AquA
Publié : 18 oct. 2006, 20:41
Assis dans une taverne, je regardais imperceptiblement une caraffe d'eau, quoi de plus naturel ! Mais ce jour là je pensais à autre chose que cette caraffe, je pensais à cette eau pure qui s'y trouvait... Observant les intempéries de dehors la taverne, j'eu l'inspiration et écrivis un poème.
Aqua,
Aqua, tu nous chantes ton ardeur,
Par tout temps tu es d'ampleur,
Quand Hiver arrive,
Sur les berges et sur les rives,
Tu résistes à la froideur,
Hiver ne te fait pas peur,
Quand Automne prend place,
Alors tu te débarrasse,
Du glas qui t'embarasse,
C'est alors que les feuilles vieillissent,
Epuisées par ta glace,
De suite, elles s'évanouissent,
Du haut de ta majestueuse demeure,
Tu aides les arbres à bourgeonner,
C'est alors que revient la chaleur,
Et soudain tu deviens vapeur,
Là-haut près du ciel,
Tu es glace éternelle,
Mais dans un lointain pays,
Tu es source de magie,
Printemps est parti,
Eté a repris,
Tu es un élément vital,
Sans toi nous serions pâles,
Malgré ton dur labeur,
Tu ne peux pas arrêter l' heure,
Le Cycle est reparti,
De plus belle, et à l'infini.
Le temps étant au beau fixe, je posais mon stylet, payais le tavernier et rentrais chez moi. Je me posais dans mon lit. Soudain il y eut la pluie, c'est alors que je m'endormis.
Aqua,
Aqua, tu nous chantes ton ardeur,
Par tout temps tu es d'ampleur,
Quand Hiver arrive,
Sur les berges et sur les rives,
Tu résistes à la froideur,
Hiver ne te fait pas peur,
Quand Automne prend place,
Alors tu te débarrasse,
Du glas qui t'embarasse,
C'est alors que les feuilles vieillissent,
Epuisées par ta glace,
De suite, elles s'évanouissent,
Du haut de ta majestueuse demeure,
Tu aides les arbres à bourgeonner,
C'est alors que revient la chaleur,
Et soudain tu deviens vapeur,
Là-haut près du ciel,
Tu es glace éternelle,
Mais dans un lointain pays,
Tu es source de magie,
Printemps est parti,
Eté a repris,
Tu es un élément vital,
Sans toi nous serions pâles,
Malgré ton dur labeur,
Tu ne peux pas arrêter l' heure,
Le Cycle est reparti,
De plus belle, et à l'infini.
Le temps étant au beau fixe, je posais mon stylet, payais le tavernier et rentrais chez moi. Je me posais dans mon lit. Soudain il y eut la pluie, c'est alors que je m'endormis.