bonaparte
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- Inscription : 12 oct. 2006, 18:07
- Localisation : Corse , Corse , ma que tu es belle !
" Vois-tu Napo , je suis né il y a maintenant 32 années ... Je suis encore un peu jeune aux yeux de beaucoup de mes frères eldorians ...
Ma naissance , à ce que m'avait raconté mon père , s'était admirablement bien passé. J'étais le troisième de ma famille , l'avant dernier ... 4 ans avant moi était né mon frère Jules et encore 2 ans avant ma soeur Cléo , que je n'ai jamais connu ... elle était morte à la naissance ! Dans mon extrème jeunesse , je passais mon temps à me disputer avec Jules , et on me disait un caractère déja dur.
Alors que j'avais 19 ans naquit la petite dernière , Bella , belle comme un coeur. Je la défendais tout le temps , nous ne nous séparions jamais , ha , je me souviens des longues heures que nous pouvions passer à rigoler quand je revenais de permission ...
Oui , car à l'age de 21 ans , je m'engageais dans l'armée romaine , au désespoir de mon père qui adulait toujours ses ancêtres gaulois , défaits des siècles auparavant par César !
Ma mère , elle , était plus pour les romains et c'est pour ça qu'elle avait décidé d'appeler mon frère Jules.
Bref , à 21 ans je rentre dans la garnison romaine. Je me rappelle c'était un jour d'hiver ou il faisiat très froid et le centurion ne cessait de nous balancer des ordres à la figure ...
C'était très dur , et ça renforçait mon caractère ...
J'envoyais toute ma solde à mes parents , afin qu'ils puissent joindre les deux bouts. Et à chaque permission , j'étais le plus heureux des hommes que d'allait les retrouver ...
Ma naissance , à ce que m'avait raconté mon père , s'était admirablement bien passé. J'étais le troisième de ma famille , l'avant dernier ... 4 ans avant moi était né mon frère Jules et encore 2 ans avant ma soeur Cléo , que je n'ai jamais connu ... elle était morte à la naissance ! Dans mon extrème jeunesse , je passais mon temps à me disputer avec Jules , et on me disait un caractère déja dur.
Alors que j'avais 19 ans naquit la petite dernière , Bella , belle comme un coeur. Je la défendais tout le temps , nous ne nous séparions jamais , ha , je me souviens des longues heures que nous pouvions passer à rigoler quand je revenais de permission ...
Oui , car à l'age de 21 ans , je m'engageais dans l'armée romaine , au désespoir de mon père qui adulait toujours ses ancêtres gaulois , défaits des siècles auparavant par César !
Ma mère , elle , était plus pour les romains et c'est pour ça qu'elle avait décidé d'appeler mon frère Jules.
Bref , à 21 ans je rentre dans la garnison romaine. Je me rappelle c'était un jour d'hiver ou il faisiat très froid et le centurion ne cessait de nous balancer des ordres à la figure ...
C'était très dur , et ça renforçait mon caractère ...
J'envoyais toute ma solde à mes parents , afin qu'ils puissent joindre les deux bouts. Et à chaque permission , j'étais le plus heureux des hommes que d'allait les retrouver ...
" Vivre dans la défaîte , c'est mourir tous les jours ... "
" La parole forme une véritable arme quand elle sait être utilisée à escient ..."
Bonaparte, porte parole du Village, vieux mage, toujours la plume à la main.
" La parole forme une véritable arme quand elle sait être utilisée à escient ..."
Bonaparte, porte parole du Village, vieux mage, toujours la plume à la main.
- Bonaparte
- Messages : 383
- Inscription : 12 oct. 2006, 18:07
- Localisation : Corse , Corse , ma que tu es belle !
Chaque minute de temps libre qui m'était accordée , je la passais à lire.
J'adorais lire , bien plus que de rire des gamineries de mes camarades.
Mais , l'empire touchait à sa fin ... C'est l'année 423 , et des hordes de barbares , appelés francs , huns , goths etc ... foncent sur l'empire.
Alors que l'armée romaine tombe dans la discrace , on me nomme général en chef d'une armée de 2 500 légionnaires et 1 200 chevaux ...
A peinne agé de 26 ans , je devais la mener à la victoire ...
Et mes premières batailles fûrent admirablement réussi , je jouissais alors d'une grande reconnue de stratège !
Mais l'année suivante tout se corsa , et le jour de mes 27 ans , mon corps d'armée fut pris en embuscade par des francs près de la saxe ...
Il me fallait fuire l'empire avant d'être à mon pris à mon tour.
Et c'est alors que traversant ma ville natale incognito , les soldats francs l'occupant , je vis sur la place publique , des civils se faisant massacrés aux yeux de tous ... On allait les écarteler.
Les franc riaient tandis que moi j'étais tout pâle : mon frère Jules , d'apparence vraiment romainne avait été pris et allait être écartelé !
Le plus triste dans tout cela , c'est que je ne pouvais rien faire , je devais assister impuissant à l'éxécution de mon propre frère ...
Les larmes coulaient de ma joue et d'affreuses douleurs me venaient au ventre. Quand le bourreau pronnonça la sentence et que les chevaux se mirent à tirrer. Je priais de tous mes efforts , car comme toute ma famille j'étais un pur chrétien , mais rien à faire : mon frère était mort , comme beaucoup autour de lui. La haine contre les francs m'envahit de plus belle mais je ne pouvais rien faire.
Je rentrais alors chez moi , tête basse ...
Mon père m'ouvrit la porte , et ils parraissaient inquiets:
mon père : " tu n'aurais pas vu Jules ? il n'est pas rentré de la journée et avec les barbares qui rodent ... "
Ma mère tremblait de plus belle.
Moi : " si je l'ai vu ... et j'ai une terrible nouvelle à ce propos "
Mon père : " ne me dit pas qu'il est ... "
Moi : " non , quand meme pas , mais c'est tout aussi grave , il a rejoint les Francs et a trahit l'empire ! "
Ma mère se mit à pleurer : " c'est pas possible , mon fils était le plus patriote de tous ... "
Il est vrai que Jules adorait Rome et son histoire , qu'il ne jurait qu'en son nom ...
moi : écoute maman , sèche tes larmes et dis toi qu'il ait bien mieux ainsi , qu'il est en bonne santé et du côté des vainqueurs ...
Elle tenta de se rassurer un peu et avait séché ses larmes ...
J'avais menti pour les rassurer , pour ne pas leur faire de peinne et je me sentais tout petit ... Jamais il ne fallait mentir à ses parents , mais j'étais encore trop chamboulé par l'éxécution de mon frère pour m'en soucier.
J'adorais lire , bien plus que de rire des gamineries de mes camarades.
Mais , l'empire touchait à sa fin ... C'est l'année 423 , et des hordes de barbares , appelés francs , huns , goths etc ... foncent sur l'empire.
Alors que l'armée romaine tombe dans la discrace , on me nomme général en chef d'une armée de 2 500 légionnaires et 1 200 chevaux ...
A peinne agé de 26 ans , je devais la mener à la victoire ...
Et mes premières batailles fûrent admirablement réussi , je jouissais alors d'une grande reconnue de stratège !
Mais l'année suivante tout se corsa , et le jour de mes 27 ans , mon corps d'armée fut pris en embuscade par des francs près de la saxe ...
Il me fallait fuire l'empire avant d'être à mon pris à mon tour.
Et c'est alors que traversant ma ville natale incognito , les soldats francs l'occupant , je vis sur la place publique , des civils se faisant massacrés aux yeux de tous ... On allait les écarteler.
Les franc riaient tandis que moi j'étais tout pâle : mon frère Jules , d'apparence vraiment romainne avait été pris et allait être écartelé !
Le plus triste dans tout cela , c'est que je ne pouvais rien faire , je devais assister impuissant à l'éxécution de mon propre frère ...
Les larmes coulaient de ma joue et d'affreuses douleurs me venaient au ventre. Quand le bourreau pronnonça la sentence et que les chevaux se mirent à tirrer. Je priais de tous mes efforts , car comme toute ma famille j'étais un pur chrétien , mais rien à faire : mon frère était mort , comme beaucoup autour de lui. La haine contre les francs m'envahit de plus belle mais je ne pouvais rien faire.
Je rentrais alors chez moi , tête basse ...
Mon père m'ouvrit la porte , et ils parraissaient inquiets:
mon père : " tu n'aurais pas vu Jules ? il n'est pas rentré de la journée et avec les barbares qui rodent ... "
Ma mère tremblait de plus belle.
Moi : " si je l'ai vu ... et j'ai une terrible nouvelle à ce propos "
Mon père : " ne me dit pas qu'il est ... "
Moi : " non , quand meme pas , mais c'est tout aussi grave , il a rejoint les Francs et a trahit l'empire ! "
Ma mère se mit à pleurer : " c'est pas possible , mon fils était le plus patriote de tous ... "
Il est vrai que Jules adorait Rome et son histoire , qu'il ne jurait qu'en son nom ...
moi : écoute maman , sèche tes larmes et dis toi qu'il ait bien mieux ainsi , qu'il est en bonne santé et du côté des vainqueurs ...
Elle tenta de se rassurer un peu et avait séché ses larmes ...
J'avais menti pour les rassurer , pour ne pas leur faire de peinne et je me sentais tout petit ... Jamais il ne fallait mentir à ses parents , mais j'étais encore trop chamboulé par l'éxécution de mon frère pour m'en soucier.
" Vivre dans la défaîte , c'est mourir tous les jours ... "
" La parole forme une véritable arme quand elle sait être utilisée à escient ..."
Bonaparte, porte parole du Village, vieux mage, toujours la plume à la main.
" La parole forme une véritable arme quand elle sait être utilisée à escient ..."
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- Bonaparte
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- Inscription : 12 oct. 2006, 18:07
- Localisation : Corse , Corse , ma que tu es belle !
En pleinne nuit, alors que mes parents dormaient encore , j'écrivis une lettre ...
Papa , maman ...
C'est le jour le plus triste de ma vie ...
Les francs se faisant de plus en plus menaçants , il me faut partir vers
de loingtains horizons ... C'est pourquoi je l'en vais sur un bateau , vers une destinantion inconnnue, je trouverais ! Je prends Bella avec moi , elle est si jeune et si fragile qu'elle ne pourra se faire à l'idée de la guerre. Je vous laisse tout l'argent dont je dispose ...
Grace a cela , vous n'aurez plus jamais de problèmes d'argent !
Je comprend déja votre chagrin l'orsque que vous lirez cette lettre , mais soyez surs que je protégerais Bella de tous dangers ...
Adieu , j'ai passé les meilleurs moments de ma vie ici et vous allez me manquer ...
Adieu papa , adieu maman ...
En écrivant ce message je pleurais et je reagrdais Bella qui dormait derrière moi , à poings fermés , elle ne savait pas ce qui nous attendait ...
Discrètement je descendis au salon , posa la lettre en évidence sur la table , je pris Bella sous mon bras et sortit de la demeurre dans l'ombre de la nuit ...
A cette heure tardive , les Francs ne gardent plus le port de la ville ...
Je monte dans une barque avec ma soeur qui me tient la main et m'en vais vers le Sud ...
Je n'avais aucune provision sur moi , mais une sorte de canne à pêche était résté à l'arrière du bateau ... Je pourrais toujours tenter la pêche si nous mourrins de faim. Je serrais ma dague contre moi et ma soeur encore plus fort.
Elle s'était rendormie sans se douter de rien.
Papa , maman ...
C'est le jour le plus triste de ma vie ...
Les francs se faisant de plus en plus menaçants , il me faut partir vers
de loingtains horizons ... C'est pourquoi je l'en vais sur un bateau , vers une destinantion inconnnue, je trouverais ! Je prends Bella avec moi , elle est si jeune et si fragile qu'elle ne pourra se faire à l'idée de la guerre. Je vous laisse tout l'argent dont je dispose ...
Grace a cela , vous n'aurez plus jamais de problèmes d'argent !
Je comprend déja votre chagrin l'orsque que vous lirez cette lettre , mais soyez surs que je protégerais Bella de tous dangers ...
Adieu , j'ai passé les meilleurs moments de ma vie ici et vous allez me manquer ...
Adieu papa , adieu maman ...
En écrivant ce message je pleurais et je reagrdais Bella qui dormait derrière moi , à poings fermés , elle ne savait pas ce qui nous attendait ...
Discrètement je descendis au salon , posa la lettre en évidence sur la table , je pris Bella sous mon bras et sortit de la demeurre dans l'ombre de la nuit ...
A cette heure tardive , les Francs ne gardent plus le port de la ville ...
Je monte dans une barque avec ma soeur qui me tient la main et m'en vais vers le Sud ...
Je n'avais aucune provision sur moi , mais une sorte de canne à pêche était résté à l'arrière du bateau ... Je pourrais toujours tenter la pêche si nous mourrins de faim. Je serrais ma dague contre moi et ma soeur encore plus fort.
Elle s'était rendormie sans se douter de rien.
" Vivre dans la défaîte , c'est mourir tous les jours ... "
" La parole forme une véritable arme quand elle sait être utilisée à escient ..."
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- Inscription : 12 oct. 2006, 18:07
- Localisation : Corse , Corse , ma que tu es belle !
Heureusement , je n'eus pas à utiliser cette vieille canne ... Puisque qu'après à peinne de deux jours , durant lesquelles je subis nombreux dérivages , je vis au loin , enveloppée par la brûme une archipelle ...
Une archippelle me semblant inconnue mais pas inhabitée ...
En effet au fûr et à mesure que j'avançais je pûs observer des colons qui travaillaient d'arrache pied à la récolte de minerais sur la plage ...
Me sentant rassuré , je les interpelle :
" je m'appelle Bonaparte , je viens du Nord , l'occident ! Ma soeur et moi avons dérivé et nous avons atterri ici ... "
" tu as de la chance l'ami , trois semaines plus tot et je t'aurais tué ... Mais la paix totale est revenue et l'hostilité inter-peuples n'existe plus ...'
" je n'ai pas tout compris , avouais-je , mais se pourrait-il que je sois logé qur votre île ? "
" ceci n'est point mon île , elle est celle de tout le monde ... "
L'homme avait qui je parlais me semblait bizarre , il était haut comme un géant , avait la figure très pale et n'était pas très joli à regarder ...
Il me dit qu'il était un Galdur , et je n'y comprenais rien , pour moi la seule race au monde qui éxistait était bien les humains , enfin c'est ce qu'il était dans mon monde à moi ...
La suite tu la connais Napo , cinq ans sont passés sur cette île , nombreuses péripéties ...
Des moments de joie , comme avec Noémie et toi , d'autres de detresse , comme la mort de Bella ou encore celle de Zaptela ...
Napoleon ne rigolait plus et Bonaparte non plus , ils étaient assis par terre chamboulés par toute cette histoire ...
Fin
Une archippelle me semblant inconnue mais pas inhabitée ...
En effet au fûr et à mesure que j'avançais je pûs observer des colons qui travaillaient d'arrache pied à la récolte de minerais sur la plage ...
Me sentant rassuré , je les interpelle :
" je m'appelle Bonaparte , je viens du Nord , l'occident ! Ma soeur et moi avons dérivé et nous avons atterri ici ... "
" tu as de la chance l'ami , trois semaines plus tot et je t'aurais tué ... Mais la paix totale est revenue et l'hostilité inter-peuples n'existe plus ...'
" je n'ai pas tout compris , avouais-je , mais se pourrait-il que je sois logé qur votre île ? "
" ceci n'est point mon île , elle est celle de tout le monde ... "
L'homme avait qui je parlais me semblait bizarre , il était haut comme un géant , avait la figure très pale et n'était pas très joli à regarder ...
Il me dit qu'il était un Galdur , et je n'y comprenais rien , pour moi la seule race au monde qui éxistait était bien les humains , enfin c'est ce qu'il était dans mon monde à moi ...
La suite tu la connais Napo , cinq ans sont passés sur cette île , nombreuses péripéties ...
Des moments de joie , comme avec Noémie et toi , d'autres de detresse , comme la mort de Bella ou encore celle de Zaptela ...
Napoleon ne rigolait plus et Bonaparte non plus , ils étaient assis par terre chamboulés par toute cette histoire ...
Fin
" Vivre dans la défaîte , c'est mourir tous les jours ... "
" La parole forme une véritable arme quand elle sait être utilisée à escient ..."
Bonaparte, porte parole du Village, vieux mage, toujours la plume à la main.
" La parole forme une véritable arme quand elle sait être utilisée à escient ..."
Bonaparte, porte parole du Village, vieux mage, toujours la plume à la main.