[V] Histoire d'une vie

[VinceHood]

*Vous voyez un parchemin écrit lisiblement contrairement à d'habitude*


La plupart des aventuriers qui me côtoient régulièrement me demande pourquoi je suis si différent des autres Galdurs qu’ils connaissent ou de l’image du « Galdurs moyen » qu’ils se font. Ils se posent des questions comme : Pourquoi n’es tu pas un meilleur combattant ? Ou pourquoi semble-tu plus « civilisé » ? :

Tout commence dés l’enfance.



« Dés mon plus jeune âge j’aimais à me balader autour du camp que formait ma famille, j’y ceuillais des fleurs, pas souvent les plus belle-peut être mon coté Galdur-mais toujours les plus utiles ; j’avais une sorte de don.

J’était un Galdur « normal » jusqu’au jour ou mon frère JohnDef (et oui il est plus jeune que moi ) vint au monde. Avec une bouche de plus a nourrir mon clan n’avait plus qu’une solution : trouver un moyen de se procurer plus de richesse pour pouvoir acheter des aliments en ville, ce que nous nous étions refusé de faire jusqu'à présent. Certains de nous rançonnaient les voyageurs, comme mon frère plus tard, mais moi je décida plutôt d’utiliser mon don pour trouver des fleurs et minerais rares que je revendais en ville à un prix convenable bien que mon clan ne trouvait pas que ce fût une bonne idée, mais mes parents me soutenaient ».

Dés lors nous pouvons comprendre que je soit plus « civilisé » et que je combatte moins que mes semblables.



Mon arrivée dans les landes :



« Les temps devenant durs pour mon clans on décida que ce serait mon frère qui partirai dés qu’il serait assez mur. Je ne découvrit que bien plus tard le chemin qu’il avait pris pour arrivé en ces Terres. Quelques Fingelins après son départ ma mère mourut, et avec elle le rapprochement vers la ville stoppa et je ne put rester au camp que grâce à mon père qui soutenait encore mon souhait de « civilisation ». A sa mort je ne put que quitter le clan et décida de suivre les traces de mon jeune frère. Partout où je passais tout le monde se souvenait d’un grand Galdur pour une raison ou pour une autre. Après un long périple où je dû encore me servir de mon don pour me sortir du pétrin j’arriva enfin dans les Ilots centraux. Bizarrement, après avoir eut vent de mon arrivée, mon frère fut le premier à m’accueillir et à me mettre en garde des dangers qui allaient m’arriver.


[Pour trouver la suite de mes récits vous pourrez consulter Les contes ethistoires des Ilots centraux]


Merci à Jatoziel qui a eut l'amabilité de m'écouter et de retranscrire mes paroles.