Le Père
Un soir où le ciel brillait de milles feu, dans une petite grotte de fortune, un elfe noir assistait à la naissance de son premier enfant. Le père, ignorant quoi faire et inquiet de voir s’ouvrir sa compagne si tôt dans la grossesse, tentait par tous les moyens de soulager la douleur de sa bien aimée. Mais Kastar soufrait d’un Mal qui lui valu le rejet de son peuple : une stupéfiante stupidité agrémenté du dont de l’erreur. En plus d’être frêle, l’homme démontrait souvent une sensibilité émotionnelle que les Elfes Noirs n’appréciaient guère.
Très jeune, il fut livré à lui-même après la mort de ses parents. Ils furent exécutés par l’ennemi lors d’un raid Sinan. Étant en quelque sorte considérer responsable de leur mort, il commença peu à peu à vivre en solitaire. Nul ne sait vraiment ce qui était arrivé. On raconte que Kastar encore tout jeune avait voulu impressionné une jeune sinane par un tour de nécromancie. Le lapin qu’il voulu invoquer c’était avéré être un serpent-feu qui lui cracha de son terrible venin, causant la mort de la jeune fillette. Le raid serait l’expression de la vengeance sinane.
Il quitta les siens âgé de treize ans seulement pour venir vivre dans cette contré inhabitée. Il s’installa dans cette petite grotte humide et sombre. Quelques Fingeliens passèrent, sans qu’il ne parla n’y même ne vit un seul être humain, vivant de la cueillette et de la chasse, jusqu’au jour où les Sinan firent leur apparition dans la région
Il ne fut pas accueillit au village, qui se construisait tout près. Les Sinans détestant les elfes et Kastar sachant toujours aussi bien être inapte et saumâtre il fut, encore une fois haït, puis ignoré. Les Fingeliens S'étirèren èrent à un rythme lent et monotone pour Kastar. Saison après saison, l’elfe noir vivant en quasi-Hermite, dans ça petite grotte qu’il partageait avec les fientes de chauve-souris qui ne les dérangeait plus. Il s’était installer un climat de tolérance entre Kastar et les Sinans.
Leurs relations, loin d’être amicale, lui permit quand même de participé à certaines chasses sinanes, et même à des vols. Voyant que cet elfe noir, n’était en rien un espion à la solde des siens, il fut même entraîné au combat. Chose pour laquelle il était grossier, voir dangereux. Dangereux pour lui-même. Kastar apprit la nécromancie avec les gens du village, à un âge trop avancé pour être talentueux. Peu à peu, des liens se tissèrent entre eux. Il participa même à une guerre de clan où il abattu la moitié de leurs ennemis en lançant un sort de feu leur le pont de bois que celle-ci traversait. C’est la seule, chose qu’il réussit à accomplir correctement dans toutes ses vies de triste solitaire. Bien qu’il soit malheureux d’avoir à avoué qu’il s’agissait d’un exploit accidentel.
Les Sinans perdait la bataille et fuyait sur l’autre rive de la rivière, poursuivit par l’ennemis. Étant bête, Kastar continuait de se battre dans les rangs antagonistes longtemps après que les Sinans aient fuit. Comme il les aperçut sur la rive opposée, il voulu s’y téléporté. Maladroit et incapable qu’il était, le pauvre elfe se retrouva, non pas parmi les Sinans, mais bien entouré de ses ennemis sur le pont! Instinctivement il lança le sort de téléportassions une deuxième fois. Du rayon de lumière supposer le transporter dans l’espace, il y eu que des flammes intenses. La dématérialisation de son corps remplacer pas l’apparition du feu fit paniquer Kastar. Fuyant le brasier tel un enfant fuirait un cyclope! Kastar traversa le pont qui rapidement s’attisait du vent et de la sécheresse d’été. Il fut secourut par une belle sinane, nommé Lelenia. De ce temps là, les Sinans le nommèrent « Firieth », ce qui signifiait l’enflammé. Il s’en sorti avec une vilaine brûlure à la jambe droite. Lelenia passa abondamment de temps à soigner la blessure qui pourtant ne requerrait que très peu d’attention.
Au début de l’hiver suivant Lelenia quitta le village pour aller vivre avec Kastar « Firieth ». Les Sinans n’ont guère apprécié ce choix. Seulement l’existence de leur communauté, il la devait à cet elfe noir! Au début de l’été cette année là, Lelenia mourra.
Kastar ne sachant comment soulager sa compagne, implorait L’Alta Mundi de lui venir en aide.
-Lelenia, garde courage, soit forte! lui implorait-t-il.
Après une nuit de souffrance, la Sinane s’ouvrit, laissant l’être si fragile, émerger d’elle dans un horrifiant cri de douleur! Kastar le prit entre ses mains. Dans les bras chaud de son père, qui le serrait contre son cœur, Lelenia aperçut son enfant. Il était magnifique.
- Il se nommera Irigaseth, articula-t-elle. Irigaseth le puissant.
- C’est un merveilleux nom, approuva le père.
Kastar n’obtient aucune autre réponse. Lelenia venait de donner la vie, en sacrifiant la sienne. Le bébé pleura toute la nuit, ainsi que Kastar. Au matin Kastar mena Irigaseth, aux parents de son bien aimé défunte. Puis disparut, plus personne n’entendit parlez de lui depuis ce jour.
C’est ainsi que Irigaseth commença sa vie, abandonné par son seul parent et adopter par les parents de sa défunte mère sinane, dont il ne ressemblait en rien.
C’est ainsi que mon père est venu au monde.
Les soufrances d'Invokal
L'enfant
L’Enfant
Bien des histoires racontent la fin tragique de ce Kastar. Comment il fut assassiné par les siens. Ou encore, sa chute accidentelle dans un ravin, confirmant sa bêtise et sa maladresse. Mais personne ne connaît la réelle fin de L’Elfe Noir Kastar Firieth, Kastar l’enflammer.
L’essentiel était qu’Irigaseth, encore tout jeune ne voulait en rien ressembler à son père qui lui causait honte. Un père qui fut si lâche, abandonnant son enfant.
Irigaseth était un enfant très brillant. Ayant tout jeune apprit à parler à la maturité d’un adulte. Ses grands-parents sinans lui racontèrent la triste histoire de son père et sa mère. Dans le fond de son cœur Irigaseth savais que son parent n’avait pas péri. Il le savait, le sentait…
« Un jour père, je vous trouverai, je vous tuerai »
Irigaseth n’avait que cette pensée à l’esprit du levant aux couchants. Ses nuits, rempli des mêmes pensées, lui apportais réconfort, voyant chaque fois la mort de son père par les mains de son fils. Au matin, dans un journal qu’il avait lui-même fabriquer avec du cuir sinan et des feuille de parchemin, il notait tout les détailles de son meurtre imaginer dans son sommeil. Une encre rouge relatait tous les détailles, les lieux, les moments, les armes, les témoins dans certains cas.
Il s’entraînait avec les adultes au combat. Que ce soit le poignard l’épée, et même la hache, rarement manier par les sinans, Irigaseth démontrait une habileté défié les limite du possible. Vu sa qualité de combattant un homme du village décida de le prendre sous son aile au très jeune âge de 13 ans un enseignement de la nécromancie.
Cet homme s’appelait Akrum. Il enseigna les bases de la nécromancie à Irigaseth qui buvait les paroles de son maître avec ravissement et intérêt. Akrum passa rapidement de la théorie à la pratique, encore une fois l’étonnant talent d’Irigaseth impressionna tout le village. Certain voyageur commencèrent à rependre la rumeur, d’Irigaseth. Les féroces animaux qui reprenaient vie pour exécuter les ordres d’Irigaseth, envahirent la région. Akrum lui interdit de commettre des méfais par son exceptionnel pouvoir. Il utilisa donc ses bêtes pour rechercher le père qu’il haïssait tant.
Mais le combat, et la nécromancie n’était pas ses seul force. Un grand potentiel magique résidait en lui. Le premier pouvoir qu’il acquit fut la lévitation, puis virent si ajouter des sorts de téléportassions et de télékinésie. Il semblait douer pour les sorts à distance, mais pour la première fois de sa vie Irigaseth se découvrit une faiblesse. Il était incapable d’accomplir des sorts d’attaque ou de soins. Bien qu’il passa des mois entier à s’y exercer. Il s’assaillit donc d’ardeur ses pouvoir nécromant et ses habiliter aux combat.
Dès l’âge de 16 ans il ne trouvait difficilement des guerriers à sa hauteur. Nombreux, venaient l’affronter, ayant entendu parler de ses exploits. Combat après combat, ils repartaient vaincu. Les mages guerriers venus, des clans éloignés d’elfes noirs, les combattants eldorans, ou les nains, puissants et résistants, d’aucun ne venais à bout d’Irigaseth le puissant.
Aux cours de son seizième un puissant mage elfe arriva au village. Les Haut Elfe n’étant pas apprécié par les Sinans, Irigaseth le provoqua en duel.
-L’elfe! lui cria-t-il, tu n’es pas le bienvenu ici.
-Bien arrogant est votre accueil, je ne cherche pas les conflits.
-Tu les a quand trouver! Part maintenant ou bat toi! répliqua Irigaseth.
-Je n’ai pas l’intention de partir, répondit l’elfe.
Sans plus attendre, le fils de Kastar sorti un poignard qu’il lança en direction du nouveau venu, les rires des villageois l’encourageant à attaqué. Mais ce fut le silence, lorsque la lame se brisa sur un bouclier magique que son adversaire avait levé.
-J’ai n’ai pas l’intention de partir, répéta l’elfe comme s’il n’avait pas été attaqué.
Irigaseth fit s’envoler jusqu’à lui une arbalète en chêne robuste et des carreaux trempé dans du venin de serpent. Sans que personne n’ai eu le temps de s’en rendre compte une dizaine de carreaux empoissonnés filèrent vers le mage qui les esquiva avec la grâce propre aux elfes. À son sou tour il matérialisa un grand arc de en saule incrusté d’or, et sortie une flèche, de saule également, aligner par trois grandes plumes de colombe. Sans un bruit elle fendit l’air et se planta dans l’épaule gauche d’Irigaseth. Le mage dématérialisa l’arc doré, pour la remplacer par un long bâton de cerisier orné d’un diamant finement taillé à son sommet. La nouvelle arme virevolta dans aux bout ses bras, donnant l’image d’une danse gracieuse.
Irigaseth attrapa une hache de guerre en se téléportant derrière son adversaire. Avec une force terrifiante il abattit l’arsenal dans le dos du mage. La lame traversa le corps qui si dissipa dans un nuage de fumer…
-Seul le lâche attaque par derrière.
Dans le dos d’Irigaseth le mage se tenait, bien vivant, pointant Le bâton de cerisier droit sur lui. Devant lui le double de fumer s’évaporais lentement. Dans un bond rapide, Irigaseth se retourna et frappa l’arme de bois de sa hache bien aiguisée. Le coup pourtant puissant ne trancha pas le bois, cependant le mage tomba à la renverse sous le choc. À moitié couché sur la terre sèche, le mage vit l’arme s’abattre sur lui de nouveau. Il plongea pour évité le coup, fit tournoyer son bâton magique et une rafale de vent propulsa Irigaseth contre un tronc d’arbre mort. La hache, elle, s’envola beaucoup plus loin.
En colère contre la résistance du mage, il invoqua un léopard, un lion et une panthère. Les redoutable félin, qui était les animaux préférer d’Irigaseth, chargèrent en même temps le mage. Akrum, qui assistait aux combat, regratta de voir son apprenti désobéir à sa promesse de ne jamais utilisé son pouvoir pour le mal. Le maître se retira dans sa hutte.
De son côté le mage créa magiquement un mur de feu infranchissable qui bloqua les trois félin derrière. Le léopard plus rapide contourna le feu et sauta à la gorge du mage. Celui-ci frappa l’animal de la pointe orné de son bâton et transmuta le corps de chairs et d’os en un vulgaire bloque de pierre. Le léopard restait immuablement statufier dans une position d’attaque, ne touchant le sol que par ses pattes arrière. La panthère sautant plus haut passa par-dessus les flammes et atterrit sur le mage.
Ils s’avalèrent au sol en roulant. Il aurait aisément muté la panthère en un bloc rocheux. Il ficha plutôt une flèche dans l’oreille du félin qui s’écroula dans de grands spasmes de torture. Le mage murmura quelques mots en langue inconnu. Les flammes s’éteignirent et le lion s’approcha doucement pour s’assoir devant le mage et se faire caressé la tête.
Bien des histoires racontent la fin tragique de ce Kastar. Comment il fut assassiné par les siens. Ou encore, sa chute accidentelle dans un ravin, confirmant sa bêtise et sa maladresse. Mais personne ne connaît la réelle fin de L’Elfe Noir Kastar Firieth, Kastar l’enflammer.
L’essentiel était qu’Irigaseth, encore tout jeune ne voulait en rien ressembler à son père qui lui causait honte. Un père qui fut si lâche, abandonnant son enfant.
Irigaseth était un enfant très brillant. Ayant tout jeune apprit à parler à la maturité d’un adulte. Ses grands-parents sinans lui racontèrent la triste histoire de son père et sa mère. Dans le fond de son cœur Irigaseth savais que son parent n’avait pas péri. Il le savait, le sentait…
« Un jour père, je vous trouverai, je vous tuerai »
Irigaseth n’avait que cette pensée à l’esprit du levant aux couchants. Ses nuits, rempli des mêmes pensées, lui apportais réconfort, voyant chaque fois la mort de son père par les mains de son fils. Au matin, dans un journal qu’il avait lui-même fabriquer avec du cuir sinan et des feuille de parchemin, il notait tout les détailles de son meurtre imaginer dans son sommeil. Une encre rouge relatait tous les détailles, les lieux, les moments, les armes, les témoins dans certains cas.
Il s’entraînait avec les adultes au combat. Que ce soit le poignard l’épée, et même la hache, rarement manier par les sinans, Irigaseth démontrait une habileté défié les limite du possible. Vu sa qualité de combattant un homme du village décida de le prendre sous son aile au très jeune âge de 13 ans un enseignement de la nécromancie.
Cet homme s’appelait Akrum. Il enseigna les bases de la nécromancie à Irigaseth qui buvait les paroles de son maître avec ravissement et intérêt. Akrum passa rapidement de la théorie à la pratique, encore une fois l’étonnant talent d’Irigaseth impressionna tout le village. Certain voyageur commencèrent à rependre la rumeur, d’Irigaseth. Les féroces animaux qui reprenaient vie pour exécuter les ordres d’Irigaseth, envahirent la région. Akrum lui interdit de commettre des méfais par son exceptionnel pouvoir. Il utilisa donc ses bêtes pour rechercher le père qu’il haïssait tant.
Mais le combat, et la nécromancie n’était pas ses seul force. Un grand potentiel magique résidait en lui. Le premier pouvoir qu’il acquit fut la lévitation, puis virent si ajouter des sorts de téléportassions et de télékinésie. Il semblait douer pour les sorts à distance, mais pour la première fois de sa vie Irigaseth se découvrit une faiblesse. Il était incapable d’accomplir des sorts d’attaque ou de soins. Bien qu’il passa des mois entier à s’y exercer. Il s’assaillit donc d’ardeur ses pouvoir nécromant et ses habiliter aux combat.
Dès l’âge de 16 ans il ne trouvait difficilement des guerriers à sa hauteur. Nombreux, venaient l’affronter, ayant entendu parler de ses exploits. Combat après combat, ils repartaient vaincu. Les mages guerriers venus, des clans éloignés d’elfes noirs, les combattants eldorans, ou les nains, puissants et résistants, d’aucun ne venais à bout d’Irigaseth le puissant.
Aux cours de son seizième un puissant mage elfe arriva au village. Les Haut Elfe n’étant pas apprécié par les Sinans, Irigaseth le provoqua en duel.
-L’elfe! lui cria-t-il, tu n’es pas le bienvenu ici.
-Bien arrogant est votre accueil, je ne cherche pas les conflits.
-Tu les a quand trouver! Part maintenant ou bat toi! répliqua Irigaseth.
-Je n’ai pas l’intention de partir, répondit l’elfe.
Sans plus attendre, le fils de Kastar sorti un poignard qu’il lança en direction du nouveau venu, les rires des villageois l’encourageant à attaqué. Mais ce fut le silence, lorsque la lame se brisa sur un bouclier magique que son adversaire avait levé.
-J’ai n’ai pas l’intention de partir, répéta l’elfe comme s’il n’avait pas été attaqué.
Irigaseth fit s’envoler jusqu’à lui une arbalète en chêne robuste et des carreaux trempé dans du venin de serpent. Sans que personne n’ai eu le temps de s’en rendre compte une dizaine de carreaux empoissonnés filèrent vers le mage qui les esquiva avec la grâce propre aux elfes. À son sou tour il matérialisa un grand arc de en saule incrusté d’or, et sortie une flèche, de saule également, aligner par trois grandes plumes de colombe. Sans un bruit elle fendit l’air et se planta dans l’épaule gauche d’Irigaseth. Le mage dématérialisa l’arc doré, pour la remplacer par un long bâton de cerisier orné d’un diamant finement taillé à son sommet. La nouvelle arme virevolta dans aux bout ses bras, donnant l’image d’une danse gracieuse.
Irigaseth attrapa une hache de guerre en se téléportant derrière son adversaire. Avec une force terrifiante il abattit l’arsenal dans le dos du mage. La lame traversa le corps qui si dissipa dans un nuage de fumer…
-Seul le lâche attaque par derrière.
Dans le dos d’Irigaseth le mage se tenait, bien vivant, pointant Le bâton de cerisier droit sur lui. Devant lui le double de fumer s’évaporais lentement. Dans un bond rapide, Irigaseth se retourna et frappa l’arme de bois de sa hache bien aiguisée. Le coup pourtant puissant ne trancha pas le bois, cependant le mage tomba à la renverse sous le choc. À moitié couché sur la terre sèche, le mage vit l’arme s’abattre sur lui de nouveau. Il plongea pour évité le coup, fit tournoyer son bâton magique et une rafale de vent propulsa Irigaseth contre un tronc d’arbre mort. La hache, elle, s’envola beaucoup plus loin.
En colère contre la résistance du mage, il invoqua un léopard, un lion et une panthère. Les redoutable félin, qui était les animaux préférer d’Irigaseth, chargèrent en même temps le mage. Akrum, qui assistait aux combat, regratta de voir son apprenti désobéir à sa promesse de ne jamais utilisé son pouvoir pour le mal. Le maître se retira dans sa hutte.
De son côté le mage créa magiquement un mur de feu infranchissable qui bloqua les trois félin derrière. Le léopard plus rapide contourna le feu et sauta à la gorge du mage. Celui-ci frappa l’animal de la pointe orné de son bâton et transmuta le corps de chairs et d’os en un vulgaire bloque de pierre. Le léopard restait immuablement statufier dans une position d’attaque, ne touchant le sol que par ses pattes arrière. La panthère sautant plus haut passa par-dessus les flammes et atterrit sur le mage.
Ils s’avalèrent au sol en roulant. Il aurait aisément muté la panthère en un bloc rocheux. Il ficha plutôt une flèche dans l’oreille du félin qui s’écroula dans de grands spasmes de torture. Le mage murmura quelques mots en langue inconnu. Les flammes s’éteignirent et le lion s’approcha doucement pour s’assoir devant le mage et se faire caressé la tête.
Dernière modification par Invokal le 17 janv. 2008, 18:07, modifié 1 fois.
La Prophétie
La Prophétie
Mon père, le terrible Irigaseth, n’avais jamais eu affronté un être doué d’une telle magie. Puisque ses capacités magiques étaient limitées, il considérait cette discipline comme inutile, voir nuisible. En réalité, il parlait de la magie ainsi uniquement parce qu’il se refusait tout échec.
Lorsqu’il comprit que ce mage inconnu allait sans doute le vaincre, son agressivité redoubla d’ardeur…
De son côté Irigaseth agrippa une arbalète qu’il arma et le mage relâcha le lion lui rendant sa liberté. Le carreau parti rapidement et se planta dans le cœur du lion qui disparu en poussière. Le mage planta son bâton au sol avec force. Des serpentins de feu jaillir de la terre à l’endroit où elle avait été percé par le mage.
Les flammes mortelles se dirigèrent vers Irigaseth qui esquivait les brûlures de son mieux. Chaque flamme le torturait de douleur, il invoqua de nombreuses bêtes pour se protéger, préférant les faire rôtir elles plutôt que lui. Lorsque les flammes destructrices se disparurent Irigaseth se retourna vers le mage qui brandissait son bâton. Sa jambe droit suintait le sang, dans on épaule gauche la flèche s’était briser ne laissant que la pointe dans la chaire.
Irigaseth s’assit alors au sol, tous le regardaient avec inquiétude. Il se mit à psalmodier une incantation dématérialisation. Le ciel s’obscurcit… un grand vent se leva hurlant le désespoir. Le mage et l’elfe noir se volatilisèrent.
Un espace noir, lugubre, maléfique…
Sans air, sans terre, sans ciel…
Ni vivant ni mort…
Que le vide et l’infini…
Les deux adversaires semblaient flotter dans l’immatériel. Esprit à esprit, ils communiquèrent.
« Je ne partirai pas, jeune Irigaseth… Pas sans toi à mes côté »
« Pourquoi être venu ici m’affronter, si votre objectif est de m’emmener »
Irigaseth se rappela alors que lui seul assumait la responsabilité de ce duel
« De l’inapte, naîtra le doué.
En ses veines un sang métissé.
Loin de son père reclus.
Sa puissance est invaincue.
Seule la magie peut l’affaiblir.
À jamais ne pourra s’en munir.
À son premier souffle, causera la mort.
Le mage elfe il aura comme mentor. »
« Tu est l’élu, Irigaseth »
Mon père, le terrible Irigaseth, n’avais jamais eu affronté un être doué d’une telle magie. Puisque ses capacités magiques étaient limitées, il considérait cette discipline comme inutile, voir nuisible. En réalité, il parlait de la magie ainsi uniquement parce qu’il se refusait tout échec.
Lorsqu’il comprit que ce mage inconnu allait sans doute le vaincre, son agressivité redoubla d’ardeur…
De son côté Irigaseth agrippa une arbalète qu’il arma et le mage relâcha le lion lui rendant sa liberté. Le carreau parti rapidement et se planta dans le cœur du lion qui disparu en poussière. Le mage planta son bâton au sol avec force. Des serpentins de feu jaillir de la terre à l’endroit où elle avait été percé par le mage.
Les flammes mortelles se dirigèrent vers Irigaseth qui esquivait les brûlures de son mieux. Chaque flamme le torturait de douleur, il invoqua de nombreuses bêtes pour se protéger, préférant les faire rôtir elles plutôt que lui. Lorsque les flammes destructrices se disparurent Irigaseth se retourna vers le mage qui brandissait son bâton. Sa jambe droit suintait le sang, dans on épaule gauche la flèche s’était briser ne laissant que la pointe dans la chaire.
Irigaseth s’assit alors au sol, tous le regardaient avec inquiétude. Il se mit à psalmodier une incantation dématérialisation. Le ciel s’obscurcit… un grand vent se leva hurlant le désespoir. Le mage et l’elfe noir se volatilisèrent.
Un espace noir, lugubre, maléfique…
Sans air, sans terre, sans ciel…
Ni vivant ni mort…
Que le vide et l’infini…
Les deux adversaires semblaient flotter dans l’immatériel. Esprit à esprit, ils communiquèrent.
« Je ne partirai pas, jeune Irigaseth… Pas sans toi à mes côté »
« Pourquoi être venu ici m’affronter, si votre objectif est de m’emmener »
Irigaseth se rappela alors que lui seul assumait la responsabilité de ce duel
« De l’inapte, naîtra le doué.
En ses veines un sang métissé.
Loin de son père reclus.
Sa puissance est invaincue.
Seule la magie peut l’affaiblir.
À jamais ne pourra s’en munir.
À son premier souffle, causera la mort.
Le mage elfe il aura comme mentor. »
« Tu est l’élu, Irigaseth »
Invokal posa sa plume un moment… le souvenir de cette prophétie lui remémorait de sombres époques de son enfance gâchée.
Lorsque le parchemin eu entièrement séché, il le roula et rangea dans son coffre manuscrit, plume et encre.
Au fond de lui, il ne savait s’il voulait relater ces évènements où les oublier à jamais…
Invokal s’éloigna de la bibliothèque où il s’était recueillit pour écrire d’un pas d’un distrait se dirigeant vers un dépôt tout près. Arrivé à destination il ramassa son matérielle d’alchimie. Des os tombèrent sur le sol lorsqu’il mit dans son sac les minerais d’argent.
Il lui sembla que les os tombèrent sur le sol avec une lenteur infinie et résonnèrent contre le bois dans un bruit qui agressa les oreilles pointues d’Invokal. Son cœur se mit à palpité dans sa poitrine…
D’un œil d’expert nécromant comme l’était son père, il reconnut une clavicule de lion, deux vertèbres d’aigle et un plexus d’orque… Le désir d’invoqué les bêtes dicta dans le cœur d’Invokal l’ordre de transgresser ses règles de vie. Défier l’indomptable mort est un pouvoir si puissant,
qu’il rend le possesseur de cette art dément…
Les essences vitales déjà prête Invokal en appela à son pouvoir et plongea son esprit dans l’immensité des landes à la recherche d’une âme à torturer.
« Invokal »
Mais quel est cette voix…
« Invokal contrôle toi »
Se rendant compte des actes ténébreux qu’il s’apprêtait à commettre, Invokal hésita… puis lâcha os et essences en reculant. Il sorti à l’extérieur et respira de grande bouffé d’air frai. Tout son corps tremblait… L’elfe se concentra sur sa respiration pour calmer la crise, sentant les larmes lui monter aux yeux.
-Non, hurla-t-il, je ne veux pas ça, je veux oublier, je ne veux plus souffrir de ce mal.
Lorsque le parchemin eu entièrement séché, il le roula et rangea dans son coffre manuscrit, plume et encre.
Au fond de lui, il ne savait s’il voulait relater ces évènements où les oublier à jamais…
Invokal s’éloigna de la bibliothèque où il s’était recueillit pour écrire d’un pas d’un distrait se dirigeant vers un dépôt tout près. Arrivé à destination il ramassa son matérielle d’alchimie. Des os tombèrent sur le sol lorsqu’il mit dans son sac les minerais d’argent.
Il lui sembla que les os tombèrent sur le sol avec une lenteur infinie et résonnèrent contre le bois dans un bruit qui agressa les oreilles pointues d’Invokal. Son cœur se mit à palpité dans sa poitrine…
D’un œil d’expert nécromant comme l’était son père, il reconnut une clavicule de lion, deux vertèbres d’aigle et un plexus d’orque… Le désir d’invoqué les bêtes dicta dans le cœur d’Invokal l’ordre de transgresser ses règles de vie. Défier l’indomptable mort est un pouvoir si puissant,
qu’il rend le possesseur de cette art dément…
Les essences vitales déjà prête Invokal en appela à son pouvoir et plongea son esprit dans l’immensité des landes à la recherche d’une âme à torturer.
« Invokal »
Mais quel est cette voix…
« Invokal contrôle toi »
Se rendant compte des actes ténébreux qu’il s’apprêtait à commettre, Invokal hésita… puis lâcha os et essences en reculant. Il sorti à l’extérieur et respira de grande bouffé d’air frai. Tout son corps tremblait… L’elfe se concentra sur sa respiration pour calmer la crise, sentant les larmes lui monter aux yeux.
-Non, hurla-t-il, je ne veux pas ça, je veux oublier, je ne veux plus souffrir de ce mal.
Les Landes Éternelles semblaient désolé en cet avant-midi pluvieux. Aucun homme, aucune bête n’avait troublé le travail d’Invokal. Ayant récemment ouvert sa propre boutique d’essences, le jeune elfe avait pu terminer ses premières commandes rapidement.
Bien qu’il ait apprécié cette tranquillité sereine, Invokal commença à trouver le temps long et ennuyeux. Ses obligation ayant été rempli, il décida d’aller mâchouiller du polypore pour se détendre un peu, se changer les idées…
Depuis sa récente faiblesse, il ne cessait de faire des cauchemars horribles. La nécromancie reprenait parfois le dessus. Il perdait souvent le contrôle de son esprit et divaguait dans de violentes pulsions nécromanciennes. Chaque fois pourtant, la même voix douce et apaisante résonnait dans sa tête, agissant tel un sédatif. Il s’accrochait à cette voix pour reprendre le contrôle et dominer ses peurs.
Cette pensée l’incita à écrire ses mémoires. Peut-être parviendrait-il à purger son mal ainsi. Il prit plus, encre et parchemin, puis emprunta le bateau.
Invokal posa le pied sur le quai de Nukavuri, savourant déjà l’exaltant parfum des polypores de l’île. Les champignons nukavuriens sont reconnus pour être les plus savoureux de toutes les Landes.
Se dirigeant à grand pas vers son festin Invokal ressenti un profond malaise. Une souffrance qui n’était pas la sienne, on l’appelait à l’aide. Sans réfléchir l’elfe couru vers l’ouest dans une partie de l’île qu’il ne connaissait pas encore.
Une boule de poile blanche et toute tâchée de sang gisait aux pieds d’un arbre. Ses sens l’avaient guidé inconsciemment vers un lapin à demi-mort. Invokal ressenti une profonde douleur et voulu réconforté l’animal en détresse qui tentait de fuir malgré ses blessures. S’approchant doucement de lui, l’elfe posa ses paumes sur les flancs du lapin en lui transmettant une onde magique apaisante.
Calmée et sa douleur temporairement disparut, grave à la magie d’Invokal, le lapin se laissa prendre. L’elfe l’emmena dans une petite maison et le posa sur une fourrure chaude. Il alluma magiquement ensuite le foyer en y projetant une flamme vive dans les branches qui s’y trouvait.
Il avait réussi à le mettre au sec et au chaud, mais c’était loin d’être suffisant. Les meurtrissures du lapin allaient nécessiter plus de soins. En offrant aux lapins une seconde vague apaisante, il capta les dommages dans le corps de l’animal. Deux de ses pattes étaient désarticulées, une profonde morsure de féran avait atteint les organes et plusieurs de ses côtes étaient cassées ou fêlées.
Ce n’est qu’à se moment qu’Invokal comprit ce qu’il faisait. La magie qu’il avait utilisée pour repérer le blessé, la magie pour apaiser les douleurs, la magie pour allumer le feu. Regardant ses mains passer autour du lapin, il comprit qu’il possédait l’Art. Grâce à cet Art il pouvait connaître les blessures et les maux intérieurs du lapin.
Il était affamé, fiévreux, inquiet.
Invokal connaissait tout de l’anatomie des animaux. Comme tout bon nécromant qu’il fut jadis, il avait apprit à positionner chacun des organes, chacun des os, chacun des muscle. Il utilisa ces connaissances aujourd’hui pour sauver une vie et non pas torturer une âme au repos éternel. Il repositionna les membres rapidement et retira deux canines de Féran de l’abdomen du lapin. Grâce à sa magie il put remettre en fonctions les organes endommagés. Les blessures intérieures mettront du temps à guérir mais la plaie était fermée. Le sang ayant cessé de couler, Invokal mit quelques bûches au feu et laissa son patient dormir tranquillement.
Il alla à son dépôt, prit sa cape de régénération en espérant que les effets seraient favorables au lapin. Il ramassa ensuite quelques branches et une cordelette. Prenant une fiole remplie à ras bord de potion nutritive, l’elfe décida de cueillir quelques herbes dont il connaissait les propriétés anesthésiantes. Il rempli un panier d’osier suffisamment pour de plantes pour faire une salade vitaminée qui redonnerait un peu de force au lapin.
Lorsqu’il retourna à la maison où reposait l’animal, l’elfe commença à lui fabriquer un atèle pour maintenir ses côtes en place le temps qu’elles se soudent. Lorsque le tout fut bien en place, il mit un peu d’eau à chauffer et prépara sa salade curative, en y ajoutant quelques gouttes de potion nutritive, et du nectar d’abeille pour adoucir le goût. Il plaça quelques feuilles dans la gueule du lapin la dévora avec appétit. L’elfe sourit à son petit lapin.
-Tu avais faim ont dirait, ne t’inquiète pas tu es sauvé maintenant.
L’eau suffisamment chaude accueillit quelques herbes médicales et des essences curatives pour faire un bain thérapeutique. Il s’appliqua à nettoyer et désinfecter les plaies, redonner une couleur blanc neige au pelage. Puis il l’enveloppa dans sa cape et lui transmit une vague d’apaisement pour endormir le lapin.
Une lune entière passa sans qu’Invokal ne cesse de prendre soin du lapin. Tout son temps, il était occupé à préparer des salades, à changer les atèles, à étirer les muscles pour éviter les contusions, à prodiguer de nombreuses ondes apaisantes.
Lorsqu’il s’apprêta à aller préparer une commande d’essences pour sa boutique qu’il avait un peu négligée il entendit la voix dans sa tête.
« Merci Invokal. »
L’elfe se retourna, mais il n’y avait personne…
« Tu m’as sauvé la vie, ta première épreuve est achevée. »
Bien qu’il ait apprécié cette tranquillité sereine, Invokal commença à trouver le temps long et ennuyeux. Ses obligation ayant été rempli, il décida d’aller mâchouiller du polypore pour se détendre un peu, se changer les idées…
Depuis sa récente faiblesse, il ne cessait de faire des cauchemars horribles. La nécromancie reprenait parfois le dessus. Il perdait souvent le contrôle de son esprit et divaguait dans de violentes pulsions nécromanciennes. Chaque fois pourtant, la même voix douce et apaisante résonnait dans sa tête, agissant tel un sédatif. Il s’accrochait à cette voix pour reprendre le contrôle et dominer ses peurs.
Cette pensée l’incita à écrire ses mémoires. Peut-être parviendrait-il à purger son mal ainsi. Il prit plus, encre et parchemin, puis emprunta le bateau.
Invokal posa le pied sur le quai de Nukavuri, savourant déjà l’exaltant parfum des polypores de l’île. Les champignons nukavuriens sont reconnus pour être les plus savoureux de toutes les Landes.
Se dirigeant à grand pas vers son festin Invokal ressenti un profond malaise. Une souffrance qui n’était pas la sienne, on l’appelait à l’aide. Sans réfléchir l’elfe couru vers l’ouest dans une partie de l’île qu’il ne connaissait pas encore.
Une boule de poile blanche et toute tâchée de sang gisait aux pieds d’un arbre. Ses sens l’avaient guidé inconsciemment vers un lapin à demi-mort. Invokal ressenti une profonde douleur et voulu réconforté l’animal en détresse qui tentait de fuir malgré ses blessures. S’approchant doucement de lui, l’elfe posa ses paumes sur les flancs du lapin en lui transmettant une onde magique apaisante.
Calmée et sa douleur temporairement disparut, grave à la magie d’Invokal, le lapin se laissa prendre. L’elfe l’emmena dans une petite maison et le posa sur une fourrure chaude. Il alluma magiquement ensuite le foyer en y projetant une flamme vive dans les branches qui s’y trouvait.
Il avait réussi à le mettre au sec et au chaud, mais c’était loin d’être suffisant. Les meurtrissures du lapin allaient nécessiter plus de soins. En offrant aux lapins une seconde vague apaisante, il capta les dommages dans le corps de l’animal. Deux de ses pattes étaient désarticulées, une profonde morsure de féran avait atteint les organes et plusieurs de ses côtes étaient cassées ou fêlées.
Ce n’est qu’à se moment qu’Invokal comprit ce qu’il faisait. La magie qu’il avait utilisée pour repérer le blessé, la magie pour apaiser les douleurs, la magie pour allumer le feu. Regardant ses mains passer autour du lapin, il comprit qu’il possédait l’Art. Grâce à cet Art il pouvait connaître les blessures et les maux intérieurs du lapin.
Il était affamé, fiévreux, inquiet.
Invokal connaissait tout de l’anatomie des animaux. Comme tout bon nécromant qu’il fut jadis, il avait apprit à positionner chacun des organes, chacun des os, chacun des muscle. Il utilisa ces connaissances aujourd’hui pour sauver une vie et non pas torturer une âme au repos éternel. Il repositionna les membres rapidement et retira deux canines de Féran de l’abdomen du lapin. Grâce à sa magie il put remettre en fonctions les organes endommagés. Les blessures intérieures mettront du temps à guérir mais la plaie était fermée. Le sang ayant cessé de couler, Invokal mit quelques bûches au feu et laissa son patient dormir tranquillement.
Il alla à son dépôt, prit sa cape de régénération en espérant que les effets seraient favorables au lapin. Il ramassa ensuite quelques branches et une cordelette. Prenant une fiole remplie à ras bord de potion nutritive, l’elfe décida de cueillir quelques herbes dont il connaissait les propriétés anesthésiantes. Il rempli un panier d’osier suffisamment pour de plantes pour faire une salade vitaminée qui redonnerait un peu de force au lapin.
Lorsqu’il retourna à la maison où reposait l’animal, l’elfe commença à lui fabriquer un atèle pour maintenir ses côtes en place le temps qu’elles se soudent. Lorsque le tout fut bien en place, il mit un peu d’eau à chauffer et prépara sa salade curative, en y ajoutant quelques gouttes de potion nutritive, et du nectar d’abeille pour adoucir le goût. Il plaça quelques feuilles dans la gueule du lapin la dévora avec appétit. L’elfe sourit à son petit lapin.
-Tu avais faim ont dirait, ne t’inquiète pas tu es sauvé maintenant.
L’eau suffisamment chaude accueillit quelques herbes médicales et des essences curatives pour faire un bain thérapeutique. Il s’appliqua à nettoyer et désinfecter les plaies, redonner une couleur blanc neige au pelage. Puis il l’enveloppa dans sa cape et lui transmit une vague d’apaisement pour endormir le lapin.
Une lune entière passa sans qu’Invokal ne cesse de prendre soin du lapin. Tout son temps, il était occupé à préparer des salades, à changer les atèles, à étirer les muscles pour éviter les contusions, à prodiguer de nombreuses ondes apaisantes.
Lorsqu’il s’apprêta à aller préparer une commande d’essences pour sa boutique qu’il avait un peu négligée il entendit la voix dans sa tête.
« Merci Invokal. »
L’elfe se retourna, mais il n’y avait personne…
« Tu m’as sauvé la vie, ta première épreuve est achevée. »
Invokal
Alchimiste Irilonnais
Humble aventurier des Landes
Alchimiste Irilonnais
Humble aventurier des Landes