Le grand Sir Ivar et le combat de Luminea
Publié : 13 déc. 2006, 13:02
Il est tant pour moi, l'âge avançant de vous parler un peu de l'histoire du très grand Sir Ivar, tel que son histoire me fut comptée par lui même il y a de cela quelques Fingeliens avant que ma mémoire ne me joue des tours et risques d'oublier des passages. Je vous souhaite donc bonne lecture de l'histoire de sa vie, où du moins de ce qu'il a bien voulut me dire et me montrer dans son esprit. Les mots dénatures les faits, et ne suis que piètre conteur, pour vous raconter tant de faits si honorables...
Oncques ne vit plus brave combattant depuis des fingeliens. En effet, Sir Ivar Grand Maître de l’Ordre des Templiers de Luminea est et restera dans toutes les mémoires.
Cet Eldorien naquit dans la douce ville de Luminea en plein cœur du chaos environnant entretenu par les Landes. Attaque sur attaque, des hordes orcs de toutes sortes dévalant les montagnes du nord, sortant des cavernes les plus sombres et reculée. De l’est, trolls et ogres par centaines harcelaient les murailles de la ville espérant faire une brèche dans les défenses de cette ville construite par une alliance de peuple croyant en l’avenir des rêves du très sain Fingel. De l’Ouest, la défense n’était pas plus reposante, des démons par petits groupes venaient tuer les pauvres habitants venant s’approvisionner en nourriture et armes envoyés de toute part par le fleuve. Mais si cela occupait déjà nombre de guerriers, le pire était aux portes sud de la cité où maintes chimériens de toutes espèces venaient par vagues successives toujours renouvelés charger la porte pour tenter une percée.
Une enfance donc, loin des plus heureuse, sont premier jouet offert fut une fronde car l’on peut la manier dés le très jeune âge… On apprend vite aux enfants à viser les points sensibles des gobelins peu protégés du haut des remparts. Le jeu des cours de récréation à l’école dirons nous…
La ville fut réorganisée pour se défendre au mieux. Les hommes bleus au centre, les plus sages d’entre eux, enseignant aux jeunes les préceptes utiles en tant de guerre, les plus grand mage travaillant à maintenir les défenses magiques de la cité. L’on vit apparaître les premiers guerriers Bleu. Point puissant par leur maniement des armes conventionnelles mais dont la voix tuait à coup sûr ou rendait certains fou de rage tuant leur propres congénères.
Un Maître forgeron enseignait les base de son art à de jeunes apprentis pour renouveler les armes brisées lors des assauts ou lorsque les hordes impies tentant d’escalader les murailles était renvoyés au sol. Celui de la jeunesse d’Ivar se nommait Gurdamar, fier nain aux bras puissants. Ivar aimait lors de ses courts moments de repos s’asseoir dans un coin de la forge. Les allers et venues incessant des mineurs et le bruit cadencé des coups de marteaux sur les enclumes l’apaisaient par oppositions aux cris de douleurs des blessés ou des hurlements effrayants des hordes d’assaillants.
Il faut avouer qu’en ce temps là les différences de peuples étaient une force pour les défenseurs, chacun apportait ce qu’il pouvait. Un haut conseil permettait d’utiliser au mieux les capacités de chacun pour une entraide efficace.
Ainsi ce passa les premières années de la vie d’Ivar. Il ne vit que peu ses parents, sa mère fut tuée lors d’un ravitaillement sur le fleuve alors qu’il ne marchait pas encore, son père capitaine des forces armées mourut lors d’une sortie avec son unité tué par un chimerien des bois. Non sans en avoir tué de ses propres mains trois alors qu’il se retrouvé encerclé loin de son unité, protégeant la retraite de ses hommes.
Oncques ne vit plus brave combattant depuis des fingeliens. En effet, Sir Ivar Grand Maître de l’Ordre des Templiers de Luminea est et restera dans toutes les mémoires.
Cet Eldorien naquit dans la douce ville de Luminea en plein cœur du chaos environnant entretenu par les Landes. Attaque sur attaque, des hordes orcs de toutes sortes dévalant les montagnes du nord, sortant des cavernes les plus sombres et reculée. De l’est, trolls et ogres par centaines harcelaient les murailles de la ville espérant faire une brèche dans les défenses de cette ville construite par une alliance de peuple croyant en l’avenir des rêves du très sain Fingel. De l’Ouest, la défense n’était pas plus reposante, des démons par petits groupes venaient tuer les pauvres habitants venant s’approvisionner en nourriture et armes envoyés de toute part par le fleuve. Mais si cela occupait déjà nombre de guerriers, le pire était aux portes sud de la cité où maintes chimériens de toutes espèces venaient par vagues successives toujours renouvelés charger la porte pour tenter une percée.
Une enfance donc, loin des plus heureuse, sont premier jouet offert fut une fronde car l’on peut la manier dés le très jeune âge… On apprend vite aux enfants à viser les points sensibles des gobelins peu protégés du haut des remparts. Le jeu des cours de récréation à l’école dirons nous…
La ville fut réorganisée pour se défendre au mieux. Les hommes bleus au centre, les plus sages d’entre eux, enseignant aux jeunes les préceptes utiles en tant de guerre, les plus grand mage travaillant à maintenir les défenses magiques de la cité. L’on vit apparaître les premiers guerriers Bleu. Point puissant par leur maniement des armes conventionnelles mais dont la voix tuait à coup sûr ou rendait certains fou de rage tuant leur propres congénères.
Un Maître forgeron enseignait les base de son art à de jeunes apprentis pour renouveler les armes brisées lors des assauts ou lorsque les hordes impies tentant d’escalader les murailles était renvoyés au sol. Celui de la jeunesse d’Ivar se nommait Gurdamar, fier nain aux bras puissants. Ivar aimait lors de ses courts moments de repos s’asseoir dans un coin de la forge. Les allers et venues incessant des mineurs et le bruit cadencé des coups de marteaux sur les enclumes l’apaisaient par oppositions aux cris de douleurs des blessés ou des hurlements effrayants des hordes d’assaillants.
Il faut avouer qu’en ce temps là les différences de peuples étaient une force pour les défenseurs, chacun apportait ce qu’il pouvait. Un haut conseil permettait d’utiliser au mieux les capacités de chacun pour une entraide efficace.
Ainsi ce passa les premières années de la vie d’Ivar. Il ne vit que peu ses parents, sa mère fut tuée lors d’un ravitaillement sur le fleuve alors qu’il ne marchait pas encore, son père capitaine des forces armées mourut lors d’une sortie avec son unité tué par un chimerien des bois. Non sans en avoir tué de ses propres mains trois alors qu’il se retrouvé encerclé loin de son unité, protégeant la retraite de ses hommes.