Je me suis réveillé en surcot cette nuit, comme les précédentes et chaque fois le même rêve.
Il me hante chaque nuits depuis que j’ai fuis mon pays natal pour les terres connues de seridia.
-Toujours le même rêve n’est -ce pas ? Surpris, je retira brusquement mes mains de mon visage et vit un elfe noir au cheveux blancs qui descendaient jusqu’au bas de ses épaules, ses yeux rouges luisait dans la nuit comme la mort règne dans les landes, il avait un air calme, mais les quelques cicatrises apparentent ne laissaient rien présagé de bon, s’il nous passer à la tête l’idée de l’énervé. D’in ton las il repris. Tu ne devrais pas garder ses souvenirs renfermés en toi plus longtemps, on le lit sur ton visage… C’est trop difficile pour toi de porter ce fardeau… Tu ferais mieux de vider ton sac maintenant avant que ses souvenirs ne te détruisent… Bien sûr, je ne dit cela que dans mon propre intérêt, tu pourrais être utile par la suite.
Ayant retrouver mes esprit je le fixais dans les yeux sans vraiment le regarder:
-Tient tu vraiment a le connaître mon passer Ryld? Il n’avait pension d’aucun mots pour faire savoir quelque chose. Après un long moment de silence entre nous je repris: Bien alors tient toi prêt a connaître le témoignage du seul rescaper de ce génocide que je voudrais tant oublier et qui ne doit, d’aucune manière être oublier par tout les peuples de ce monde d’apparence si fragile.
Jours 2 d’elouenien du fingelien 342
Depuis quelques jours nous passions des journées exceptionnellement chaudes pour la saison.
Ce matin là, le berger Magrine apparut devant les portes du village Sinan, affolé. Magrine était un aventurier convertit en berger. Habituellement un air bourru, et avait déjà vue passer de nombreux hivers. Il était très grand pour un Sinan, ses cheveux longs, noirs et ébouriffés cachaient une grande partie de son visage déchiré par de multiples cicatrices, et révélant un étrange passé. Il était plutôt introverti, ne se manifestait que très rarement depuis qu’il avait brusquement arrêté ces voyages, il y a de cela neufs ans.
Magrine arriva devant la maison de notre chef Âsram ; un vieille homme bien en chaire, ses cheveux de couleur argentés se dressaient comme une couronne de laurier autour de son crâne chauve. Il inspirait le respect parmi les gens du village, son regard noir, petit et perçant déstabilisait les plus courageux d’entre nous.
A ses cotés étaient poster deux jeunes gardes en armure noir d’ébène. Le premier a la droite du chef était une femme, elle se nommait Iris, et elle avait des yeux rouge émeraude a moitié cacher par de longs cheveux blancs qui descendaient jusqu'à sa taille .Sa beauté n’avait d’égale que sa soif de sang, et elle était toujours partante pour des quêtes sanglantes. Elle souriait sans cesse, ce qui pouvait parfois agacé notre chef lord de problèmes graves, mais son incroyable bonne humeur et son tempérament de battante mettaient un peu de piment pendant les longues journées de travail.
Le deuxième garde a la gauche du chef c’était moi Neckros. A l’époque mes cheveux étaient courts et mes yeux étaient rouges clairs.
Margine ouvrit la porte principale a haute volée, puis s’agenouilla précipitamment au pied d’Äsram qui s’était avancer devant cette arrivée fracassante de Magrine. D’une voie tremblante et guttural il prononça : « mon … mon troupeaux… toutes mes bêtes décapités pendant la nuit. Tout essouffler Magrine cherchait les mots pour décrire sa macabre découverte. Je me suis a peine assoupis… Pas même dix minutes… Mon chien n’a même pas aboyer… »
En voyant que Magrine cherchait les mots pour décrire l’étendue du massacre, Äsram l’interrompis : « Magrine reprend ton calme. Avec quelques chasseurs nous allons vérifier tes dires et retrouver le ou les criminels et les punir comme il se doit. Äsram se retourna vers moi ainsi Iris et ajouta. Neckros, Iris rassemblez les plus courageux guerriers devant les portes nord du village. »
« mais pourquoi devons nous chercher d’autre guerrier, moi et Neckros suffirons largement ! S’interloqua Iris
Äsram rétorquas : « Je ne pense pas que se soit de simple brigands qui aient tuer tout un troupeau en un rien de temps sans attirer l’attention. Même si vous êtes de loin les deux meilleurs combattants du village je pense préférable d’envoyer d’autres personnes sachant se battre. Satisfait de nos airs ébahies, il reprit avec un sourire. Je ne voudrait surtout pas vous perdre tout les deux ; je m’ennuierais sans vous.
Äsram se retourna vers Magrine et l’accompagna dans une chambre libre de sa demeure.
« Pour une fois qu’on a quelque chose d’intéressant a faire tranquillement tout seul il faut que l’on nous envoie du monde ! S’injuria Iris en frappant un caillou qui traînait sur le chemin descendant à la place forte du village. J’aurais même pu le faire sans toi !
C’est ca, mais a celle là tu as autant de chance d’y rester q’un condamné à mort de passer à la potence rétorquais-je. En attendant rassemblons tous ceux qui savent se battre, sa nous laissera plus de chance de rester en vie.
Arrivé à la place de la ville nous rassemblions toute la population puis Iris leur expliqua de façon très simple la situation:
-Un groupe armé de brigands a attaquer le bon vieux Magrine pendant la nuit, et a massacré toute ces bêtes sans qu’il puise remarquer quoique ce sois. Elle laissa un blanc qui laissa échapper un vague de froid parmi les villageois venus écouter cet avis. Je veut que ce qui sont d’accord pour partir en chasse se présente devant la porte ouest du village demain au lever du jour.
Satisfait elle esquissa un léger sourire en me regardant, trahissant son excitation en vue des combat meurtrier qui approchaient.
Je raccompagna Iris a ces appartement en songent qu’elle aller encore passer une nuits blanche a se préparé pour demain.
Arriver cher moi, quelque chose me tourmenter dans les aveux qu’avait fait Magrine auparavant. Pourquoi son chien, pourtant très bien dresser, n’avait il pas pu aboyer, mais aussi pourquoi ces soit disant malfaiteur avaient il laisser Magrine en vie alors qu’il avaient la possibilité de le tuer?
Je me suis coucher tout en me ressassent ces détailles qui m’obstinaient.
Triste Passer
Ici, l'on conte des chroniques relatives aux îlots centraux
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