Les Eldorians
Publié : 26 janv. 2020, 20:16
Les Nians sont le peuple humain arrivé autrefois dans les Landes Eternelles.
En des temps immémoriaux, très loin des Landes, il exista un royaume Nian. Quand ce royaume fut détruit par une guerre civile, un large groupe de Nians s'exila et trouva finalement refuge dans les Landes Eternelles. Ils se séparèrent cependant très vite en deux royaumes antagonistes, à l'origine des deux peuples humains actuels : les Eldorians et les Sinans.
Notez que feu le sinistre Nevros, plus connu sous le nom de Vereux, est lui aussi un Nian. Mais il est arrivé dans les Landes seul, indépendamment des autres humains. Il n'est donc ni Eldorian ni Sinan.

Taille moyenne : 1,75 m.
Espérance de vie : 70 fingeliens.
Aptitudes traditionnelles : courage, discipline, vanité.
Religion : monothéisme à tendance intégriste.
Relations amicales : D’jhis.
Relations neutres : Haut-Elfes, Nains.
Relations tendues : Elfes Noirs, Galdurs, Hommes Bleus, Kultars, Sauriens, Sinans.
Bonus de peuple :
Un personnage Eldorian débute le jeu avec le rang Initié dans les nexus Combat, Artisanat et Fabrication.
Les Eldorians sont légèrement plus grands que les Hommes Bleus et à peine plus petits que les Elfes. Leur longévité est médiocre, dépassant rarement soixante-dix fingeliens, quoique leur constitution physique demeure très convenable. Ils ont le regard bleu ou marron et sont attentifs à l'apparence qu'ils se donnent. Les cheveux sont soigneusement coiffés, les barbes parfaitement taillées. Les vêtements sont simples, couvrant le corps élégamment et sans entraver les mouvements. Les bijoux sont rares et discrets, les bandeaux leur sont préférés. Les humains portent souvent une épée sur le flanc ou une dague à la ceinture. À la bataille, ils revêtent des armures plutôt légères mais efficaces, qui couvrent la tête, le torse ainsi que les articulations tout en se protégeant avec des boucliers d'acier. Une fois bien équipés et mis en confiance, ils se lancent volontiers à l'aventure pour gagner richesse et renommée, pour étendre leur influence et imposer leurs certitudes.
Vivant dans une plaine clémente et fertile, les Eldorians se sentent en permanence assiégés par leurs ennemis : les Sinans au sud, les Galdurs à l'est et au nord. Ils se sont donc doublement adaptés, en améliorant sensiblement la productivité de leurs cultures et en disciplinant rigoureusement leurs armées. Grâce à ces points forts, les hommes ont développé leurs villes et, après la colère des Landes agrandissant la mer intérieure, ouvert des ports. L'horizon maritime inédit a soudainement garanti la continuité des relations diplomatiques malgré l'encerclement adverse, favorisé le négoce avec des régions lointaines, permis de surprenantes et fructueuses explorations. Elouin, vaillant capitaine à la nature autant curieuse qu'audacieuse, a profité en son temps de l'aménagement d'un tel site au bord de l'eau pour lancer sa compagnie à la conquête du promontoire séridien. Les cités du domaine herbeux sont généralement bâties selon un plan aux contours réguliers et aux agencements logiques. Les quartiers combinent des maisons résidentielles à plusieurs pièces, des jardins et des puits, des bâtiments collectifs pour l'administration et les cultes, des tours hautes et rondes pour l'entreposage, la surveillance et la défense. Les édifices sont propres, clairs et aérés grâce aux grandes fenêtres et aux vitraux qui découpent leurs murs. Les rues sont larges, pavées et entretenues, permettant une circulation aisée des marchandises et des troupes. L'ensemble urbain, ceint d'une impressionnante muraille, interrompue seulement par de lourdes et solides portes de bois massif, supporte aisément les tentatives d'assaut.
Un roi et sa reine règnent sur le peuple, aidés de conseillers choisis parmi les plus compétents dans leurs domaines. La succession n'est pas dynastique, mais élève à la dignité suprême le meilleur parmi ses pairs siégeant à la Cour. Des vassaux tiennent des fiefs et rendent compte de leurs actions au suzerain. Aux frontières, des gouverneurs militaires, commandant des garnisons toujours sur le qui-vive, gardent les contrées vulnérables en même temps qu'ils verrouillent les principaux couloirs d'accès. Dans les villes, des bourgmestres sont désignés par les résidents pour gérer les affaires municipales. Dans les tribunaux, des juges réceptionnent les plaintes et font partout respecter les lois. L'ordre, la paix et la justice sont les maîtres mots proclamée par une civilisation qui se rêve comme le flambeau du monde. Hélas, les envolées lyriques d'antan n'impressionnent plus grand monde sur le continent. La méfiance chronique des humains envers les autres peuples et l'inconstance diplomatique qui en découle a singulièrement terni l'éclat du pays aux champs fleuris. Mais ni les aléas de l'Histoire ni les critiques des races alentours n'ébranlent la suffisance eldoriane.
Malgré l'aspect rangé de leur existence, les Eldorians aiment les plaisirs que procure la vie. Ils apprécient les foires et les banquets, la musique, la danse et la poésie. Les jeunes gens s'adonnent volontiers aux joies de la séduction et aux délices de l'amour, bien que leurs aînés réprouvent des mœurs si légères. Lorsque l'apprentissage d'un métier ou d'un art se termine, que la formation militaire est achevée, il est temps pour le jeune adulte de penser à se marier et à fonder une famille. Défendre sa terre et son roi, perpétuer sa lignée et honorer ses aïeux, vivre honorablement de ses talents comptent parmi les devoirs sacrés qui sont inculqués aux gens des verts vallons pour que partout rayonne leur culture et leur foi. Les Eldorians croient en une puissance supérieure unique, source du monde et guide des vivants. Ils sont persuadés d'entretenir avec elle une relation spéciale à laquelle aucun autre peuple ne peut prétendre. Le culte du seul dieu régissait, jusqu'à la révélation de la Prompte et Forte Poigne par Fingel, tous les champs de l'activité humaine. Lorsqu'un fanatique nommé Tallikion manipula le monothéisme importé par le divin héros pour exécuter ses noirs desseins, premier pas vers le grand cataclysme des Landes, les hommes déçus retournèrent à leur religion traditionnelle. Écartés de la vie publique depuis cet épisode fondamentaliste, les prêtres se consacrent désormais essentiellement aux offices quotidiens et aux cérémonies commémorant les diverses étapes de l'existence. Selon la croyance communément répandue, l'âme choisit librement sa voie sans devoir craindre la colère d'en-haut. Car quelle que fut sa route avant le trépas, elle sera préservée de la destruction et rejoindra un monde bienheureux où le créateur de l'univers se dévoilera dans toute sa gloire.
La vérité oblige à dire que Les Eldorians n'aiment guère les étrangers et détestent franchement leurs voisins. Ils entretiennent certes des rapports étroits avec les Dj'his, dont les femmes reçoivent chaleureusement les ambassadeurs humains. Ils sont aussi raisonnablement attentifs à ne pas déplaire aux Haut-Elfes ni aux Nains, bien qu'ils éprouvent peu d'affection pour eux. Altiers et rancuniers, les Eldorians se sont finalement brouillés avec les autres nations. Les Eldorians jalousent les Hommes Bleus, la haute spiritualité de leurs chants, leurs pouvoirs télépathiques et magiques, la grâce de leurs gestes. Ils craignent les sortilèges des Kultars et exècrent l'indécision des Sauriens, ils méprisent la frêle constitution de ces gens ainsi que l'habitat humide et à leurs yeux improductif où ils demeurent. Ils maudissent les Elfes Noirs, se souvenant amèrement de leur matrone Gaed'estr qui tenta de prendre Séridia aux Landes et à Elouin. Ils abhorrent enfin, plus que tout autre peuple, les Sinans et leurs alliés galdurs, guerroyant en permanence contre eux.
'un des plus anciens récits connus rédigé par un Eldorian
Religion Eldoriane
En des temps immémoriaux, très loin des Landes, il exista un royaume Nian. Quand ce royaume fut détruit par une guerre civile, un large groupe de Nians s'exila et trouva finalement refuge dans les Landes Eternelles. Ils se séparèrent cependant très vite en deux royaumes antagonistes, à l'origine des deux peuples humains actuels : les Eldorians et les Sinans.
Notez que feu le sinistre Nevros, plus connu sous le nom de Vereux, est lui aussi un Nian. Mais il est arrivé dans les Landes seul, indépendamment des autres humains. Il n'est donc ni Eldorian ni Sinan.

Taille moyenne : 1,75 m.
Espérance de vie : 70 fingeliens.
Aptitudes traditionnelles : courage, discipline, vanité.
Religion : monothéisme à tendance intégriste.
Relations amicales : D’jhis.
Relations neutres : Haut-Elfes, Nains.
Relations tendues : Elfes Noirs, Galdurs, Hommes Bleus, Kultars, Sauriens, Sinans.
Bonus de peuple :
Un personnage Eldorian débute le jeu avec le rang Initié dans les nexus Combat, Artisanat et Fabrication.
Les Eldorians sont légèrement plus grands que les Hommes Bleus et à peine plus petits que les Elfes. Leur longévité est médiocre, dépassant rarement soixante-dix fingeliens, quoique leur constitution physique demeure très convenable. Ils ont le regard bleu ou marron et sont attentifs à l'apparence qu'ils se donnent. Les cheveux sont soigneusement coiffés, les barbes parfaitement taillées. Les vêtements sont simples, couvrant le corps élégamment et sans entraver les mouvements. Les bijoux sont rares et discrets, les bandeaux leur sont préférés. Les humains portent souvent une épée sur le flanc ou une dague à la ceinture. À la bataille, ils revêtent des armures plutôt légères mais efficaces, qui couvrent la tête, le torse ainsi que les articulations tout en se protégeant avec des boucliers d'acier. Une fois bien équipés et mis en confiance, ils se lancent volontiers à l'aventure pour gagner richesse et renommée, pour étendre leur influence et imposer leurs certitudes.
Vivant dans une plaine clémente et fertile, les Eldorians se sentent en permanence assiégés par leurs ennemis : les Sinans au sud, les Galdurs à l'est et au nord. Ils se sont donc doublement adaptés, en améliorant sensiblement la productivité de leurs cultures et en disciplinant rigoureusement leurs armées. Grâce à ces points forts, les hommes ont développé leurs villes et, après la colère des Landes agrandissant la mer intérieure, ouvert des ports. L'horizon maritime inédit a soudainement garanti la continuité des relations diplomatiques malgré l'encerclement adverse, favorisé le négoce avec des régions lointaines, permis de surprenantes et fructueuses explorations. Elouin, vaillant capitaine à la nature autant curieuse qu'audacieuse, a profité en son temps de l'aménagement d'un tel site au bord de l'eau pour lancer sa compagnie à la conquête du promontoire séridien. Les cités du domaine herbeux sont généralement bâties selon un plan aux contours réguliers et aux agencements logiques. Les quartiers combinent des maisons résidentielles à plusieurs pièces, des jardins et des puits, des bâtiments collectifs pour l'administration et les cultes, des tours hautes et rondes pour l'entreposage, la surveillance et la défense. Les édifices sont propres, clairs et aérés grâce aux grandes fenêtres et aux vitraux qui découpent leurs murs. Les rues sont larges, pavées et entretenues, permettant une circulation aisée des marchandises et des troupes. L'ensemble urbain, ceint d'une impressionnante muraille, interrompue seulement par de lourdes et solides portes de bois massif, supporte aisément les tentatives d'assaut.
Un roi et sa reine règnent sur le peuple, aidés de conseillers choisis parmi les plus compétents dans leurs domaines. La succession n'est pas dynastique, mais élève à la dignité suprême le meilleur parmi ses pairs siégeant à la Cour. Des vassaux tiennent des fiefs et rendent compte de leurs actions au suzerain. Aux frontières, des gouverneurs militaires, commandant des garnisons toujours sur le qui-vive, gardent les contrées vulnérables en même temps qu'ils verrouillent les principaux couloirs d'accès. Dans les villes, des bourgmestres sont désignés par les résidents pour gérer les affaires municipales. Dans les tribunaux, des juges réceptionnent les plaintes et font partout respecter les lois. L'ordre, la paix et la justice sont les maîtres mots proclamée par une civilisation qui se rêve comme le flambeau du monde. Hélas, les envolées lyriques d'antan n'impressionnent plus grand monde sur le continent. La méfiance chronique des humains envers les autres peuples et l'inconstance diplomatique qui en découle a singulièrement terni l'éclat du pays aux champs fleuris. Mais ni les aléas de l'Histoire ni les critiques des races alentours n'ébranlent la suffisance eldoriane.
Malgré l'aspect rangé de leur existence, les Eldorians aiment les plaisirs que procure la vie. Ils apprécient les foires et les banquets, la musique, la danse et la poésie. Les jeunes gens s'adonnent volontiers aux joies de la séduction et aux délices de l'amour, bien que leurs aînés réprouvent des mœurs si légères. Lorsque l'apprentissage d'un métier ou d'un art se termine, que la formation militaire est achevée, il est temps pour le jeune adulte de penser à se marier et à fonder une famille. Défendre sa terre et son roi, perpétuer sa lignée et honorer ses aïeux, vivre honorablement de ses talents comptent parmi les devoirs sacrés qui sont inculqués aux gens des verts vallons pour que partout rayonne leur culture et leur foi. Les Eldorians croient en une puissance supérieure unique, source du monde et guide des vivants. Ils sont persuadés d'entretenir avec elle une relation spéciale à laquelle aucun autre peuple ne peut prétendre. Le culte du seul dieu régissait, jusqu'à la révélation de la Prompte et Forte Poigne par Fingel, tous les champs de l'activité humaine. Lorsqu'un fanatique nommé Tallikion manipula le monothéisme importé par le divin héros pour exécuter ses noirs desseins, premier pas vers le grand cataclysme des Landes, les hommes déçus retournèrent à leur religion traditionnelle. Écartés de la vie publique depuis cet épisode fondamentaliste, les prêtres se consacrent désormais essentiellement aux offices quotidiens et aux cérémonies commémorant les diverses étapes de l'existence. Selon la croyance communément répandue, l'âme choisit librement sa voie sans devoir craindre la colère d'en-haut. Car quelle que fut sa route avant le trépas, elle sera préservée de la destruction et rejoindra un monde bienheureux où le créateur de l'univers se dévoilera dans toute sa gloire.
La vérité oblige à dire que Les Eldorians n'aiment guère les étrangers et détestent franchement leurs voisins. Ils entretiennent certes des rapports étroits avec les Dj'his, dont les femmes reçoivent chaleureusement les ambassadeurs humains. Ils sont aussi raisonnablement attentifs à ne pas déplaire aux Haut-Elfes ni aux Nains, bien qu'ils éprouvent peu d'affection pour eux. Altiers et rancuniers, les Eldorians se sont finalement brouillés avec les autres nations. Les Eldorians jalousent les Hommes Bleus, la haute spiritualité de leurs chants, leurs pouvoirs télépathiques et magiques, la grâce de leurs gestes. Ils craignent les sortilèges des Kultars et exècrent l'indécision des Sauriens, ils méprisent la frêle constitution de ces gens ainsi que l'habitat humide et à leurs yeux improductif où ils demeurent. Ils maudissent les Elfes Noirs, se souvenant amèrement de leur matrone Gaed'estr qui tenta de prendre Séridia aux Landes et à Elouin. Ils abhorrent enfin, plus que tout autre peuple, les Sinans et leurs alliés galdurs, guerroyant en permanence contre eux.
'un des plus anciens récits connus rédigé par un Eldorian
Religion Eldoriane