Lorsque pour une erreur, le pardon est déçu,
Quand noyés dans les pleurs, se morfondent les exclus,
Le rejet se dessine et les tensions se créent,
Quand remontent les échines d'une colère sacrée,
Certains trouveront normal que l'on en blâme les autres,
Car ils étaient coupables, tout comme leurs vils apôtres,
On les bannit alors, ils auraient dû mentir,
Ne pas violer d'accords ou bien ne pas en jouir,
C'est là mon expérience que je vous communique,
De la perte de mes sens, de mon malheur unique,
Quand les regards hautains se dessinent sans cesse,
Quand tu croises leurs chemins et qu'alors ils te blessent,
Tu verras apeuré, la suffisance des tiens,
Qui t'auront méprisé et sali de leurs mains,
C'est une triste vengeance que manoeuvre les déchus,
Te faisaient révérence, puis te crachent dessus...
Morale:
Ne te distingue pas, ne prends pas de hauteur,
Car tu en tomberas et naîtra ton malheur,
Je t'aurais prévenu, écoute donc mes mots,
Tu en seras perdu, et chutera de haut
Comme une flamme qui brille, et qui un jour s'éteint.
Comme une flamme qui brille, et qui un jour s'éteint.
Roule au gré du hasard,
Dans les déserts du vide,
Qu'à jamais loin de moi,
Le Destin soit ton guide,
Et le Malheur ton roi!
Jaheira
Dans les déserts du vide,
Qu'à jamais loin de moi,
Le Destin soit ton guide,
Et le Malheur ton roi!
Jaheira