AloxAn, chronique d'un Eldorian
Publié : 11 déc. 2006, 12:06
Un bruissement de feuilles s'entend dans le silence de la nuit. AloxAn est au coin du feu, chez Recca. Il médite. Seul Recca l'écoute.
Je ne me souviens plus de rien. Je sais juste que je me suis réveillé ici au campement.
Des chopes de bière passent de main en main dans l'assistance qui augmente.
C'était un matin comme tous les autres. Et comme tous les autres je suis venu au monde. Dès mon entrée dans ce monde, une voix sourde et persistante se fait entendre. Je ne peux pas la comprendre. Mais je sais que c'est cette voix qui me guide et me conseille. C'est en effet une voix qui me semble tout de même douce.
L'assistance au début intéressée se lève et quitte l'estaminet. Aloxan, toujours dans sa rêverie ne s’en rend pas compte et poursuit son récit.
Je fis la connaissance de nombreux personnages, le premier en titre se nomme T….. Des bruits interrompent Aloxan. Un jeune humain vient troubler la calme volupté de l’auberge.
C’est lui qui me fit faire ma première quête, c’est lui qui me fit découvrir les landes, c’est lui qui me donna mes premières armes. Ensuite, son compagnon du Trépont, le mage Ham men lol laa. C’est lui qui le premier m’a appris à fabriquer des essences… Et puis, je me mis à rencontrer d’autres personnages. Je me souviens de Grum, un seigneur nain. Il m’initia aux combats et il me montra d’autres coin des Landes. Dans l’assistance maintenant recomposée, on entend un nain s’exclamer « Grum ? je le connais, un sacré combattant » .
Un jour, je pris mon courage et mon épée à deux mains et je m’en fut à Starenlith. Là, je découvrit le désert sans nom, terre des Hommes Bleus, maintenant baptisée Galein'Th Aseyis. Le même nain signale fort incongrûment à tous qu’il est profondément abasourdi par la propension de la langue des hommes bleus à créer des mots imprononçables.
Et surtout, c’est là que ma voix me conduisit, auprès de Balaïdaïme. Là, je m’initiais à l’Air. Je m’enquis de Fingel, et surtout, j’appris à respecter la beauté sauvage, la douce violence des Landes. Après avoir brillamment rempli la première quête, je fis appel à un parrain : Azur, un fier Homme Bleu. « Fier Homme Bleu, fier Homme Bleu, je voudrais bien le voir face à une famille de nain » s’exclame le nain qui étrangement disparaît à ce moment là. C’est lui qui à l’aide du grand prêtre m’initia et me protégea. Néanmoins, il me laissa faire seul ma dernière quête : affronter et tuer d’horribles serpents. Après avoir ramené au grand prêtre de l’Air 10 peaux de serpents et une essence aérienne, il me marqua du sceau invisible et indolore de l’Air : il chanta pour moi, pour les Landes, pour l’Air. Ce fut merveilleux. Divin.
Ma voix à ce moment là me parla de façon distincte : Récolte, récolte, explore, explore, note , note, construit, construit, fabrique, fabrique, fonde, fonde, donne, donne, chante, vit...
C’est à mon avis ma véritable quête. Mais avant d’y parvenir, je dois déchiffrer cette maxime. Aussi, pour l’instant, je récolte, j’apprend et j’essaye de construire…
Tout à coup, Recca sort en trombe de son comptoir et met tout le monde à la porte : personne n’avait essuyé ses pieds et tout le sol de l’auberge est maculé de boue… AloxAn reviendra… C’est au Trépont que tout à commencé, c’est au Trépont qu’il va tout commencer...
Je ne me souviens plus de rien. Je sais juste que je me suis réveillé ici au campement.
Des chopes de bière passent de main en main dans l'assistance qui augmente.
C'était un matin comme tous les autres. Et comme tous les autres je suis venu au monde. Dès mon entrée dans ce monde, une voix sourde et persistante se fait entendre. Je ne peux pas la comprendre. Mais je sais que c'est cette voix qui me guide et me conseille. C'est en effet une voix qui me semble tout de même douce.
L'assistance au début intéressée se lève et quitte l'estaminet. Aloxan, toujours dans sa rêverie ne s’en rend pas compte et poursuit son récit.
Je fis la connaissance de nombreux personnages, le premier en titre se nomme T….. Des bruits interrompent Aloxan. Un jeune humain vient troubler la calme volupté de l’auberge.
C’est lui qui me fit faire ma première quête, c’est lui qui me fit découvrir les landes, c’est lui qui me donna mes premières armes. Ensuite, son compagnon du Trépont, le mage Ham men lol laa. C’est lui qui le premier m’a appris à fabriquer des essences… Et puis, je me mis à rencontrer d’autres personnages. Je me souviens de Grum, un seigneur nain. Il m’initia aux combats et il me montra d’autres coin des Landes. Dans l’assistance maintenant recomposée, on entend un nain s’exclamer « Grum ? je le connais, un sacré combattant » .
Un jour, je pris mon courage et mon épée à deux mains et je m’en fut à Starenlith. Là, je découvrit le désert sans nom, terre des Hommes Bleus, maintenant baptisée Galein'Th Aseyis. Le même nain signale fort incongrûment à tous qu’il est profondément abasourdi par la propension de la langue des hommes bleus à créer des mots imprononçables.
Et surtout, c’est là que ma voix me conduisit, auprès de Balaïdaïme. Là, je m’initiais à l’Air. Je m’enquis de Fingel, et surtout, j’appris à respecter la beauté sauvage, la douce violence des Landes. Après avoir brillamment rempli la première quête, je fis appel à un parrain : Azur, un fier Homme Bleu. « Fier Homme Bleu, fier Homme Bleu, je voudrais bien le voir face à une famille de nain » s’exclame le nain qui étrangement disparaît à ce moment là. C’est lui qui à l’aide du grand prêtre m’initia et me protégea. Néanmoins, il me laissa faire seul ma dernière quête : affronter et tuer d’horribles serpents. Après avoir ramené au grand prêtre de l’Air 10 peaux de serpents et une essence aérienne, il me marqua du sceau invisible et indolore de l’Air : il chanta pour moi, pour les Landes, pour l’Air. Ce fut merveilleux. Divin.
Ma voix à ce moment là me parla de façon distincte : Récolte, récolte, explore, explore, note , note, construit, construit, fabrique, fabrique, fonde, fonde, donne, donne, chante, vit...
C’est à mon avis ma véritable quête. Mais avant d’y parvenir, je dois déchiffrer cette maxime. Aussi, pour l’instant, je récolte, j’apprend et j’essaye de construire…
Tout à coup, Recca sort en trombe de son comptoir et met tout le monde à la porte : personne n’avait essuyé ses pieds et tout le sol de l’auberge est maculé de boue… AloxAn reviendra… C’est au Trépont que tout à commencé, c’est au Trépont qu’il va tout commencer...