*Bakuryu rentra chez lui, éreinté après une bonne journée de dur labeur à faire des potions et à rechercher de nouvelles formules. Après s'être assis sur sa chaise préférée aussi douce que le plus velonté des cotons, faite de plumes d'aigles, Bakuryu devint pensif, puis appuya sa tête fatiguée sur sa main droite, elle même appuyée sur l'acoudoire de la chaise.*
Il serait peut être temps....
*Bakuryu prit un parchemin, une plume et de l'encre.*
Je suis vieux maintenant, il va bien falloir que je le dise afin la fin.... .
*Bakuryu commença à écrir:*
"Bonjour aventuriers, aventurières, natifs et autres protagonistes de l'histoire des landes, je vais vous parler du plus grand secret qui régit ma vie. J'ai aujourd'hui 80 ans passés, c'est sans doute pour moi le moment de me confier.
Je commencerai par rappeler que mon père et ma mère étaient tous deux des aventuriers de ces landes, combattant hors paire, ils ressemblaient un peu à Illumen et Altania, d'après ce que l'on ma dit d'eux. Ils étaient unis tel un seul esprit, ils combattaient comme une seule lame fendant l'air, brisant les os et faisant jaillir le sang des monstres des landes.
Il y a de cela 80ans, ils partirent des landes car ma mère, Irinia, était enceinte de moi et ne voulait pas acoucher dans des terres hostiles. Elle voulait me mettre à l'abri, en accord avec mon père, Arcantis.
Je naquis donc loin de cette contrée appelée les landes éternelles, à l'abri des dangers. A mes 7 ou 8ans, mes parents repartirent pour les landes, après avoir reçu une missive les implorant de revenir suite à des problèmes de monstres. Je fus donc récupérer dans un foyer.
Mais ils ne remplacèrent jamais mes parents. A l'âge de 16ans je leur en faisais voir de toutes les couleurs, je ne les aimais pas malgrès qu'ils furent très gentils et généreux envers moi. Mais je les aidé quand même de temps à autre en faisant des liquides, je n'ose pas appeler ça des potions tellement c'était rudimentaire, qui soignaient les petites plaies en accélérant la cicatrisation, pour le continent c'était quelque chose de prodigieux, moi je trouvais cela imparfait et je travaillais à en faire des plus efficaces.
A 18ans je pris un bateau en direction de ces landes dont j'avais tant entendu parlé. Je partis avec un large sourir à l'idée de revoir mes parents, en ayant à peine dit au revoir à ma famille adoptive. J'ai vraiment été ingrat envers eux en y repensant. Le voyage en mer dura 3 longues, très longues semaines. Puis enfin la terre promise... Enfin le but de toute ma jeunesse, revoir mes parents
Les mains tachées de sang.
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bakuryu
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*Bakuryu prit un second parchemin, le premier étant complétement remplie de son écriture large et fluide.*
Quand je fis mon premier pas sur les landes, quelque chose me traversa tout le corps en commençant par les pieds et en remontant.Je ne peux expliquer ce que c'était, une force, un esprit, que sais je encor, en tout cas cela ne me découragea nullement et je rencontra d'autres aventuriers aussi habitués aux landes que moi. Certain ayant fait le voyage dans le même bateau que moi, je me lia d'amitié avec certain. Au bout de quelques jours, je posa quelque questions au sujet d'un certain Arcantis, et d'une certaine Irinia, je n'eu aucune information.
Après plusieurs jours de recherches infructueuses, un homme vint me parler en me demandant si c'était bien moi qui recherchais Irinia et Arcantis. Il me révéla alor que mes parents étaient en voyage afin de trouver de nouvelles armes qui pourraient aider dans la guerre contre les landes, et qu'il rentreraient surement dans 2 mois.
Tout excité de cette nouvelle, je profita de ses deux mois afin de m'améliorer dans mes techniques de fabrication des potions qui en étaient vraiment à présent grâce aux conseils avisés de certains galdurs. je m'entraina également au maniement de l'épée, je dois dire que j'étais plutot doué.Au bout de deux mois, je ne vis personne arriver au port de l'île de Trépont.
Un soir, après avoir guetté un long moment au port pour voir si nul bateau n'arrivait, je me posa près d'un arbre afin d'y dormir. A peine le sommeil commença t'il à m'emporter au pays des songes qu'un bruit de dispute de réveilla au loin. Je me leva, attrapa un bon baton en bois d'une main, et ayant mon épée dans le fourreau au cas ou. En me dirigeant vers l'endroit d'où venait les bruits, je vis trois silhouettes se mouvoir dans le noire presque total de cette nuit sans lune. Deux des trois silhouettes se tenaient côte à côte, bougeant telle une seule entité. Dans mon esprit ce fut clair. Ces deux personnes étaient mes parents, sans aucun doute. La troisieme personne au moment où j'approcha dégaina son épée. D'un geste parfaitement identque, les deux silhouettes firent de même. Je sortis alor mon épée, en criant non de toutes mes forces.
Quand je fis mon premier pas sur les landes, quelque chose me traversa tout le corps en commençant par les pieds et en remontant.Je ne peux expliquer ce que c'était, une force, un esprit, que sais je encor, en tout cas cela ne me découragea nullement et je rencontra d'autres aventuriers aussi habitués aux landes que moi. Certain ayant fait le voyage dans le même bateau que moi, je me lia d'amitié avec certain. Au bout de quelques jours, je posa quelque questions au sujet d'un certain Arcantis, et d'une certaine Irinia, je n'eu aucune information.
Après plusieurs jours de recherches infructueuses, un homme vint me parler en me demandant si c'était bien moi qui recherchais Irinia et Arcantis. Il me révéla alor que mes parents étaient en voyage afin de trouver de nouvelles armes qui pourraient aider dans la guerre contre les landes, et qu'il rentreraient surement dans 2 mois.
Tout excité de cette nouvelle, je profita de ses deux mois afin de m'améliorer dans mes techniques de fabrication des potions qui en étaient vraiment à présent grâce aux conseils avisés de certains galdurs. je m'entraina également au maniement de l'épée, je dois dire que j'étais plutot doué.Au bout de deux mois, je ne vis personne arriver au port de l'île de Trépont.
Un soir, après avoir guetté un long moment au port pour voir si nul bateau n'arrivait, je me posa près d'un arbre afin d'y dormir. A peine le sommeil commença t'il à m'emporter au pays des songes qu'un bruit de dispute de réveilla au loin. Je me leva, attrapa un bon baton en bois d'une main, et ayant mon épée dans le fourreau au cas ou. En me dirigeant vers l'endroit d'où venait les bruits, je vis trois silhouettes se mouvoir dans le noire presque total de cette nuit sans lune. Deux des trois silhouettes se tenaient côte à côte, bougeant telle une seule entité. Dans mon esprit ce fut clair. Ces deux personnes étaient mes parents, sans aucun doute. La troisieme personne au moment où j'approcha dégaina son épée. D'un geste parfaitement identque, les deux silhouettes firent de même. Je sortis alor mon épée, en criant non de toutes mes forces.
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bakuryu
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Je courru vers les trois silhouettes, pret à tout pour protéger les deux silhouettes, qui en m'approchant m'apparurent comme mes parents, un peu plus ridés que dans mes souvenirs, mais c'était bien eux. Tout en courant vers l'agresseur , je fixa les visages de mes parents, comme hypnotisé, je ne faisais plus attention à l'agresseur. Celui-ci se téléporta ,avant même que j'ai pu réagir, derrière moi, et me transperça. L'épée ressortant de mon ventre, la bouche entre ouverte, comprenant à peine ce qui m'arrivé, je m'écroula en avant. Ma mère et mon père courrure vers moi, l'assaillant profita de leur empressement pour bondir sur le coté et frapper le coté droit, au niveau des côtes de ma mère. Elle s'écroula également, son sang s'écoulant et se mélangeant au mien. Mon père attaqua l'assaillant de toute sa force dans un cri de rage et le décapita.
Mon père se précipita alor près de nos deux corps inertes, j'étais encor conscient, mais pas pour longtemps si mon père n'avait pas fait ce qui va suivre. IL prit deux fioles vides qui étaient dans son sac, il remplie la première du sang de ma mère et du mien mêlé, puis il se taillada le bras afin de remplir la deuxieme fiole de son propre sang. Il récita ensuite une incantantion dans une langue qui m'est encor aujourd'hui inconnue, la fiole remplie du sang de mon père devient bleu et celle du sang mêlé devient verte. Il me fit boire la bleue, puis but la verte. Les effets furent immédiats. Ma plaie se referma en quelques secondes, j'eu un sourir rapide en me disant "on est sauvé" sauf que je vis que la blessure de ma mère ne se résorba point. Pire, elle était blanche, inerte, le regard vide. Je regarda alor mon père et je vis qu'il lui était apparu une blessure identique à celle que j'avais au même endroit. Il me dit avant de tomber pour la dernière fois, qu'il n'aurait pas pu vivre sans ma mère, ou en m'ayant vue mourrir. Il m'avait reconnu... Mais était mort à cause de moi.
*Bakuryu posa la plume sur la table et relue les deux parchemins. Puis signa le parchemin, les rengea sur un coin de la table, et alla dormir.*
Je rendrai publique cette histoire demain... .
Mon père se précipita alor près de nos deux corps inertes, j'étais encor conscient, mais pas pour longtemps si mon père n'avait pas fait ce qui va suivre. IL prit deux fioles vides qui étaient dans son sac, il remplie la première du sang de ma mère et du mien mêlé, puis il se taillada le bras afin de remplir la deuxieme fiole de son propre sang. Il récita ensuite une incantantion dans une langue qui m'est encor aujourd'hui inconnue, la fiole remplie du sang de mon père devient bleu et celle du sang mêlé devient verte. Il me fit boire la bleue, puis but la verte. Les effets furent immédiats. Ma plaie se referma en quelques secondes, j'eu un sourir rapide en me disant "on est sauvé" sauf que je vis que la blessure de ma mère ne se résorba point. Pire, elle était blanche, inerte, le regard vide. Je regarda alor mon père et je vis qu'il lui était apparu une blessure identique à celle que j'avais au même endroit. Il me dit avant de tomber pour la dernière fois, qu'il n'aurait pas pu vivre sans ma mère, ou en m'ayant vue mourrir. Il m'avait reconnu... Mais était mort à cause de moi.
*Bakuryu posa la plume sur la table et relue les deux parchemins. Puis signa le parchemin, les rengea sur un coin de la table, et alla dormir.*
Je rendrai publique cette histoire demain... .
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bakuryu
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*Un soir, bakuryu s'assaillant sur son fauteuil en plume d'aigle, regarda le médaillon de la licorne qu'il venait de retirer après un rude entrainement contre des ogres affamés.*
Ce médaillon me rappel celui de mon frère... Un jour ou l'autre il fallait bien que je révèle l'identité de ce fameux meurtrier...
*Bakuryu prit une plume et un parchemin, et commença à écrir de son écriture large et fluide*
Une famille étendue sur le sol... Du sang partout sur le sol... Une famille déchirée, désunie.
L'homme dans l'ombre, celui qui me poignarda n'était autre que mon frère, je m'appelais à l'époque Ryu... Il se nommait Baku. Comment en est on arrivé là? Je ne le sais que depuis peu.
Je n'étais pas fils unique, j'avais un grand frère, Baku, s'était un natif, bon généreux, malgrès que mes parents l'aient abandonné pour me permettre d'échapper au même sort que lui et de naître loin de ces terres. Pendant l'absence de mes parents, il avait été élevé par une famille d'Eldorian. Il ne souffrait et ne manquait de rien, mais était un peu comme moi, voulait ses vrais parents.
Deux mois avant que mes parents reçoivent le message les suppliant de rentrer, Baku avait alor 15 ans, celui-ci s'aventura dans des zones reculées des landes, personne ne sait véritablement où. C'était un guerrier redoutable et il n'avait peur de rien. Il ne revint pas de son escurtion, enfin pas comme avant. Il était à présent controlé par les Landes, et commença à envoyer des hordes de monstres sur les aventuriers et à les combattre de sa main. C'est pour cela que l'on appela mes parents.
A leur arrivée, tous les combats cessèrent, du jour au lendemain, personne ne sait exactement pourquoi. Moi je pense savoir, au fond de lui, Baku ne voulait pas blesser mes parents... Mais les choses se complexifièrent à mon arrivée.
La suite n'est que pure théorie mais en y repensant, elle est la seule solution logique. En posant les pieds sur le sol landais, j'avais ressentie quelque chose, une sensation de reconnaissance mutuelle. Je pense que mon frère avait su à ce moment que j'étais revenu. Pendant dix ans, il avait pu retenir les landes et leur volonté contre mes parents, mais moi... Celui qui lui a volé ses parents, celui qui n'a pas connu l'horreur de ces terres, une rage violente l'envahie et il attaqua, mais il se heurta à mes parents. Tous ses monstres furent arrétés, les uns après les autres. Au bout de deux mois de combats acharnés, mon frère cessa les attaques de monstres, mais un soir, seul, controlé par les landes, il attaqua mes parents. Ce soir que vous connaissez maintenant...
Ce soir là, mon frère portait autour du cou un médaillon avec inscrit au dos, "protège les".
Ce médaillon me rappel celui de mon frère... Un jour ou l'autre il fallait bien que je révèle l'identité de ce fameux meurtrier...
*Bakuryu prit une plume et un parchemin, et commença à écrir de son écriture large et fluide*
Une famille étendue sur le sol... Du sang partout sur le sol... Une famille déchirée, désunie.
L'homme dans l'ombre, celui qui me poignarda n'était autre que mon frère, je m'appelais à l'époque Ryu... Il se nommait Baku. Comment en est on arrivé là? Je ne le sais que depuis peu.
Je n'étais pas fils unique, j'avais un grand frère, Baku, s'était un natif, bon généreux, malgrès que mes parents l'aient abandonné pour me permettre d'échapper au même sort que lui et de naître loin de ces terres. Pendant l'absence de mes parents, il avait été élevé par une famille d'Eldorian. Il ne souffrait et ne manquait de rien, mais était un peu comme moi, voulait ses vrais parents.
Deux mois avant que mes parents reçoivent le message les suppliant de rentrer, Baku avait alor 15 ans, celui-ci s'aventura dans des zones reculées des landes, personne ne sait véritablement où. C'était un guerrier redoutable et il n'avait peur de rien. Il ne revint pas de son escurtion, enfin pas comme avant. Il était à présent controlé par les Landes, et commença à envoyer des hordes de monstres sur les aventuriers et à les combattre de sa main. C'est pour cela que l'on appela mes parents.
A leur arrivée, tous les combats cessèrent, du jour au lendemain, personne ne sait exactement pourquoi. Moi je pense savoir, au fond de lui, Baku ne voulait pas blesser mes parents... Mais les choses se complexifièrent à mon arrivée.
La suite n'est que pure théorie mais en y repensant, elle est la seule solution logique. En posant les pieds sur le sol landais, j'avais ressentie quelque chose, une sensation de reconnaissance mutuelle. Je pense que mon frère avait su à ce moment que j'étais revenu. Pendant dix ans, il avait pu retenir les landes et leur volonté contre mes parents, mais moi... Celui qui lui a volé ses parents, celui qui n'a pas connu l'horreur de ces terres, une rage violente l'envahie et il attaqua, mais il se heurta à mes parents. Tous ses monstres furent arrétés, les uns après les autres. Au bout de deux mois de combats acharnés, mon frère cessa les attaques de monstres, mais un soir, seul, controlé par les landes, il attaqua mes parents. Ce soir que vous connaissez maintenant...
Ce soir là, mon frère portait autour du cou un médaillon avec inscrit au dos, "protège les".