Réveillez-vous !

[bardur]

Ce n'était pas une période agréable pour Bardur. Son caractère de Sinan l'avait placé maintes fois dans des situations désagréables. Son travail ne lui rapportait rien, son entrainement n'avançait plus, et il n'avait plus rien à offrir à ses amis. Profitant du fait que son expédition Irilionnaise lui ait rapporté quelques lumens - en effet, il avait déniché quelques remarquables pierres précieuses - il retourne donc à la Taverne. Pour cause de famine, celle d'Oana était fermée! Plus d'Ours à la bière. Avant de pousser la porte, il envoya une petite pensée à Hamal, le suppliant d'avoir épargné un tonnelet de bière pour son usage personnel. Et il entra.

La situation n'avait guère changé. Disons même qu'elle s'était empirée. Le Mineur ne voyait pas comment il pouvait améliorer les choses. Alors, feignant de ne rien voir, il se dirigea vers le comptoir. Dans son dos, apparurent soudain de nombreux Elfes. Les MAGES devina t il. Bien que la Magie aie des effets indésirables chez les Nains, comme le fait de faire friser leur barbe, cela n'empêchait pas Bardur de l'apprécier. Un sourire amusé se dessina sur son visage. Il semblait s'amuser pleinement de la situation, qui virait au rocambolesque.

D'un côté, la Garde, prête à tout pour remplir sa mission, quitte à massacrer quelques Aventuriers un peu trop proches. De l'autre, Lasud, et de très nombreux Aventuriers, certains les armes à la main, se disputaient l'honneur de défendre la Tavernière.

Ridicule agitation... Voyons, ne peut-on pas boire sa bière en paix? Évitons, en ces heures difficiles, de faire couler le sang.

Et s'adressant au chef de l'escouade. Si votre ton devient cordial, et que vos armes restent au fourreau, je ne vois pas pourquoi Reca ne vous suivrait pas calmement jusqu'à notre Seigneur. De plus, si vous l'acceptez, nous irons tous ensemble lui parler. Je pense qu'une saine et surtout calme discussion s'impose entre tous les protagonistes ici présent.

Puis, se retournant face aux Aventuriers réunis. Amis, faisons preuve de pacifisme. Je vous propose de ranger les armes, de calmer nos esprits, et de suivre Dame Reca. Nous veillerons sur elle, sans faire usage de nos armes, n'est-ce pas une preuve de sagesse?

Il ajouta quelques mots à la Tavernière. Ma Dame, je vous en conjure, suivez ces gardes. En outre l'intégrité de votre établissement, qui nous tient à coeur, c'est de vies Natives dont nous débattons à l'instant. Nous serons à vos côtés, par Hamal, nous n'allons pas abandonner une des meilleures Tavernières de ce Pays sans rouspéter!

Jetant sa pioche sur le sol, il parla d'une voix forte. J'accepte de me constituer prisonnier pour accompagner Dame Reca. Faites votre devoir Soldats, et faites honneur à votre uniforme!

[Selena]

C'est surement pas le Seigneur qui demanderait à ce qu'on fasse du mal à Reca ! C'est rien que du n'importe quoi ce qu'il a dit le gros tas plein de soupe. Si Reca part avec eux, Fingel seul sait si nous la reverrons un jour et dans quel état !

Selena halète, son ventre est tout noué par l'anxiété. Elle anticipe ce qui est tout prêt d'arriver : elle voit les chiens de l'armée fondre sur eux, et la défaite douloureuse, humiliante, et toutes les conséquences terribles que cela entraînerait.
Elle voudrait qu'ils partent. Elle voudrait tellement.

Alors elle s'accroche, et sa voix prend des accents qui se veulent menaçants, on perçoit pourtant derrière les tremolos de la peur.

Il faut obéir au plus gradé ici, et Sénéchal, votre loyauté envers Séridia n'est plus à prouver !
Alors je m'incline devant votre autorité, et je suis à vos services, tant que le Général ou notre Seigneur ne viendront pas donner un contre-ordre.

Allez contre les ordres de Dame Lasud, c'est se soulever contre ceux qu'elle représente !
Je sers Séridia et son Seigneur qui jamais ne permettrait l'injustice dont vous faites preuves, soldats.

Si vous nous brutaliser, si vous nous affronter, vous serez victorieux quelques heures peut-être. Quelques heures seulement avant que vos actes ne vous rattrappent.
La loi est faite pour tous, en outrepassant vos droits, vous finirez au fer, au cachot, à la torture que vous aimez tant infliger, ou pire encore... à la corde. Et là, croyez vous vraiment qu'il vous suffira de dire que vous avez reçu des ordres pour vous dédouaner ?
Croyez vous vraiment que celui qui vous a encouragé à ... ça

Elle arbore un air complètement dégoûté.

Vous couvrira encore, laissant ainsi éclater au grand jour sa vraie nature ?

Non.
Vous êtes seuls contre tous, vous le resterez.

...

Partez.

[Kargorm]

-Je rajoute au passage, que si il y a un combat...je me jette sur vous en premier sourit à l'officier
-A voir si vous survivez.

[Palladio]

Le vieux Sinan écoutait ce qui se passait depuis l'extérieur, s'étant promis de ne plus mettre les pieds dans cette taverne. Pourtant, vu la tournure des évènements, il décida d'entrer. Une fois a l'intérieur, il toise les gardes un a un, d'un air mauvais, puis rejoint les autres aventuriers en dégainant sa rapière de son fourreau.

-Vous êtes sur que vous êtes assez nombreux pour arrêter une tavernière désarmée ? Bande de lâches... Vous devriez avoir honte...

Tout en gardant les soldats en visu, il répond a Bardur.

-Le pacifisme ? Ces vauriens ne connaissent que le métal comme solution a tous les problèmes. Libre a eux de voir s'ils souhaitent croiser le fer avec nous !

Tandis que les mots de Kargorm lui arrachent un sourire en coin, il s'intéresse de nouveau aux soldats, la rapière pointée dans leur direction.

-Je doute que vous sortiez vivants d'un potentiel affrontement. Dégagez d'ici en vitesse...

[Ajh'Illya]

La danseuse sent que le pacifisme n'aura pas forcément raison des gardes. elle sourit toujours, semblant toujours aussi calme et continuant de laisser un chant apaisant monter dans la taverne, même si elle sent que c'est inutile. Un regard à Palladio qui arrive la rassure un peu, ou l'inquiète encore plus, allez savoir, toujours est-il qu'elle reste entre les aventuriers entourant Réca et la patrouille encadrant le garde zélé.

[kely]

*Commence à être rassuré par le monde qui arrive.
Reste au côté de Kargorm, bien décidé à prêter mains fortes si besoin est.*

[Fluette]

*Fluette analyse la situation, dans une bonne grosse baston d'taverne faut bien choisir son camps! Fluette regarde à sa droite un groupe bizarre*
Bah! *regarde les Elfes avec leurs batons* Trop de mauviettes!

*La galdure détourne son regarde vers le groupe de soldat*
Grouwaaa! Voila ça être bon groupe pour baston!

*Fluette rejoint les soldats.......et s'exclama en direction des Mauviettes*
Ca va être bonne Tatane d'Elfes! Grouwahahahah! *sort son os!*

[Goer]

Sans réfléchir plus avant, Goer décroche sa bourse et la lance à Reca, saute par-dessus le comptoir et attrape d'une main une formidable broche sur laquelle rôtissent quelques cuissôts d'ours au miel, la plante au sol puis se saisit d'un tonneau qu'il pose sur le comptoir. Une seconde d'hésitation, il regarde Reca, sa bourse, et saisit un second tonneau.
Son coeur battant à tout rompre, il resaute le comptoir et, son tonneau sous le bras, s'approche vivement de la plantureuse Galdure :
"Ch'waark, Skold Fluette. Je n'avais pas encore pris le temps de vous rencontrer mais je crois que cette occasion est venue."

Se retournant rapidement, il embrasse le second tonneau et pose les deux avec fracas sur une table proche de la Skold, en débonde un qu'il garnit d'une canne biseautée, puis après un vif aller-retour il plante la broche aux cuissôts d'ours dans le bois d'un banc. Alors, dans un hurlement convivial : "À table ! C'est ma tournée !" il tend le tonneau à Fluette.

[Selena]

Non mais Fluette....

Selena, blasée, couvre quelques secondes ses yeux de sa main libre.

Si tu veux juste de la baston, range toi au moins du côté de tes alliés nains.

[Fluette]

Bah! Bleussienne! Ca être l'jeu "baston taverne", toi pas connaitre?! Bleussienne avoir choisi équipe, Fluette avoir choisi L'autre! Ma pas en vouloir Fluette hein, après jeux nous tous bien rigolade et bien manger!

*Fluette est interpelée par Goer*

Ch'waaark l'mauviette des livres! Fluette manger après l'baston!

*S'adresse aux Soldats*
Bon ça commence?!

[kely]

*regarde abasourdi la Skold se ranger du côté des gardes*

"Euh ... ce n'est pas un jeu ! La dernière fois qu'ils ont fait une arrestation arbitraire de ce type c'était pour Roen Menath. Il nous a fallu du temps pour faire entendre raison et confondre un capitaine qui n'agissait plus sous les ordres de qui que ce soit. C'est peut être encore le cas ce coup ci.
Et tout cela a provoqué la mort d'un garde ! Si cela est un jeu pour certains aventuriers, il en est autre pour les natifs ne l'oublions pas !"

*Espère que Fluette sera sensible à cet argument*

[Salilalulla]

De mieux en mieux *fixe du regard la galdure*,
bon sac à puces tu retourne auprès des bleusiennes et si tu reste sage tu auras un os à ronger.
Non mais suffit, vous vous croyez à la foire ou quoi?! *regardant Goer cette fois*

*regarde son sac plein d'essences en tout genre*
Hum.... Hey ! la bleusienne attrape *lance quelques essences à Selena*
et va pas croire que l'on est amie maintenant hein ?

[Selena]

Selena encore surprise par la réaction de Fluette, approuve vigoureusement de la tête les propos de Kely quand une chose molle et brune, le cuir d'une bourse pleine à craquer, mais de quoi ? la heurte en pleine poitrine. En tout cas, l'expéditrice ne passe pas inaperçue, et si le geste pourrait être empreint de gentillesse... les paroles elles le sont moins.

Est-ce que c'est le moment de jeter ton mépris fielleux à la face du monde, la noireaude ? Ca te ferait si mal que ça aux oreilles d'être bienveillante sans faire mime de détester ça.

Pfff.

Merci quand même, bêch....!

Une idée lumineuse vient à l'esprit de Selena.
Elle montre du doigt sa bienfaitrice et lance à Fluette, bien fort :

Ca c'est bonne nelfe pour taper, coriace, bonne adversaire.

Espérant ainsi que la galdure trouve une occupation annexe que de détruire les rangs déjà pas bien garnis des défenseurs de Reca.

[loumea]

L'elfette, de passage en Séridia, traverse Trépont à pas furtifs, de petites pierres rondes dans une main, une fronde de cuir dans l'autre. Elle avise un lapin gros et gras, trop occupé à se dorer au soleil pour remarquer la chasseuse, qui vise soigneusement. "tac !"
héhé, je m'améliore ! En voilà un qui accompagnera avantageusement mes myrtilles !
Elle s'avance pour ramasser le petit corps encore chaud, et entend alors le tumulte en provenance de l'auberge. hum... qu'est ce que c'est que ça encore ?
Elle pousse discrètement la porte entre-baillée et écarquille les yeux devant la situation inattendue : Goer qui semble vouloir faire un pique nique, le Sénéchal Lasud, l'air très remontée, un tas d'aventuriers dressé aux côtés de Reca, parmi lesquels elle reconnait le manteau poilu de sa marraine -elle range alors, par réflexe, le cadavre du lapin dans sa besace-, et surtout une horde de gardes à l'air rien moins qu'amène, accompagnée d'une Galdure brandissant son os à tout va.

"Non mais.. Qu'est ce qu'il se passe ici ?"

N'attendant pas vraiment de réponse, et voyant que Sidwell est déjà bien entourée, elle pose doucement sa main sur le bras d'un des soldats de dos qui lui barre le passage, et prononce d'une voix claire, assortie de ses plus belles fossettes "Excusez moi, messire". Elle profite alors de l'hésitation du soldat qui lui répond d'un sourire niais pour rejoindre le Sinan jusqu'au comptoir, et se place d'un air faussement nonchalant du côté de l'œil borgne de Palladio. Elle sort alors une poignée de myrtilles de son sac et les mange tranquillement, dégageant au passage la garde ouvragée du cimeterre qu'elle porte à la ceinture.

[touc]

Toucan qui faisait également un passage par Trépont et tout le monde sait que pour un vieil elfe comme lui, on ne fait plus que passer à Trépont pour voir ce cher Esprit "es-tu la?" bref passons....

Toucan donc, voit des va et vient provenant de la Taverne et bien entendu s'approche par curiosité discrétement. En poussant la porte, celle-ci ne s'ouvre pas, surement à cause du monde à l'intérieur croit-il, enfin rien est sur en fait, et regarde donc par la fenêtre.... Lorsqu'il aperçoit Loumea, Kely, Sid et tous les autres ainsi que cette vilaine galdure bête comme ses pieds, mais également plein de gardes. Il se dit : "hmmm vaut mieux pas s'en meler on sait pas ce qu'il peut arriver...." Il se recoiffe, rajuste ses habits et s'en va en direction du port.

[atwenas]

Atwenas, arrivé récemment à Trépont, sortait juste d'un court séjour en Achéron. Il espérait pouvoir vendre quelques légumes à Reca, et ainsi améliorer son équipement sommaire. Absorbé par ses pensées, il n'avait pas perçu le brouhaha qui émanait de la taverne. Il fit une entrée... remarquée, à moitié en guenilles, une branche accrochée à sa ceinture pour toute arme, les bras chargé de sa récolte masquant son visage il referma la porte d'un coup de bassin.
Intrigué de ne pas entendre l'une des boutades des habitués du lieu ( vous savez, du genre "Whoa t'as une sale tête... t'as marché sur la queue d'un castor et il s'est fâché ?"... le genre de plaisanteries auxquelles ont droit tous les nouveaux...), il posa son sac à terre pour en comprendre la raison.

[Lasud]

"Chaneoul ! Ils s'en prennent à Chaneoul ! Nous avons besoin d'aide sur les docks."

La patrouille est bien là. Après avoir interrogé quelques natifs rencontrés sur sa route, le commis a fini par retrouver les hommes qu'il cherchait. Dans la taverne, chacun semble s'être rangé dans un camp et jauge la détermination de l'adversaire. Mais l'arrivée turbulente du garçon suant et soufflant surprend tout le monde. Le chef de l'escouade, le premier, réagit à l'annonce :

"Il se passe quoi là-bas ? Encore des troubles ?

- Monsieur, s'il-vous-plait, implore l'ouvrier de quai, il faut porter secours à mon patron. Des gens sont venus de partout, ils pillent nos marchandises, ils cassent ce qu'ils ne peuvent pas prendre, ils sont menaçants quand on s'interpose.

- Comment ? Ces gens osent attaquer un dépôt d'armes ? Ils veulent attenter à la vie d'un héros ? Mais... mais c'est..."

Le meneur de la soldatesque est abasourdi et se raidit dans ses bottes. Puis la stupeur passée, il se dirige promptement vers Reca. Se plantant devant la tenancière, il la saisit par un bras et l'arrache brutalement à sa terrible escorte. Désignant autoritairement de l'index cette Galdure à la voix grave qui prétendait rejoindre les rangs militaires, le fier Eldorian déclare :

"Toi, tu sembles plus sensée que tes comparses. Alors je te confie cette renégate. Présente-toi avec elle aux gardes du Palais et demande à voir le capitaine de faction. Une fois devant lui, tu lui remettras la tavernière. Il te débarrassera de ton fardeau. Si tu l'exiges, tu recevras une prime pour ta loyauté et tes offices. Peut-être même que tu pourras travailler pour notre armée à l'avenir. Nous réservons quelques places pour les bons éléments. Si tu veux te battre sincèrement avec nous contre les hordes qui envahissent nos terres, tu as trouvé aujourd'hui un ami.

- Vous n'êtes pas sérieux ? se vexe Lasud. Cette aventurière n'est pas qualifiée pour une telle délégation. Disposant de la plus haute charge, j'exige qu'on me confie Reca immédiatement. Je me rendrai alors avec elle devant notre Seigneur.

- Votre charge est insuffisante pour contredire mon donneur d'ordre, Sénéchal. Je vous salue !"

Satisfait d'avoir cloué un illustre bec, le chef abandonne la tenancière du débit de boissons à son sort et rassemble énergiquement son groupe. Du plat de sa main, il tape les casques à sa portée pour y faire mieux résonner ses instructions :

"En formation par deux, nous marchons vers la Cité de la Rive. Dépêchez-vous, tas de fainéants ! Plus vite que ça ! Un vrai patriote attend notre soutien. Gamin, tu vas nous suivre, nous aurons besoin de ton témoignage pour identifier les agitateurs.

- Oui Monsieur ! Merci Monsieur ! s'exclame le protégé de Chaneoul."

Avec discipline, la patrouille sort prestement de la taverne et s'éloigne en direction du port. Lasud, plus à son aise désormais, se tourne vers la femme aux larges épaules et l'interpelle :

"Aventurière ! Je vous demande d'oublier les paroles de ce fou furieux. Vous n'aurez rien à gagner en vous engageant à servir cette armée. Rendez-moi Reca tout de suite."

N'attendant aucune réponse, elle s'avance déjà de quelques pas vers la propriétaire du Nain Joyeux.

[Palladio]

Chaneoul, dévalisé ? Ça fait beaucoup d'évènements étranges en peu de temps, et le Sinan est bien placé pour savoir que cela ne présage rien de bon, bien au contraire. Tandis que la patrouille quitte la taverne, le vieil homme s'avance vers Fluette aux cotés de Lasud, la rapière toujours dégainée.

-Allez, tu vas rendre Reca a Lasud. Faut pas écouter ce vieil abruti, il est sénile et il sait plus ce qu'il dit. Lache Reca, et tout se passera très bien.

Il regarde fixement la Galdure dans les yeux, espérant une sage réaction de sa part. Il n'aimerait pas avoir a utiliser la force, mais son insigne l'y obligera si la Galdure devait se montrer réticente.

[Ajh'Illya]

Voyant que la situation se calme un peu Ajh'Illya sourit et s'avance vers Fluette, jetant au passage un regard sombre à Palladio qui s'approche, arme au clair. Elle chantonne toujours mais le son évolue, plus gai, plus léger.

~Le jeu semble malheureusement annulé....Mais je dois pouvoir proposer pour ceux qui le souhaitent un repas copieux au campement, pour peu que Fluette aille me chasser un ours ?

Elle regarde la Galdure avec un sourire amical, elle se rappelle que cette dernière l'avait appelée Chaman une fois et elle espère que cela restera assez ancré en elle, plus que les ordres de ce soldat agressif en tous les cas. Mais elle aimerait bien que Palladio et les autres rangent un peu leurs armes, sinon comment calmer le jeu ?

[Salilalulla]

*marmonne*
humm.... ils ont finalement prient les armes ailleurs bien, allons voir ce qu'il se passe.

Je vous laisse j'ai à faire et la laissez pas emener Reca hein?
Deshmal.