Le gueux
Publié : 03 déc. 2007, 19:33
Coeur désillusionné, noyé de solitude,
Le gueux se morfond là, au plus profond de lui,
Il se retourne encore rongé par l'inquiétude,
Pourrit en son esprit, la peur de l'ennemi,
Ne le regarde jamais, il pourrait te tuer,
De ses regards de gueux, il aimerait te détruire!
Car si on le laisse seul, il ne saurait nous nuire,
Et nous débarassera, de son visage si laid!
Il ne plait à personne, et l'on préfèrerait,
Qu'il nous laisse tous ensemble, sans vouloir s'introduire,
Dans notre cercle paisible, on irait tous s'enfuir,
Pour échapper encore à sa gueule balafrée!
Brulons le plutôt là, pour bannir à jamais,
De ce monde "tolérant", ce "bel homme" inutile,
Ses pustules disparaissent, sous les feux du décès!
Réjouissons-en nous donc de ce bohneur futile...
Le gueux se morfond là, au plus profond de lui,
Il se retourne encore rongé par l'inquiétude,
Pourrit en son esprit, la peur de l'ennemi,
Ne le regarde jamais, il pourrait te tuer,
De ses regards de gueux, il aimerait te détruire!
Car si on le laisse seul, il ne saurait nous nuire,
Et nous débarassera, de son visage si laid!
Il ne plait à personne, et l'on préfèrerait,
Qu'il nous laisse tous ensemble, sans vouloir s'introduire,
Dans notre cercle paisible, on irait tous s'enfuir,
Pour échapper encore à sa gueule balafrée!
Brulons le plutôt là, pour bannir à jamais,
De ce monde "tolérant", ce "bel homme" inutile,
Ses pustules disparaissent, sous les feux du décès!
Réjouissons-en nous donc de ce bohneur futile...