Tes mots sont cloportes Nombreux et sans âme
Rampant en cohorte, boiteux et sans charme
Assaillent la grenouille qui sur sa feuille repose
Mitraillent de mauvaise foi le sinan, si ! il ose !
Ils tentent leur approche, mais tombent dans l'étang
Et flottent sur le dos, leurs petites pattes s'agitant
Les voilà qui se noient, trop pressés et confiants
Te voilà qui aboit, humilié et rageant.
Lettre au poète.
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Lettre au poète.
On ne fait pas d'omelette sans coder les oeufs.