Ode au féminisme
Publié : 30 sept. 2007, 14:12
Homme, d'où te viens cette faiblesse qui te fait tant défaut,
Qu'au dessous de mes caresses, ton corps devienne si chaud,
Tu es pourtant de glace, lorsque, face aux Landes tu ténerves,
Mais jamais ne m'agace, d'une voix emplie de colère,
Si puissant que tu sois, tu tomberas à mes pieds,
Car encore face à moi, tu ne pourras gagner,
Je te le rappellerais de ma voix féminine,
Tu ne saurais contester cette beauté divine,
Homme, je le crois, tu es bien faibe en vérité,
Qu'ouïs-je, ton coeur se range à mes côtés?
Sous tes airs d'homme, qui combat tel une brute,
Se cache un faible corps, qui ne peut mener sa lutte,
Car comme une pierre qui d'un éclat se brise,
Tu rougis violemment, sous le couvert de ma bise,
Oh! Homme range toi donc à mes côtés,
Et alors, tu verras, que je pourrais t'aimer
Qu'au dessous de mes caresses, ton corps devienne si chaud,
Tu es pourtant de glace, lorsque, face aux Landes tu ténerves,
Mais jamais ne m'agace, d'une voix emplie de colère,
Si puissant que tu sois, tu tomberas à mes pieds,
Car encore face à moi, tu ne pourras gagner,
Je te le rappellerais de ma voix féminine,
Tu ne saurais contester cette beauté divine,
Homme, je le crois, tu es bien faibe en vérité,
Qu'ouïs-je, ton coeur se range à mes côtés?
Sous tes airs d'homme, qui combat tel une brute,
Se cache un faible corps, qui ne peut mener sa lutte,
Car comme une pierre qui d'un éclat se brise,
Tu rougis violemment, sous le couvert de ma bise,
Oh! Homme range toi donc à mes côtés,
Et alors, tu verras, que je pourrais t'aimer