Au théâtre ce soir ...
Publié : 14 févr. 2008, 19:02
Amédé est une personnalité complexe de la politique Césarienne. Tantôt il agite le fier drapeau noir, tantôt le frêle drapeau blanc ...
Il est l'un des favoris de sa sainteté Gratin, seigneur de toutes les purées.
Acte I, scène I : Amédé, le marié, la mariée et Carré la servante.
Dans la taverne du nain malingre, un mariage célèbre l'union formidable d'un Nain et d'une Elfe
Amédé, apllaudissant: Seigneur, que ce mariage est bon !
J'avais peur en venant, de le trouver fort long,
Mais ô grande joie, je m'amuse sans peine.
Le marié, souriant: Votre présence m'honore, et que, sans gêne,
Vous osiez aduler toutes ces festivités,
Fait de vous l’être le plus charmant de ces contrées/
Amédé, confus : Je dis ce que je pense,
à la mariée : M’accorderiez vous cette danse ?
La mariée : Vous … Vous savez danser ?
Amédé, véhément : Mais que pensiez vous grée ?
Qu’un orateur né, ne savait festoyer ?
La mariée : Par Fine gueule loin de moi cette pensée !
Alors prenez moi ! Et dansons gais !
Le marié,agacé : Cesse de t’offrir ainsi en spectacle !
Oh et puis diantre ! Par quel miracle,
Deviendras tu mature ?
Amédé, fatigué, il baille : Je vous laisse.Ne soyez point si dur,
Avec votre douce promise, car ce soir, jouant de ses charmes,
Je suis sûr qu’elle saura vous ôter toute arme.
Il est l'un des favoris de sa sainteté Gratin, seigneur de toutes les purées.
Acte I, scène I : Amédé, le marié, la mariée et Carré la servante.
Dans la taverne du nain malingre, un mariage célèbre l'union formidable d'un Nain et d'une Elfe
Amédé, apllaudissant: Seigneur, que ce mariage est bon !
J'avais peur en venant, de le trouver fort long,
Mais ô grande joie, je m'amuse sans peine.
Le marié, souriant: Votre présence m'honore, et que, sans gêne,
Vous osiez aduler toutes ces festivités,
Fait de vous l’être le plus charmant de ces contrées/
Amédé, confus : Je dis ce que je pense,
à la mariée : M’accorderiez vous cette danse ?
La mariée : Vous … Vous savez danser ?
Amédé, véhément : Mais que pensiez vous grée ?
Qu’un orateur né, ne savait festoyer ?
La mariée : Par Fine gueule loin de moi cette pensée !
Alors prenez moi ! Et dansons gais !
Le marié,agacé : Cesse de t’offrir ainsi en spectacle !
Oh et puis diantre ! Par quel miracle,
Deviendras tu mature ?
Amédé, fatigué, il baille : Je vous laisse.Ne soyez point si dur,
Avec votre douce promise, car ce soir, jouant de ses charmes,
Je suis sûr qu’elle saura vous ôter toute arme.