Contes d'Iora
Publié : 30 oct. 2007, 13:35
Prologue ...
De l'histoire des légendes ...
Il y a dans chaque ville, dans chaque contrée des mythes et des histoires faisant honneur à leurs héros, à leurs aventures aussi féeriques, chevaleresques ou sombres fussent-elles.
Considérant qu'il s'agit là d'héritages fais à la mémoire des leurs, les gens s'évertuent à les transmettre tant en chants qu'en contes ajoutant aux goûts et aux dires une part de leur propre immagination.
Or il est un pays peut-être au nord d'ici, peut-être au sud où ailleurs je ne saurais dire où qui fut le théâtre de maintes aventures fabuleuses.
Un pays qui sut avec le temps s'entourer de moults légendes et épopées que les menestrels et les Belles Gens continuent à conter dans leurs chants.
Bien sûr les légendes ne sont pas toutes fondées, mais aujourd'hui seuls les plus érudits des elfes ayant vécu plus d'une vie pourraient discerner le vrai de l'immaginaire tant Iora, le pays dont il est question, est empreint de mystère.
De la même façon, tenter de toutes les relater me prendrait plus de temps qu'il m'en est alloué en une vie de nain; ainsi ne conterais-je que les mémoires de Daïn Beren dont je suis le fils -encore que celles-ci me paraissent infiniment longues- et qui m'ont été transmises au travers des ans passés auprès de lui.
Peut-être pourrais-je vous faire découvrir mes terres natales au fil de ces récits à défaut de pouvoir vous y emmener ...
De mes souvenirs, flous et incertains aujourd'hui, j'ai réussi, non sans maintes difficultés à reproduire cette carte qui je l'espère se rapprochera de ce que sont ou furent mes terres natales.

De l'histoire des peuples ...
Dans les terres d'Iora, l'on ne comptait que trois ou quatre peuples disctincts, hormis les orcs et les choses comme cela;
Les elfes, plus ancien peuple d'Iora avaient élu domicile au coeur d'anciens bois, tels les Brûmepins ou SombreForêt.
Les nains n'arrivèrent que plus tard, et ne purent s'installer qu'après la mise en fuite de Jormund, un terrible dragon qui avait pris pour demeure le Mont Thyl-Gris, la pointe des Montagnes-Grises qui deviendraient plus tard l'une des deux maisons naines d'Iora, la seconde se trouvant à l'est dans les Montagnes-Pourpres.
L'histoire veut qu'il y ait eu une troisième maison, plus ancienne que tout autre. Son histoire, ou tout du moins son épilogue sera peut-être livrée dans ce récit ...
Les hommes, eux, suivirent les récits du peuple nain et vinrent en Iora après le départ du dragon.
Ils s'installèrent autour des côtes et construisirent des villes avant de commencer à prospérer et à dominer en nombre tout autre peuple ...
Parmis eux il y eut peut-être des galdurs, car des hommes de forte ossature et ayant un goût prononcé pour le combat migrèrent par delà le Cavenain et la forêt de Hamarr, pour se rendre au pied des Montagnes-Pourpres dans les Plaines-aux-Trois-Talus.
D'un conte épique ...
C'est dans les Montagnes Grises, où vivait jadis le terrible dragon Jormund que Thelgrïm vivait avec ses gens. Respecté des nains du pays, il obtint ce royaume à la suite de son père, Angrïm, lequel avec l'aide de Balïn père de Dvalïn des terres de l'Est, avait mis en fuite le noir dragon mettant par la même occasion un terme à de nombreuses années de terreur et souffrance. C'est du moins ce qu'ils pensèrent, mais cela vous sera expliqué par la suite.
Les demeures des Montagnes-Grises, ou Grises-Forges étaient construites à même la roche, s'enfonçant au travers de couloirs sculptés jusqu'au coeur des montagnes.
A l'extérieur, des batisses avaient été aménagées pour le commun du peuple et deux gentihommières servaient de salles d'armes pour la garde toujours à l'affut des cieux ...
C'est dans ces demeures et par une nuit pluvieuse que commence l'épopée de mon père et l'histoire de l'une des plus tragiques guerre d'Iora ...
De l'histoire des légendes ...
Il y a dans chaque ville, dans chaque contrée des mythes et des histoires faisant honneur à leurs héros, à leurs aventures aussi féeriques, chevaleresques ou sombres fussent-elles.
Considérant qu'il s'agit là d'héritages fais à la mémoire des leurs, les gens s'évertuent à les transmettre tant en chants qu'en contes ajoutant aux goûts et aux dires une part de leur propre immagination.
Or il est un pays peut-être au nord d'ici, peut-être au sud où ailleurs je ne saurais dire où qui fut le théâtre de maintes aventures fabuleuses.
Un pays qui sut avec le temps s'entourer de moults légendes et épopées que les menestrels et les Belles Gens continuent à conter dans leurs chants.
Bien sûr les légendes ne sont pas toutes fondées, mais aujourd'hui seuls les plus érudits des elfes ayant vécu plus d'une vie pourraient discerner le vrai de l'immaginaire tant Iora, le pays dont il est question, est empreint de mystère.
De la même façon, tenter de toutes les relater me prendrait plus de temps qu'il m'en est alloué en une vie de nain; ainsi ne conterais-je que les mémoires de Daïn Beren dont je suis le fils -encore que celles-ci me paraissent infiniment longues- et qui m'ont été transmises au travers des ans passés auprès de lui.
Peut-être pourrais-je vous faire découvrir mes terres natales au fil de ces récits à défaut de pouvoir vous y emmener ...
De mes souvenirs, flous et incertains aujourd'hui, j'ai réussi, non sans maintes difficultés à reproduire cette carte qui je l'espère se rapprochera de ce que sont ou furent mes terres natales.

De l'histoire des peuples ...
Dans les terres d'Iora, l'on ne comptait que trois ou quatre peuples disctincts, hormis les orcs et les choses comme cela;
Les elfes, plus ancien peuple d'Iora avaient élu domicile au coeur d'anciens bois, tels les Brûmepins ou SombreForêt.
Les nains n'arrivèrent que plus tard, et ne purent s'installer qu'après la mise en fuite de Jormund, un terrible dragon qui avait pris pour demeure le Mont Thyl-Gris, la pointe des Montagnes-Grises qui deviendraient plus tard l'une des deux maisons naines d'Iora, la seconde se trouvant à l'est dans les Montagnes-Pourpres.
L'histoire veut qu'il y ait eu une troisième maison, plus ancienne que tout autre. Son histoire, ou tout du moins son épilogue sera peut-être livrée dans ce récit ...
Les hommes, eux, suivirent les récits du peuple nain et vinrent en Iora après le départ du dragon.
Ils s'installèrent autour des côtes et construisirent des villes avant de commencer à prospérer et à dominer en nombre tout autre peuple ...
Parmis eux il y eut peut-être des galdurs, car des hommes de forte ossature et ayant un goût prononcé pour le combat migrèrent par delà le Cavenain et la forêt de Hamarr, pour se rendre au pied des Montagnes-Pourpres dans les Plaines-aux-Trois-Talus.
D'un conte épique ...
C'est dans les Montagnes Grises, où vivait jadis le terrible dragon Jormund que Thelgrïm vivait avec ses gens. Respecté des nains du pays, il obtint ce royaume à la suite de son père, Angrïm, lequel avec l'aide de Balïn père de Dvalïn des terres de l'Est, avait mis en fuite le noir dragon mettant par la même occasion un terme à de nombreuses années de terreur et souffrance. C'est du moins ce qu'ils pensèrent, mais cela vous sera expliqué par la suite.
Les demeures des Montagnes-Grises, ou Grises-Forges étaient construites à même la roche, s'enfonçant au travers de couloirs sculptés jusqu'au coeur des montagnes.
A l'extérieur, des batisses avaient été aménagées pour le commun du peuple et deux gentihommières servaient de salles d'armes pour la garde toujours à l'affut des cieux ...
C'est dans ces demeures et par une nuit pluvieuse que commence l'épopée de mon père et l'histoire de l'une des plus tragiques guerre d'Iora ...