Fingel, la belle étincelle

Toute contrée étrange et aventureuse attire son lot de héros. Mais que seraient ceux-là sans un poète pour chanter leurs exploits ?
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Azhar
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Fingel, la belle étincelle

Message par Azhar »

Il faut un peu de courage pour lire ce poème, qui paraît à première vue très long. En fait, 1/4 est composé de trous, et les vers sont très courts.

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  • Au début du Fingelien
    Un fort lien
    Se créa
    Entre Thylion et Dame Raya
    Et, tel une étincelle
    Naît Fingel

    La mort vint au sixième,
    Prend ceux qu’il aime
    Thylion n’est plus
    Raya non plus
    C’était une embuscade
    Ce n’est pas la fin de l’escapade

    Quelques temps plus tard
    Il apprit un art
    Pendant un an
    Les Sauriens l’encourageant
    Il combattit
    Et tombe la pluie

    Son premier chant
    Fait vibrer le cœur des gens
    En téléport
    Il arrive à bon port
    Sous les yeux
    Des Hommes Bleus

    Au sein du royaume nain
    L’amitié est sans fin
    De part le roi Talkur
    Mais aussi son fils Enur
    Et l’éboulis
    N’est plus que sujet à plaisanterie !

    A la Grande Chaussée
    Fingel est un puissant guerrier
    Ses lames, avec grâce, tournoient
    Au côté du fils du roi
    Il reçoit une belle armure
    Et repart avec son ami Enur

    Enfin la paix
    Est scellée
    Au fond des yeux
    Des Hommes Bleus
    Et des poches de lin
    Des maîtres Nains

    Fingel
    La belle étincelle
    De tous admiré
    Est intégré
    Au Conseil Bleu
    Loin des lancés d’œufs

    En cinq ans
    Il découvre les plans des Sinans
    Situation politique
    Et liens diplomatiques
    N’ont plus de secrets
    Dans sa mémoire, ils sont gravés

    La paix
    Continue de se propager
    Hommes Bleus et Eldorians
    Allez, nains, tous en rangs !
    Les trois peuples s’allient
    Le Conseil des Rois se réunit

    Parti en mission
    Fingel ne tourne pas en rond
    Il est capturé
    La tête haute, le corps dressé
    Les Elfes ne sont pas de miel
    Il rencontre Alganiel

    Près des étagères
    Fingel doucement digère
    Les vieux chants
    Des êtres d’antan
    Arrive la Fête de la Nouvelle Saison
    Il n’a pas oublié Thylion

    Sort tes lames
    Sèche tes larmes
    Beau Fingel !
    Sauve Alganiel
    Enur s’interposa
    Fin de l’attentat

    Le coup est marqué
    La paix est scellée
    Elfes et Nains
    Se serrent la main
    Les Elfes sont en entente
    Avec l’Alliance étincelante

    En voyage diplomatique
    Fingel traverse le pays aquatique
    Rencontrant Sauriens et Kultars
    Qui feront leurs entrées un peu plus tard
    Même promesse chez les D’jhis
    Par leur reine cette fois-ci

    Feux de joie au cœur de la capitale D’jhi
    Le doux Fingel et Sanai se marient
    Mais le guerrier repart
    Découvrir les Anciens, maîtres de leur art
    Il écoute la Prophétie
    Le Dieu de la Poigne est ici

    Il a trente-deux ans
    La guerre oppose Alliance et Sinans
    Les stratégies perfectionnées
    Font rugir de joie les alliés
    Quittez Trépont, chers Sinans
    Quittez ces terres, et en courant !

    Nouveau rôle de choix
    Au Conseil des Rois
    Luminea prend pied
    Avec son temple consacré
    A la Prompte Poigne
    Où chantent les moines

    Deux rivaux
    Entrent et s’allient au même niveau
    Aquatiques Sauriens
    Qui ne valent pourtant rien
    Aux yeux des D’jhis
    A qui la paix sourie

    Ilith-Thyl
    N’est pas l’armure naine de thyl
    Mais c’est un massacre
    Le sang âcre
    Recouvre les terres sinans
    Mais la paix est offerte aux survivants

    Les Galdurs affrontent
    L’Alliance sans honte
    Le nécromant
    Est Sinan
    Les soldats sont perdus
    Fingel a disparu

    Sanai n'y croyait
    Fingel n’est pas décédé
    L’Alta Mundi part avec elle
    Chercher l’étincelle
    Libéré, les Galdurs sont écrasés
    Le pays est pacifié

    Fête organisée
    Pour les Galdurs et Sinans intégrés
    Et le beau Fingel
    Annonce la Paix Éternelle
    En chantant
    De sa voix d’or et d’argent

    Passe le temps
    La mort des gens
    Fait fredonner Fingel
    Et couler une larme éternelle
    Dans tes pensées tu les garderas
    Toujours, ils seront près de toi

    Mais tout à une fin
    Et le massacre reprit avec entrain
    La paix est finie
    La guerre déclarée a brisé les amis
    Mais il chante encore et toujours
    Dans les pâles lueurs du petit jour

    Avec Luminea éclatée
    Et son rêve émietté
    Fingel sort ses lames
    Pour détruire son âme
    Dans son ventre il les enterre
    Et il s’écroule par terre

    Les Landes ont pris leur revanche
    Sauvages et si franches
    Le corps est encore là
    Sur la terre en contre-bas
    Repose en paix, doux Fingel
    La belle étincelle
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J'attends des commentaires, si possible. Sinon, bah... tant pis ! :roll:
L'histoire décrite contient peut-être des erreurs : je me suis inspiré de l'historique Fingelien, dans la rubrique "Histoire" du site. Et cette ligne du temps contient déjà quelques erreurs...
Dernière modification par Azhar le 01 oct. 2006, 16:08, modifié 1 fois.

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Azhar
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Correction des fautes et rectification d'un vers.

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