Mort d une pricesse...
Publié : 19 juin 2007, 11:45
Dans le firmament
Brille une étoile
Périodiquement
Dans le grand océan
S'agite une voile
Indéfiniment
Clin d'œil d'une princesse
Aux funestes amants
Morte avec tristesse
Au décours des ans
Espoir d'une vie
Si tôt anéantie
Née un jour pluvieux
Sourire radieux
Morte incidemment
Ultime châtiment
Elle avait chanté
L'hymne des cieux
A ceux qu'elle avait
Pris pour des Dieux
Elle avait parcouru
Toutes les montagnes
Elle y avait même bu
Un peu de champagne
Elle avait navigué
Sur toutes les mers
Elle avait nargué
L'impudent tonnerre
Les rochers l'avaient brisée
Les vagues l'avaient renversée
Toujours elle s'était relevée
Jamais elle n'avait abandonné
Un jour un dernier orage
Insaisissable mirage
Ultime grondement
Funèbre hurlement
jaillit inopinément
De sa tempête d'éclairs
Il foudroya la princesse
De son inutile colère
Il effaça toute tendresse
Ne reste de cet astre
Illusoire scintillement
Que l'heure du désastre
Princesse étourdie de tourment
Ne reste de cette voile
Que le parfum du vent
Qui imprime la toile
Pour se croire vivant
Brille une étoile
Périodiquement
Dans le grand océan
S'agite une voile
Indéfiniment
Clin d'œil d'une princesse
Aux funestes amants
Morte avec tristesse
Au décours des ans
Espoir d'une vie
Si tôt anéantie
Née un jour pluvieux
Sourire radieux
Morte incidemment
Ultime châtiment
Elle avait chanté
L'hymne des cieux
A ceux qu'elle avait
Pris pour des Dieux
Elle avait parcouru
Toutes les montagnes
Elle y avait même bu
Un peu de champagne
Elle avait navigué
Sur toutes les mers
Elle avait nargué
L'impudent tonnerre
Les rochers l'avaient brisée
Les vagues l'avaient renversée
Toujours elle s'était relevée
Jamais elle n'avait abandonné
Un jour un dernier orage
Insaisissable mirage
Ultime grondement
Funèbre hurlement
jaillit inopinément
De sa tempête d'éclairs
Il foudroya la princesse
De son inutile colère
Il effaça toute tendresse
Ne reste de cet astre
Illusoire scintillement
Que l'heure du désastre
Princesse étourdie de tourment
Ne reste de cette voile
Que le parfum du vent
Qui imprime la toile
Pour se croire vivant