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Le livre poétique d'ApogaF

Publié : 03 juin 2008, 19:10
par apogaf
Une nouvelle terre


Sous un soleil chaud,
Un navire,
Dont les voiles gonflés sur les fleaux,
Où éclata des rires,
De bonheur.

En haut de son bateau, l'homme perché,
Vit, sentit un coup de chaleur,
dont les yeux émerveillés,
Retrouva dans son coeur,
Le goût du bonheur.

Le pied nue,
Foula la terre,
Mais garda dans sa vue,
Son navire des mers,
Son fruit du bonheur.

L'île de sable noir,
Avec son volcan endormi,
Avec l'espoir,
Fut nommé par mon viel ami,
La terre des bonheurs.

Publié : 29 juin 2008, 19:45
par apogaf
La grotte ensoleilé

Avec ma grande et belle chienne blanche,
Je me sens d'aventure,
Avec ma immense et puisante monture,
A remplir la carte blanche.

<<Vous partez ?>>,
dit un homme en se levant,
<<Oui, mon ami, mon poissonnier.>>,
Je continue au grès du vent.

Sorti de mon village côtier,
Je galope,
suivit de ma chienne adorée,
c'est parti, hop hop hop.

Après avoir contourné la montagne,
Deux milles pieds nous ont éssouflés,
Je pris dans mon bagne,
L'eau de couleur argenté.

Ma chien intrigué,
Près d'un arc sombre,
Du plus fort de sa voie, aboyé,
Pour la distingué de son poil sombre.

Je me dirige vers cette entré,
M'enfonça avec courage,
Au bout une lumière dorée,
Me fit croire à un mirage.

Arrivée à destination,
Je marche sur du sable mouillé,
Est-ce un fruit de mon imagination ?
Non, c'est bien de l'eau salée.

Après une courte réflexion,
Longue encore la grotte était,
Dans le plafond,
De la lumière y était.

La carte finit, le soir tombe,
La grotte dont les pierres illuminés,
belle comme la Jocombe,
fut nommé La grotte ensoleilé.

Publié : 06 sept. 2008, 19:21
par apogaf
Belle et cruelle


Le matin levant,
Avec un soleil dorée,
Caché par la brume venant,
Son visage argentée,
Réfléchi le soleil.

Celle-ci parcourant la plaine,
Avec son épée,
Découvre la haine,
Parmit ses contrées,
Sa beauté ne faisait que d'arroser l'amour sur l'éternel.

Elle découvrit les montagnes,
Avec un sourire charmant,
Bien que sa compagne,
Soit sur un banc,
Blessé par la cruelle magestée.

Bien que ses deux esprits,
Se combattent définiment,
Malgrès l'une belle vit,
L'autre cruel esprit, impose sa rage fatalement,
Ce fut la belle et la cruelle.

Publié : 14 sept. 2008, 11:00
par apogaf
Un malheur ?

Le jour se lève derrière les lointains nuages,
Comme tous les jours,
Les oiseaux chantent, les canards nagent,
Une journée plein d'amour,
Bien que celle-ci fassent un détour.

Tout d'un coup,
En me mettant sur les genoux,
A travers la fenêtres, je vis,
Un spectre rond qui fit,
Son apparition.

Effrayé, j'alertais mes voisins,
Montrant le phénomène.

Le temps s'assombrit,
Les oiseaux se cachant,
Devant notre beau soleil, la tâche noir s'est mis,
De peur, les habitants,
Allumèrent leurs torches, certains pleuraient.

Un vieillard prit de panique, cria:
<< C'est la fin du monde!>>.

Alors que nous étions dans l'osbcurité,
Une soudaine lumière réapparut,
Sur les nuages rosés,
Bien que l'obscurité fut,
L'espoir resurgit.

En quelques minutes,
La chaleur refit son apparrition.

Soudainement,
Les habitants riaient,
J'ai eu un profond soulagement,
Bien que tout le monde pensait au malheur,
La lumière nous regonfla de bonheur.