Ode à Seridia

[Grossbouff]

Seridia vaste contrée
de montagnes et vallées

Par le trépont je vins
Petit ile perdue
c'est là que je vécus
Et poursuivis mon chemin

A Pierre Blanche arrivé
Dans la ville installé
De maisons jolies
Et d'allées fleuries

Nord-Thyl la sombre
Aux nains acquise
Fortes murailles grises
Qui étendent leurs ombres

Tarsengaard la belle
Que bâtit Fingel
Le chateau domine
Cette terre divine

Illumen et la mer
Son gardien Molgor
Et sa mine d'or
Au centre la rivière

Kilaran la dangereuse
A la terre poudreuse
Résonne du fracas
de violents combats

Starenlith la douce
Sa vaste pinède
Ses nombreuses bêtes
Ses falaises rouges

Taharaji brûlée
Cette arride contrée
n'offre aucun répis
Aux plus endurcis

La cité du port
Une fois son goblin occis
Oublie ses soucis
Et puis se rendort

Morcraven la noire
Ne laisse guère d'espoir
Au jeune aventurier
qui s'est égaré

Naralik l'insoumise
Serpents et goblins
Et autres vilains
Dessus ont la mainmise

Zork'len terre australe
Personne ne s'y installe
Le cyclope est là
Il ne te ratera pas



Grossbouff/Stephane