Futiles querelles, sang versé,
Pour rompre l’ennui de nos guerriers.
Peuples au combien différents,
Mais même comportement.
Nous fûmes, par le passé, tous unis,
Non sans un but aussi précis,
Que toutes nos différences,
Furent oubliés par décence.
L’ennemi commun bien trop puissant,
Pour qu’un seul peuple fit face,
Nos différences mises en avant,
Comme autant de forces en places.
Nos plus braves guerriers devant,
Les mages de bataille les suivant,
Invocateur et nécromancien distant,
Une cohorte unie face à l’opprimant.
En arrière nos plus grands alchimistes,
Travaillèrent de concert en puriste,
Pour nos plus célèbres ensorceleurs,
Nos meilleur fabricants et artisans en sueur.
Quel splendide spectacle mes amis !
Tous les peuples sous la même bannière unie !
Toutes races mettant en œuvre ses savoirs,
Pour qu’enfin cesse le désespoir.
Les Hommes Bleus coordonnant,
Cette armée par télépathie tout en chantant,
Les Kultars de leur magie s’aidant.
Les lignes ennemis se désagrégeant.
Les Hauts Elfes par leur expérience,
Nous renseignant par leur sagesse,
Les Eldorians grands épéistes,
Dans leurs armures étincelantes.
Les Sinans experts en nécromancie,
Une multitude de créatures face à l’ennemi,
Les Elfes Noirs éclaireurs, assassins,
Au cœur de l’ennemi accomplissant leurs destins.
Les Nains en toutes circonstances mineurs,
Forgerons, guerriers magnant la hache,
Les Galdurs, aux combats frénétiques,
Montrèrent leurs talents guerriers.
Mes sœurs et frères, le temps et venu,
Que les Landes menaçantes soient vaincues,
A quoi bon s’entretuer, quand l’ennemis,
De notre dispersion sans but, sourient.
Rappelez vous du Saint Homme Fingel,
Que les étendues brûlantes, comme sous le gel,
Verdoyantes, rocheuse ou désertiques,
Soient colonisées, prenons le risque.
Ensemble, de n’importe quel métier, vous exercez,
Une pierre à l’édifice de la victoire vous pouvez apporter.
Séridia n’est pas même encore pacifié,
Qu’Irilion est déjà prêt à être colonisé.
Mettons en commun notre Bravoure !
Pour que les landes reculent…
Mettons en commun notre Sagesse !
Pour qu’à jamais les landes périssent…
Quel que soit votre peuple, si vos querelles,
De coté, vous pouvez mettre pour que celles,
Qui se prétendent Maîtresse des lieux,
Ces Landes nous soyons victorieux.
Si l’honneur de vivre en peuple libre,
Comme pour moi est fondamental,
Si au fond de vous, votre cœur vibre,
Pour les Landes, la seule issue est fatale.
Rejoignez en premier lieu la résistance,
Plus grande deviendra la puissance,
Pour que l’esprit même des landes disparaisse,
Avec toute notre bravoure et sagesse !
souvenir suite à mes divagations sous l'emprise de la magie
- Thar_varth
- Messages : 1347
- Inscription : 18 avr. 2006, 14:06
- Localisation : Bretagne