Mon coeur ouvert pour toi
Publié : 19 oct. 2006, 15:45
Si j'aime en certains cas décrire l'état d'esprit qui me fit écrire les vers sortis d'histoires vécues, entendues ou simplement de mon esprit tordu au beau millieu du désert ou même proche d'une falaise, aujourd'hui je me passerai d'expliquer ces quelques vers jettés tel quel sur ce parchemin sans réfléchir laissant ma main de mon coeur s'inspirer.
A toi qui te reconnaîtra, ma muse.
Oh Toi qui fut si longtemps muette,
Toi souffle de ma vie tel une fête,
Toi qui chaque jours envie donnée,
De toujours beaucoup plus loin aller.
Ta douceur, mon réconfort apporté,
Ta volonté et force sur la vie propulsée,
Sans toi, plus rien à jamais je ne ferais,
Par Toi et pour Toi au firmament s’élever.
La lune douce au milieu de nuits étoilées,
Havre de paix au milieu de guerres acharnées,
Ondine bleue au milieu de mers déchaînées,
A jamais la muse de mes histoires contées.
Esprit si vif, tel une lame trempée et affûtée,
Corps parfait que mes mains aiment à dessiner,
Tendresse, douceur, sensualité tel pétales de rose,
Glaciale, cruelle, sans pitié quand trahie par qui ose.
En ce jour à mes yeux plus que tout autre parfait,
J’ose et espère enfin par ses vers ce sujet aborder,
Tel un profane devant un trésor aussi sacré,
A genoux d’une voix tremblante, ta main demander.
A toi qui te reconnaîtra, ma muse.
Oh Toi qui fut si longtemps muette,
Toi souffle de ma vie tel une fête,
Toi qui chaque jours envie donnée,
De toujours beaucoup plus loin aller.
Ta douceur, mon réconfort apporté,
Ta volonté et force sur la vie propulsée,
Sans toi, plus rien à jamais je ne ferais,
Par Toi et pour Toi au firmament s’élever.
La lune douce au milieu de nuits étoilées,
Havre de paix au milieu de guerres acharnées,
Ondine bleue au milieu de mers déchaînées,
A jamais la muse de mes histoires contées.
Esprit si vif, tel une lame trempée et affûtée,
Corps parfait que mes mains aiment à dessiner,
Tendresse, douceur, sensualité tel pétales de rose,
Glaciale, cruelle, sans pitié quand trahie par qui ose.
En ce jour à mes yeux plus que tout autre parfait,
J’ose et espère enfin par ses vers ce sujet aborder,
Tel un profane devant un trésor aussi sacré,
A genoux d’une voix tremblante, ta main demander.