Inter section
Publié : 06 mars 2008, 10:52
Inter section
Vouloir vivre dans l’ombre est un curieux attrait :
Pour saisir un sujet, faut il donc y sombrer ?
On s’illusionne apprendre de ténébreux secrets,
On s’y embourbe, à croire que tout y est pensé…
J’ai choisi la lumière, de ma couleur, la bleue !
Elle est particulière, éclairant de ses feux,
Les tortueuses pensées des êtres fallacieux,
Suivant contre leur gré l’ornière de leurs aïeux…
Etonnante décision que d’user du silence,
De chercher à savoir ce que les autres pensent
Avant d’avoir agi ; Ces trafics d’influences
Que soi-même, on subit, à s’y tromper les sens…
J’ai choisi le discours, la musique de ma Voix !
Claire, directe, j’essaierai, d’être au moins de ceux là.
Ma parole aiguisée, telle un glaive d’apparat,
Eloignera les assauts, ou bien les révèlera…
Quel étrange choix, enfin, d’aimer les apparences.
L’attentisme est un art, c’est surtout une nuisance.
Je ne prétends connaître toutes les conséquences,
Mais peur de se tromper n’excuse pas suffisance…
J’ai donc choisi l’action, j’userai de mes mains !
S’il faut, je les salis, en suivant mon chemin.
Qu’on me voit comme traîtresse, girouette ou catin,
Je n’ai cure de ces noms, ils faneront demain…
Du sombre à l’amer,
De l’ombre à la lumière.
Des non sens au choix,
Du silence à la Voix.
Du paraître au devenir,
Du passé à l’avenir,
Et des maux aux mots,
Il me fallait les dire…#$&%@&
(Le dernier mot est illisible, quelqu’un a visiblement eu un remords et a voulu l’effacer…)
Vouloir vivre dans l’ombre est un curieux attrait :
Pour saisir un sujet, faut il donc y sombrer ?
On s’illusionne apprendre de ténébreux secrets,
On s’y embourbe, à croire que tout y est pensé…
J’ai choisi la lumière, de ma couleur, la bleue !
Elle est particulière, éclairant de ses feux,
Les tortueuses pensées des êtres fallacieux,
Suivant contre leur gré l’ornière de leurs aïeux…
Etonnante décision que d’user du silence,
De chercher à savoir ce que les autres pensent
Avant d’avoir agi ; Ces trafics d’influences
Que soi-même, on subit, à s’y tromper les sens…
J’ai choisi le discours, la musique de ma Voix !
Claire, directe, j’essaierai, d’être au moins de ceux là.
Ma parole aiguisée, telle un glaive d’apparat,
Eloignera les assauts, ou bien les révèlera…
Quel étrange choix, enfin, d’aimer les apparences.
L’attentisme est un art, c’est surtout une nuisance.
Je ne prétends connaître toutes les conséquences,
Mais peur de se tromper n’excuse pas suffisance…
J’ai donc choisi l’action, j’userai de mes mains !
S’il faut, je les salis, en suivant mon chemin.
Qu’on me voit comme traîtresse, girouette ou catin,
Je n’ai cure de ces noms, ils faneront demain…
Du sombre à l’amer,
De l’ombre à la lumière.
Des non sens au choix,
Du silence à la Voix.
Du paraître au devenir,
Du passé à l’avenir,
Et des maux aux mots,
Il me fallait les dire…#$&%@&
(Le dernier mot est illisible, quelqu’un a visiblement eu un remords et a voulu l’effacer…)