ApOphIs Elfe Noire a l’esprit Sombre.
Publié : 06 juil. 2007, 13:27
« Prends quelque peaux d’animaux sécher en guise de couverture, prends des feuilles et du fils, assemble le tout et commence à écrire son histoire. »
Je suis une Jeune Elfe noir au passé bien vécu, perdue dans l’oubli et la souffrance, la douleur n’est plus rien pour moi, l’amour ne fait désormais plus partie de mon cœur, seule la haine et la souffrance appartiennent à celui-ci.
Je viens de La Cité du monde Impure.
J’ai vécu dans des catacombes, toutes ma jeunesse, mon père me transmis sont savoir, celui de la Nécromancie.
Ma mère elle pourtant ma apporter l’amour qu’un enfant avais besoin, mais jamais je ne lui ai rendu depuis ma plus jeune enfance celui-ci m’étais proscrit.
Un mot d’amour était pour moi un supplice, mon père me fouettais chaque faut pas, je ne pouvais pas m’attendrir, car seule la souffrance disait-il sera ton amie.
J’ai donc renié cette acte et rester dans l’oubli.
Je voyais mon père battre ma mère pour le peu de bonne chose qu’elle voulait m’apporter.
Au début je sentais des larmes couler sur mon visage, hélas à la longue de souffrance et de martyre c’est un sourire qu’on pouvait voire.
Ma pauvre mère ne comprenait pas et pourtant cela était facile, je souris à ton malheur et tu ne m’embête plus avec ton amour. Ou plutôt je t’évite ce maléfice…………
Je me souviens de la mort de mon premier lapin, alors âgée de six ans, mon père me donna une dague et m’obligea a lui tranché la gorge.
Qu’elle souffrance avait cette pauvre bête, je me mis a criés que plus jamais je ne le ferrais, mon père pris alors le fouet et jusqu’au sang ma battais.
Plus jamais tu ne défieras mon autorité, a chaque faut pas tu recevras ta pénitence, le sang que tu laisseras couler laissera sortir en toi l’amour que tu as.
Je le regardais dans les yeux, même pas un regret, mais pas le début d’une larme, comme si me fouettais lui procurais le plaisirs.
En grandissant j’appris à ne plus pleurer a cette acte qui pour moi la souffrance physique était inutile. Même plus l’expression de la douleur ce marquais sur mon visage.
Mais seul un sourire, comme si je souriais au coup qu’il m’infligeait.
Je souris à la souffrance, la douleur et la peur qui sont pour moi mes seuls alliés face a ce monde cruelle qu’est cette île.
Les gens heureux n’y ont pas leurs places, seul le chaos y règne en maitre.
La catacombe sont ma maison et je mis sens bien.
Jusqu’au jour de la mort de mon père……
« J'arêtes mes écris, ceux-ci je les reprendrais plus tard »
Je suis une Jeune Elfe noir au passé bien vécu, perdue dans l’oubli et la souffrance, la douleur n’est plus rien pour moi, l’amour ne fait désormais plus partie de mon cœur, seule la haine et la souffrance appartiennent à celui-ci.
Je viens de La Cité du monde Impure.
J’ai vécu dans des catacombes, toutes ma jeunesse, mon père me transmis sont savoir, celui de la Nécromancie.
Ma mère elle pourtant ma apporter l’amour qu’un enfant avais besoin, mais jamais je ne lui ai rendu depuis ma plus jeune enfance celui-ci m’étais proscrit.
Un mot d’amour était pour moi un supplice, mon père me fouettais chaque faut pas, je ne pouvais pas m’attendrir, car seule la souffrance disait-il sera ton amie.
J’ai donc renié cette acte et rester dans l’oubli.
Je voyais mon père battre ma mère pour le peu de bonne chose qu’elle voulait m’apporter.
Au début je sentais des larmes couler sur mon visage, hélas à la longue de souffrance et de martyre c’est un sourire qu’on pouvait voire.
Ma pauvre mère ne comprenait pas et pourtant cela était facile, je souris à ton malheur et tu ne m’embête plus avec ton amour. Ou plutôt je t’évite ce maléfice…………
Je me souviens de la mort de mon premier lapin, alors âgée de six ans, mon père me donna une dague et m’obligea a lui tranché la gorge.
Qu’elle souffrance avait cette pauvre bête, je me mis a criés que plus jamais je ne le ferrais, mon père pris alors le fouet et jusqu’au sang ma battais.
Plus jamais tu ne défieras mon autorité, a chaque faut pas tu recevras ta pénitence, le sang que tu laisseras couler laissera sortir en toi l’amour que tu as.
Je le regardais dans les yeux, même pas un regret, mais pas le début d’une larme, comme si me fouettais lui procurais le plaisirs.
En grandissant j’appris à ne plus pleurer a cette acte qui pour moi la souffrance physique était inutile. Même plus l’expression de la douleur ce marquais sur mon visage.
Mais seul un sourire, comme si je souriais au coup qu’il m’infligeait.
Je souris à la souffrance, la douleur et la peur qui sont pour moi mes seuls alliés face a ce monde cruelle qu’est cette île.
Les gens heureux n’y ont pas leurs places, seul le chaos y règne en maitre.
La catacombe sont ma maison et je mis sens bien.
Jusqu’au jour de la mort de mon père……
« J'arêtes mes écris, ceux-ci je les reprendrais plus tard »