La compagne du combattant.
Publié : 17 août 2007, 19:12
Mon regard ne peux plus La quitter, Sa beauté m’éblouie…
Comment a-t-on fait pour créer une aussi belle Chose ? Qui a donc mis au monde cette Merveille ? A-t-Elle vraiment été enfanté par des mortels, ou descend-elle directement de l’Eternel ?
J’ose à peine m’En approcher, et quand je La saisis, la moindre de Ses formes me remplis d’une intense joie.
Je ne La mérite pas, oh non ! Personne ne La mériterait.
Je ne peux que regarder Son éclat au soleil, admirer la puissance qu’Elle a.
Oui, Elle est Reine, et entre mes mains, Elle fait de moi son Roi.
Elle ne se laisse jamais faire, Elle coupe la parole aux grands parleurs, Elle tranche pour les indécis !
Chaque soir je L’enveloppe de mon regard et de tendres caresses, mes doigts frémissent au contact de cette… -comment l’appeler, Déesse ? Le mot est faible- Déesse, la vie est plus belle auprès d’Elle.
Elle illumine mes jours en m’accompagnant dans les endroits les plus dangereux, non Elle n’a pas froid aux yeux, et pourtant si quelqu’un La frôle, il frissonnera…
Mais qu’il ose venir celui qui touchera Ma Belle ! Il souffrira de par Elle-même ! Indigne parmi les indignes celui qui veut me L’usurper ! Il verra sa vie être écourtée ! Que les Dieux soulèvent Vent et Mer pour me La reprendre, il est trop tard, elle est mienne désormais, et s’il le faut je L’emporterais avec moi en Enfer, plutôt que de laisser un autre se L’approprier…
Je La serre contre moi de peur qu’à mon réveil elle ai disparu, toujours je La garde des regards pour qu’aucun ne soit aveuglé par Elle, et qu’ils ne cherchent à La posséder.
Vous pouvez tous essayer, jamais vous ne L’aurez, mon Epée !
Comment a-t-on fait pour créer une aussi belle Chose ? Qui a donc mis au monde cette Merveille ? A-t-Elle vraiment été enfanté par des mortels, ou descend-elle directement de l’Eternel ?
J’ose à peine m’En approcher, et quand je La saisis, la moindre de Ses formes me remplis d’une intense joie.
Je ne La mérite pas, oh non ! Personne ne La mériterait.
Je ne peux que regarder Son éclat au soleil, admirer la puissance qu’Elle a.
Oui, Elle est Reine, et entre mes mains, Elle fait de moi son Roi.
Elle ne se laisse jamais faire, Elle coupe la parole aux grands parleurs, Elle tranche pour les indécis !
Chaque soir je L’enveloppe de mon regard et de tendres caresses, mes doigts frémissent au contact de cette… -comment l’appeler, Déesse ? Le mot est faible- Déesse, la vie est plus belle auprès d’Elle.
Elle illumine mes jours en m’accompagnant dans les endroits les plus dangereux, non Elle n’a pas froid aux yeux, et pourtant si quelqu’un La frôle, il frissonnera…
Mais qu’il ose venir celui qui touchera Ma Belle ! Il souffrira de par Elle-même ! Indigne parmi les indignes celui qui veut me L’usurper ! Il verra sa vie être écourtée ! Que les Dieux soulèvent Vent et Mer pour me La reprendre, il est trop tard, elle est mienne désormais, et s’il le faut je L’emporterais avec moi en Enfer, plutôt que de laisser un autre se L’approprier…
Je La serre contre moi de peur qu’à mon réveil elle ai disparu, toujours je La garde des regards pour qu’aucun ne soit aveuglé par Elle, et qu’ils ne cherchent à La posséder.
Vous pouvez tous essayer, jamais vous ne L’aurez, mon Epée !