Aventuriers, aventurières,
Bonjour,
Comme annoncé brièvement à la Taverne du nain joyeux, un tournoi de poésie à thème est organisé et permettra de désigner les trois meilleurs poètes de ce Fingélien.
A la base, des poèmes et des chants étaient autrefois composés en l'honneur de l'esprit de l'air.
Tradition qu'avaient les adorateurs de cette religion ainsi que nombre d'Elfes et d'Hommes bleus.
J'ai souhaité, avec l'aide de Fin Zegath et Feniel, changer un peu cette tradition, pour que tous puissent participer et profiter ainsi de la chance de se voir reconnu en tant que meilleur poète Séridien.
Outre ce titre, les 3 vainqueurs de ces "joutes" recevront de magnifiques lots et verront leur poème retranscris dans un recueil de la bibliothèque du Palais du Divin Fingel.
Sans plus attendre, je vais vous énumérer les quelques règles imposées aux participants. Les voici:
- Les poèmes des participants devront être déposés à la suite de cette annonce (hrp: un post et poème par personne, la réédition d'un post entraine la disqualification)
- Seront juges cette année Fin Zegath, Feniel et moi-même.
- Chaque participant disposera d'un délai d'environ 28 jours (hrp:1 semaine, jusqu'au mercredi 31 octobre) pour composer et rendre son poème. Tout poème déposé après ce délai sera tout simplement ignoré.
- Concernant la forme des poèmes, les participants demeurent assez libres, à quelques conditions; les rimes sont fortements appréciées (plates, suivies, croisées ou embrassées), un maximum de 14 vers est imposé.
- Histoire de corser un peu les écrits et de l'idée de sieur Fin Zegath, certains mots choisis par nos soins devront être ajoutés à vos poèmes et de la façon dont vous le souhaitez.
Il est à noter que chaqun de ces mots a un rapport avec le thème qui vous sera donné à la fin de l'annonce. Les voici:Nous y voici, prenez calepins et parchemins et préparez vous à montrer aux landes entières votre talent car ce tournoi est officiellement lancé!
- Unisson
- Sérénité
- Carillon
- Félicité
Le thème de ce Fingélien est l'harmonie.
A tous et à toutes, bonne chance.
Ess'Pyi,
Ministre de la culture Séridienne
Les poètes du Fingélien
Les poètes du Fingélien
- Bonaparte
- Messages : 383
- Inscription : 12 oct. 2006, 18:07
- Localisation : Corse , Corse , ma que tu es belle !
La seule harmonie …
Être au comble de la félicité,
Sans aucune forme d’ambiguïté,
C’est posséder l’inappréciable,
Un acolyte, un ami non amiable.
Pouvoir vivre de solidarité,
D’une réciproque fraternité.
Seul un ami apporte l’harmonie,
Impératif à l’amour de la vie.
Sans cet être, lointain pair,
L’harmonie inéluctable
Ne saurait être guère,
Qu’une souffrance immuable,
Nul ne peut remplacer,
La main, heureuse, d’une amitié,
Nul ne saurait modifier,
Ce rêve de paix, et de sérénité,
Que seul un ami, peut apporter.
A l’Unisson de deux âmes,
A l’Alliance de deux étrangers,
Que même la plus tranchante lame,
Ne saurait briser, broyer, anéantir.
Seul quand sonnera le carillon,
Inévitable de la camarde, où le sillon,
Sempiternel, et ce petit refrain de lyre,
Se fera entendre, céans, dans le caveau.
Alors ils seront indéfiniment unis,
A l’éternel, à la mort et à la vie,
Spécifique de ce sentiment : noble et beau..
A Napoleon,
Bonaparte.
( hrp : je sais, j'ai dépassé le nombre de vers requis, mais voilà ... Il y a tant à dire sur une vraie amitié. Peu importe finalement que j'en sois disqualifié, mais merci à vous de lire tout de même ... )
Être au comble de la félicité,
Sans aucune forme d’ambiguïté,
C’est posséder l’inappréciable,
Un acolyte, un ami non amiable.
Pouvoir vivre de solidarité,
D’une réciproque fraternité.
Seul un ami apporte l’harmonie,
Impératif à l’amour de la vie.
Sans cet être, lointain pair,
L’harmonie inéluctable
Ne saurait être guère,
Qu’une souffrance immuable,
Nul ne peut remplacer,
La main, heureuse, d’une amitié,
Nul ne saurait modifier,
Ce rêve de paix, et de sérénité,
Que seul un ami, peut apporter.
A l’Unisson de deux âmes,
A l’Alliance de deux étrangers,
Que même la plus tranchante lame,
Ne saurait briser, broyer, anéantir.
Seul quand sonnera le carillon,
Inévitable de la camarde, où le sillon,
Sempiternel, et ce petit refrain de lyre,
Se fera entendre, céans, dans le caveau.
Alors ils seront indéfiniment unis,
A l’éternel, à la mort et à la vie,
Spécifique de ce sentiment : noble et beau..
A Napoleon,
Bonaparte.
( hrp : je sais, j'ai dépassé le nombre de vers requis, mais voilà ... Il y a tant à dire sur une vraie amitié. Peu importe finalement que j'en sois disqualifié, mais merci à vous de lire tout de même ... )
" Vivre dans la défaîte , c'est mourir tous les jours ... "
" La parole forme une véritable arme quand elle sait être utilisée à escient ..."
Bonaparte, porte parole du Village, vieux mage, toujours la plume à la main.
" La parole forme une véritable arme quand elle sait être utilisée à escient ..."
Bonaparte, porte parole du Village, vieux mage, toujours la plume à la main.
« Etant entièrement dans ses pensée l’ange prends un parchemins , sorts de son sac la plus belle plumes obtenue sur un aigle, prépare sa plus belle encre fraichement préparée et puis pense a ce qu’elle pourrais bien écrit, soudain dans son inconscient elle préféra écouter son cœur avec l’aide d’une mélodie lointaine et ainsi de le remettre sur son parchemin »
Harmonie.
Quelle est donc ce chant.
Que dans les bois j’entends.
A vos instruments combattant.
Baissons les armes quelques instant.
La voix des Hommes bleus, Chantant la Félicité.
Les elfes tendant l’oreille a cette sérénité.
Les nains tirant sur les cordes du Carillon.
Les Kultars toujours présent pour l’unisson.
Les humains de tous les peuples se souvient.
Laissons le tintement résonné dans nos cœurs en nous tenant la main.
Que cela est harmonieux que de voir si précieux.
Que parfois l’homme est curieux et ouvre son âme aux cieux.
Battons nous tous ensembles, gardons l’espoir.
Ecouté mes amis ce chant mélodieux pour ce soir.
« Fière de son écrit elle ajouta quelque mots »
Oublions haines et rancœur infinies.
Laissons-nous valser par l’harmonie.
AngeShiva.
Harmonie.
Quelle est donc ce chant.
Que dans les bois j’entends.
A vos instruments combattant.
Baissons les armes quelques instant.
La voix des Hommes bleus, Chantant la Félicité.
Les elfes tendant l’oreille a cette sérénité.
Les nains tirant sur les cordes du Carillon.
Les Kultars toujours présent pour l’unisson.
Les humains de tous les peuples se souvient.
Laissons le tintement résonné dans nos cœurs en nous tenant la main.
Que cela est harmonieux que de voir si précieux.
Que parfois l’homme est curieux et ouvre son âme aux cieux.
Battons nous tous ensembles, gardons l’espoir.
Ecouté mes amis ce chant mélodieux pour ce soir.
« Fière de son écrit elle ajouta quelque mots »
Oublions haines et rancœur infinies.
Laissons-nous valser par l’harmonie.
AngeShiva.
Elen síla lùmenn'omentielvo.
La liberté signifie la responsabilité. C'est pourquoi la plupart des hommes la craignent.
Moderatrice
La liberté signifie la responsabilité. C'est pourquoi la plupart des hommes la craignent.
Moderatrice
Harmonie.
Toi le combattant qui chaque jour ce bat.
Dans cette contrée sans âme de sérénité.
Tu cherches à pouvoir mener ton combat.
Afin que dans ces Landes s’installe la félicité.
Chaque jours tu rencontre amis ou alliés.
Tu sais pourtant que les peuples ne sont pas à l’unisson.
Ecoute la voix des tes ainé.
Ensemble nous réussirons.
Au loin tu entends le tintement du Carillon.
La guerre est proche de ce continent.
Portant ensemble nous rions.
A atteindre le firmament.
Agissons avant que l’harmonie ne meurt.
Nous vaincrons ce malheur.
La paix ainsi reprendra sa place d’entant.
Car mon âme est toujours celui d’un enfant.
Klonoa.
Toi le combattant qui chaque jour ce bat.
Dans cette contrée sans âme de sérénité.
Tu cherches à pouvoir mener ton combat.
Afin que dans ces Landes s’installe la félicité.
Chaque jours tu rencontre amis ou alliés.
Tu sais pourtant que les peuples ne sont pas à l’unisson.
Ecoute la voix des tes ainé.
Ensemble nous réussirons.
Au loin tu entends le tintement du Carillon.
La guerre est proche de ce continent.
Portant ensemble nous rions.
A atteindre le firmament.
Agissons avant que l’harmonie ne meurt.
Nous vaincrons ce malheur.
La paix ainsi reprendra sa place d’entant.
Car mon âme est toujours celui d’un enfant.
Klonoa.
Exploratrice des Ange.
Que la paix vous accompagnes.
La magie me garde et grace a elle je garde éspoir.
La majorité n'a pas le droit d'imposer sa connerie à la minorité.
Que la paix vous accompagnes.
La magie me garde et grace a elle je garde éspoir.
La majorité n'a pas le droit d'imposer sa connerie à la minorité.
*la kultare médite longuement : Harmonie, quel thème complexe et riche ..une histoire, sur la fin de la guerre entre Séridia et Irillon, que me contait ma mère-grand, pourrait bien convenir ... ce n'est peut-être qu'un mythe, mais l'histoire est émouvante, voui ...*
Sonnet de la paix
Le choeur en harmonie chantait à l'unisson
Les oiseaux se taisaient dans l'aube cristalline
Où l'air était si pur que la brume opaline
A peine s'irisait d'un sensuel frisson
Les landes enchantées par ce doux carillon
Cédèrent un instant en ce matin d'été
Où les armes grondaient au pied de la cité
Le choeur avançait nu vers l'armée d'Irillion
Car le front ceint de leur seule sérénité
Mains tendues en chantant à travers le charnier
Les fières séridiennes appaisèrent ces lions
Touchées par cet appel à la félicitée
Les armes s'endormirent en un sommeil profond
Et la paix fut signée grâce à une chanson
Sonnet de la paix
Le choeur en harmonie chantait à l'unisson
Les oiseaux se taisaient dans l'aube cristalline
Où l'air était si pur que la brume opaline
A peine s'irisait d'un sensuel frisson
Les landes enchantées par ce doux carillon
Cédèrent un instant en ce matin d'été
Où les armes grondaient au pied de la cité
Le choeur avançait nu vers l'armée d'Irillion
Car le front ceint de leur seule sérénité
Mains tendues en chantant à travers le charnier
Les fières séridiennes appaisèrent ces lions
Touchées par cet appel à la félicitée
Les armes s'endormirent en un sommeil profond
Et la paix fut signée grâce à une chanson
- Kaora
- Messages : 157
- Inscription : 04 août 2006, 19:14
- Localisation : Dans un lounge hype de Seridia, testant le dernier cocktail outranque-concombre-gingembre
Après s'être plusieurs fois entaillé les doigts en taillant maladroitement un calame, l'elfette assise à califourchon sur sa branche haute prit une grande inspiration et trempa son instrument de fortune dans un encrier. Puis, tout en fredonnant, elle inscrivit sur un parchemin rosâtre les paroles de sa chansonnette...
L'elfette contempla anxieusement ses gribouillages et s'étira. Un mauvais geste fit tomber son encrier qui chuta de la branche. Kaora se pencha et vit l'objet s'écraser sur la tête d'un homme qu'elle ne pouvait distinguer. Mortifiée, elle murmura un léger "Scusez..." et préféra attendre la fin du jour pour redescendre...
On peut trouver félicité dans la simplicité
D'un joli paysage,
Une forêt et un cours d'eau -ceux des Landes sont beaux !-
Pour toucher un nuage...
Fermez les yeux et inspirez, sentez-vous cet air frais
Incitant au voyage ?
Faites donc fi de vos soucis et laissez-vous aller
A la sérénité...
Avec de l'imagination, les fleurettes au vent
Deviennent carillons,
Leurs tintements à l'unisson et votre air réjoui
Vous font prendre conscience
Qu'il n'était pas si dur d'apprendre avec Dame Nature
Ce qu'était l'harmonie.
Lalala, lala, la...
L'elfette contempla anxieusement ses gribouillages et s'étira. Un mauvais geste fit tomber son encrier qui chuta de la branche. Kaora se pencha et vit l'objet s'écraser sur la tête d'un homme qu'elle ne pouvait distinguer. Mortifiée, elle murmura un léger "Scusez..." et préféra attendre la fin du jour pour redescendre...
- Valiant
- Messages : 616
- Inscription : 18 mai 2007, 11:59
- Localisation : Petit point dans l'Océan Indien
Le Sinan un peu agacé, s’était réfugié dans le Val d’Alganiel, sous un arbre où d’habitude personne ne se trouve, le vent portait le doux fredonnement d’un elfette sans qu’on sache réellement d’où il provenait, le Sinan sort ses plumes d’aigles et ses parchemins et respire profondément avant d’écrire.
Quand le vent souffle et fait tinter à l’unisson
Les carillons en une douce chanson,
Alors rien ne vient troubler la félicité
D’un corps qui baigne dans la sérénité.
Quand la nature, l’âme, et l’être
Ne sont plus qu’un seul et même maître,
C’est que le silence communie
Pour atteindre la parfaite Harmonie.
Mais existent-ils ces rares moments,
En ces terres, un répit d’un instant ?
Avec ces Landes qui jamais ne font de trêves
L’Harmonie n’est-elle pas qu’un doux rêve,
Pour des aventuriers qui chaque jour se battent ?
Afin qu’un jour la paix éclate.
Alors que Valiant relève sa plume, il lève la tête et se reçoit un encrier entre les deux yeux, abasourdi et aveuglé, le Sinan se lève maladroitement et titube se rattrapant de peu à l’arbre, mais avant qu’il n’ai pu apercevoir qui avait commis ce crime, il était de nouveau seul.
Quand le vent souffle et fait tinter à l’unisson
Les carillons en une douce chanson,
Alors rien ne vient troubler la félicité
D’un corps qui baigne dans la sérénité.
Quand la nature, l’âme, et l’être
Ne sont plus qu’un seul et même maître,
C’est que le silence communie
Pour atteindre la parfaite Harmonie.
Mais existent-ils ces rares moments,
En ces terres, un répit d’un instant ?
Avec ces Landes qui jamais ne font de trêves
L’Harmonie n’est-elle pas qu’un doux rêve,
Pour des aventuriers qui chaque jour se battent ?
Afin qu’un jour la paix éclate.
Alors que Valiant relève sa plume, il lève la tête et se reçoit un encrier entre les deux yeux, abasourdi et aveuglé, le Sinan se lève maladroitement et titube se rattrapant de peu à l’arbre, mais avant qu’il n’ai pu apercevoir qui avait commis ce crime, il était de nouveau seul.
Valiant (qui fut un aventurier) - C.
Membre de l'équipe |Environnement Role Play|
Membre de l'équipe |Environnement Role Play|
La jeune femme bleue, pleine d'enthousiasme à l'annonce d'EssPyi, se mit au travail dans la chaleur de la taverne, entre deux biscuits, et quelques signes de tête aux personnes de sa connaissance qui passaient par là. Elle composa longuement, raturant à plusieurs reprises son petit carnet.
À la poursuite d'un rêve fugace,
L'homme, qui jamais ne se lasse,
Poursuit la douce chimère,
De la paix retrouvée en ces terres.
Le miracle caressant de ce songe chéri,
Cette félicité que la ferveur nourrit,
Apaise les coeurs de nos landes meurtries.
L'eau, sérénité intrépide,
Apporte sagesse et idées limpides,
L'air, de son bruissant carillon,
Entretient l'espoir d'une prochaine communion.
À l'unisson, nos mélodies entraînent,
L'esquisse gracieuse d'un avenir moins terne.
Que rien n'arrete le cours, de nos paroles reines.
À la poursuite d'un rêve fugace,
L'homme, qui jamais ne se lasse,
Poursuit la douce chimère,
De la paix retrouvée en ces terres.
Le miracle caressant de ce songe chéri,
Cette félicité que la ferveur nourrit,
Apaise les coeurs de nos landes meurtries.
L'eau, sérénité intrépide,
Apporte sagesse et idées limpides,
L'air, de son bruissant carillon,
Entretient l'espoir d'une prochaine communion.
À l'unisson, nos mélodies entraînent,
L'esquisse gracieuse d'un avenir moins terne.
Que rien n'arrete le cours, de nos paroles reines.
"Donnez-moi la sérénité
D'accepter les choses que je ne peux changer,
Le courage de changer celles que je peux,
Et la sagesse d'en connaître la différence"
D'accepter les choses que je ne peux changer,
Le courage de changer celles que je peux,
Et la sagesse d'en connaître la différence"
Quand l'air transporte l'harmonie des vers.
Les mots s'envolent, saluant l'assemblée,
Sifflant leur sens, si bien ordonnés,
Tous à l'unisson, ils semblent ensorcellés.
Une douce sérénité s'instaure,
Le silence encerclé est serré au mord,
Assiégé, il cède, s'abandonne au sort,
Les sens savourent, dès lors, un chant d'or.
Les syllabes peuvent exprimer tant,
La voix tonne ou sussure innocemment;
Tout timbre sait être interpellant.
L'auditoire captivé peut jouir,
Délicatement, de cette félicité à ouïr.
Quelle verve peut honnêtement prétendre,
Décrire ce carillon dans ces fins méandres ?
Les mots s'envolent, saluant l'assemblée,
Sifflant leur sens, si bien ordonnés,
Tous à l'unisson, ils semblent ensorcellés.
Une douce sérénité s'instaure,
Le silence encerclé est serré au mord,
Assiégé, il cède, s'abandonne au sort,
Les sens savourent, dès lors, un chant d'or.
Les syllabes peuvent exprimer tant,
La voix tonne ou sussure innocemment;
Tout timbre sait être interpellant.
L'auditoire captivé peut jouir,
Délicatement, de cette félicité à ouïr.
Quelle verve peut honnêtement prétendre,
Décrire ce carillon dans ces fins méandres ?
yorwan, fondatrice de la guilde ange, exploratrice du peuple bleu, et marchande. 
Site de la gilde: http://gilde.ange.free.fr
yorwan sur le site de la gilde
Est-ce que ce que tu as fait t'a donné une vie meilleure ?

Site de la gilde: http://gilde.ange.free.fr
yorwan sur le site de la gilde
Est-ce que ce que tu as fait t'a donné une vie meilleure ?
Voici le parchemin, où écrits de ma main,
Se trouvent ces doux vers, pour cet esprit de l'Air :
Se trouvent ces doux vers, pour cet esprit de l'Air :
Lorsque l'Harmonie règne, tout n'est plus que beauté,
Et la rage et la hargne, deviennent sérénité.
Lorsque ces sons m'atteignent, que je me laisse bercer,
A mon bonheur me gagne, la douce félicité.
C'est bien le carillon, de sa douce mélodie,
De sa grande harmonie, qui me berce de telle façon.
Et c'est à l'unisson, que ses paisibles sons,
Rendent bien plus jolie, cette cruelle vie.
Que cet esprit de l'Air, moi qui ne le vénère,
Accepte donc mon air, qui me berce tel la mer.
Car c'est bien en sa fête, que notre petite Ess'Pyi,
Aimerait que chaque tête, soit emplie d'harmonie,
Et de sérénité, et de félicité,
Que sonnent à l'unisson, les sons des carillons.
Mortys, Seigneur du Mortyr.
Lil alurl velve zhah lil velkyn uss.
"Le meilleur poignard est un poignard que l'on ne peut voir."
Lil alurl velve zhah lil velkyn uss.
"Le meilleur poignard est un poignard que l'on ne peut voir."
- thermorisk
- Messages : 196
- Inscription : 15 mars 2007, 23:49
- Localisation : ville rose cassoulet rugby soleil
*Une retouche subtile d'écho, rappel de poésie,je couche ses sensibles mots, à l'appel d'une envie.*
Musique fine à l'oreille sûr, d'orchestre,
harmonique à l'éveil de nature terrestre.
Dessin de couleurs, cohérence de symétrie,
dessein de bonheur, hymne d'alliance assortie.
La parole d'un simple tempo de fraternité,
s'envole crescendo sous forme de volupté.
Au son du carillon de sérénité, béatitude,
l'unisson une leçon de liberté de certitude.
Cœur de félicité , garant d'honneur, gage de paix,
sonneur de destinée, maintenant décharge nos faix.
Savant instable équilibre du bien, du mal
trouvant affable, sa fibre, son destin idéal.
Sans répit pour rechercher, la divine sagesse,
l'harmonie a laissé son signe, une adresse.
Musique fine à l'oreille sûr, d'orchestre,
harmonique à l'éveil de nature terrestre.
Dessin de couleurs, cohérence de symétrie,
dessein de bonheur, hymne d'alliance assortie.
La parole d'un simple tempo de fraternité,
s'envole crescendo sous forme de volupté.
Au son du carillon de sérénité, béatitude,
l'unisson une leçon de liberté de certitude.
Cœur de félicité , garant d'honneur, gage de paix,
sonneur de destinée, maintenant décharge nos faix.
Savant instable équilibre du bien, du mal
trouvant affable, sa fibre, son destin idéal.
Sans répit pour rechercher, la divine sagesse,
l'harmonie a laissé son signe, une adresse.
Poète,guerrier œuvrant pour la paix et le peuple Eldorian.
Mercenaire Officier Tribun.
La vie se présente comme une pomme qu'il faut croquer goulument !! fais quand même attention aux pépins tu risques d'y laisser tes dent
Mercenaire Officier Tribun.
La vie se présente comme une pomme qu'il faut croquer goulument !! fais quand même attention aux pépins tu risques d'y laisser tes dent
*entre timidement dans la salle ayent déjà lut tout ces jolis poèmes hésitante ce décide à postée le siens*
Vos chemin sont-ils dans les étoiles,
Comme le navigateur pour se guider,
Vous devez hisser les voiles,
Pour arriver à vous dirigez en toute Sérénité...
De vos yeux coulent les larmes,
Qui réunissent désespoir et tristesse,
Mais ce n'est pas une bonne arme,
Contre tout ce qui vous stresse.
Vous avencez sans croire à cette destinée
pourtant vous savez qu ils ne tient qu a vous pour qu apparaisse la félicité
Souffrance , Impatience , Endurance , Tentation
tout celà vous éloigne de notre combat contre les landes, et nous fait oubliez le mot unisson
Regardez donc vos amis vos proche, oubliez vos angoisses vos haines et vous sentirez enfin dans votre coeur les cloches du carillon...
Vos chemin sont-ils dans les étoiles,
Comme le navigateur pour se guider,
Vous devez hisser les voiles,
Pour arriver à vous dirigez en toute Sérénité...
De vos yeux coulent les larmes,
Qui réunissent désespoir et tristesse,
Mais ce n'est pas une bonne arme,
Contre tout ce qui vous stresse.
Vous avencez sans croire à cette destinée
pourtant vous savez qu ils ne tient qu a vous pour qu apparaisse la félicité
Souffrance , Impatience , Endurance , Tentation
tout celà vous éloigne de notre combat contre les landes, et nous fait oubliez le mot unisson
Regardez donc vos amis vos proche, oubliez vos angoisses vos haines et vous sentirez enfin dans votre coeur les cloches du carillon...
*entre déterminé et fiers de ces idées*
Bercé par la peur et la haine
Dans ces landes éternelles
Partons a l'unissons
Pour stopper cet affront
Oublions nos différences
En ces temps de démence
Contre ces terres sauvages
Rassemblons notre rage
Calme et sérénité
Apporterons félicité
Sonnons les carrillons
Pour nos amis à l'archeron
Relevons le défis
Et battons cet ennemi
C'est en restant unis
Que nous connaitrons l'harmonie
Bercé par la peur et la haine
Dans ces landes éternelles
Partons a l'unissons
Pour stopper cet affront
Oublions nos différences
En ces temps de démence
Contre ces terres sauvages
Rassemblons notre rage
Calme et sérénité
Apporterons félicité
Sonnons les carrillons
Pour nos amis à l'archeron
Relevons le défis
Et battons cet ennemi
C'est en restant unis
Que nous connaitrons l'harmonie
- oscarhamel
- Messages : 65
- Inscription : 05 juin 2007, 00:18
- Localisation : Arcachon, France (33)
Oscar trouve le parchemin relatant les règles du concours. Il le lit, puis pense :"Encore un concours de poésie? Peut être que celui-ci arrivera à terme, héhé..."
Il se gratte la tête et pense derechef : "des règles, encore, toujours....et bien respectons-les!"
Tout en souriant, il sort un parchemin vierge qu'il griffonne de son stylet.
Harmonie ? C’est le nom de mon lapin
Je crie « File Harmonie ! » quand il fait le vilain
C’est en effet un petit lapin musicien
Qui joue à l’unisson avec tous ses copains
Lui est aux carillons qu’il agite en tous sens
Pour que la bande trouve la sérénité dans la danse
La transe est si forte que la félicité les gagne
Quand d’un seul coup ils agitent tous leur pagne.
Quoi je ne vous avais pas dit ?
Ces petits lapins arrivent tout droit de Tahiti
Mais oui, vous savez bien, cette île du bout du monde,
Où les légumes et les fruits font la ronde
Moi ? Je m’égare ? Vous dites « c’est une légende ! »
Je perds la raison ? Alors, qu’on me la rende !
Fier de lui, il remet son poème tout en pensant "avec celui-ci, si je ne gagne pas....!"
Il se gratte la tête et pense derechef : "des règles, encore, toujours....et bien respectons-les!"
Tout en souriant, il sort un parchemin vierge qu'il griffonne de son stylet.
Harmonie ? C’est le nom de mon lapin
Je crie « File Harmonie ! » quand il fait le vilain
C’est en effet un petit lapin musicien
Qui joue à l’unisson avec tous ses copains
Lui est aux carillons qu’il agite en tous sens
Pour que la bande trouve la sérénité dans la danse
La transe est si forte que la félicité les gagne
Quand d’un seul coup ils agitent tous leur pagne.
Quoi je ne vous avais pas dit ?
Ces petits lapins arrivent tout droit de Tahiti
Mais oui, vous savez bien, cette île du bout du monde,
Où les légumes et les fruits font la ronde
Moi ? Je m’égare ? Vous dites « c’est une légende ! »
Je perds la raison ? Alors, qu’on me la rende !
Fier de lui, il remet son poème tout en pensant "avec celui-ci, si je ne gagne pas....!"
Mieux vaut mourir que courir
Jour de gloire et de sérénité,
Jour sans fin dans l’esprit de l’air
Jour empli de magie pour l’éternité
Jour sans vergogne tout est clair
En ce jour de mon arrivée,
Mon cœur n’était point en félicité
Mais en observant la beauté
De ces landes éclairées
Tout me sembla se joindre à l’unisson
Les landes gérant tout, tel un son
Harmonieux et serein comme des Carillons
Les landes décident et nous sommes les trouffions
Ainsi en désharmonie nous essayons de nous unir
Face au landes harmonieuses qui ne savent fuir.
Jour sans fin dans l’esprit de l’air
Jour empli de magie pour l’éternité
Jour sans vergogne tout est clair
En ce jour de mon arrivée,
Mon cœur n’était point en félicité
Mais en observant la beauté
De ces landes éclairées
Tout me sembla se joindre à l’unisson
Les landes gérant tout, tel un son
Harmonieux et serein comme des Carillons
Les landes décident et nous sommes les trouffions
Ainsi en désharmonie nous essayons de nous unir
Face au landes harmonieuses qui ne savent fuir.
- Remark
- Messages : 86
- Inscription : 09 oct. 2007, 14:39
- Localisation : une cabane isolée de Cité du Port.
Un Sinan vint déposer un parchemin :
Harmonie paradoxale.
Si le carillon céleste, ne fut
Le légitime et réel firmament,
Si de l’unisson de deux amants,
Naissait un courroux ambigu,
Si à la félicité de deux pairs,
Répondait la haine de deux frères,
Si de Guerres interminables,
Résultaient des relations aimables,
Et si à la sérénité, suivait,
Un antagonisme violent,
Le paradoxe de la vie serait
Alors à un point tant culminant,
Que la logique vitale, d'un grand saut de cabri,
Se verrait ésseulée, de toute harmonie.
*rentre dans cette salle et affiche discrètement son parchemin *
L’harmonie du chant.
Entends-tu dans le lointain.
Le tintement du Carillon.
Je l’écoute avec chagrin.
Comme j’aimerais que nous chantions.
Toi mon amour qui m’apporte la sérénité.
Toujours tu es la mes coter.
Tu m’as promis la félicité.
Je t’aimerais pour l’éternité.
Je chante pour gagner l’unisson.
Vous autres peuple joigniez-vous a cette chanson.
Nous tous ensembles nous vaincrons.
Unis, amis, alliés tous nous combattrons.
*jette un oeil sur les poèmes déjà afficher et ce dit que tous ont un réel talent *sourit*
L’harmonie du chant.
Entends-tu dans le lointain.
Le tintement du Carillon.
Je l’écoute avec chagrin.
Comme j’aimerais que nous chantions.
Toi mon amour qui m’apporte la sérénité.
Toujours tu es la mes coter.
Tu m’as promis la félicité.
Je t’aimerais pour l’éternité.
Je chante pour gagner l’unisson.
Vous autres peuple joigniez-vous a cette chanson.
Nous tous ensembles nous vaincrons.
Unis, amis, alliés tous nous combattrons.
*jette un oeil sur les poèmes déjà afficher et ce dit que tous ont un réel talent *sourit*

N'ayant jamais adoré la poésie, Ifrit se dit que ce consours était une bonne occasion pour s'exprimer.
Mère de toutes les peurs,
De toutes les frayeurs,
Toi que tout le monde cherche,
Toi que les sages prêchent.
A l’unisson Séridia t’appelle,
Tel, un carillon divin
Au vent révèle
La volonté du saint.
L’homme peut-il encore, la félicité atteindre?
Ce paradis de sérénité,
Ce soleil de tranquillité,
Cette liberté de ne rien craindre.
C’est dans l’harmonie qu’elle se trouve.
Mère de toutes les peurs,
De toutes les frayeurs,
Toi que tout le monde cherche,
Toi que les sages prêchent.
A l’unisson Séridia t’appelle,
Tel, un carillon divin
Au vent révèle
La volonté du saint.
L’homme peut-il encore, la félicité atteindre?
Ce paradis de sérénité,
Ce soleil de tranquillité,
Cette liberté de ne rien craindre.
C’est dans l’harmonie qu’elle se trouve.
*samouk entre dans la salle ou il voit tout les poèmes, il les lis et décide d accrocher le sien a coté des autres*
Vois la, la, mon poème s'intitule :
La guerre harmonieuse
Jour de la guerre
Jour je l'espère
Nos peuples se sont unis,
Car le guerre ne nous laisse auqu'un répit
Nous avons été mainte fois incité a collaborer,
Mainte fois été acclamés
Nous avons toujours amené la sérénité
Mais nous ne nous somme jamais laisser aller
Des que le carillon nain retenti,
Mous sommes partit,
Exterminer le peuple ennemi
Alors je tiens a vous féliciter
Et vous déclarer notre grande amitié
Envers vous nos amis les nains.
*samouk sort de la salle avec une petite appréhension*
Vois la, la, mon poème s'intitule :
La guerre harmonieuse
Jour de la guerre
Jour je l'espère
Nos peuples se sont unis,
Car le guerre ne nous laisse auqu'un répit
Nous avons été mainte fois incité a collaborer,
Mainte fois été acclamés
Nous avons toujours amené la sérénité
Mais nous ne nous somme jamais laisser aller
Des que le carillon nain retenti,
Mous sommes partit,
Exterminer le peuple ennemi
Alors je tiens a vous féliciter
Et vous déclarer notre grande amitié
Envers vous nos amis les nains.
*samouk sort de la salle avec une petite appréhension*
Ex ~Patrouilleur~
*Aime voir le sang couler et les sacs des aventuriers tomber*
*Aime voir le sang couler et les sacs des aventuriers tomber*
Le Nain, attiré par les lots, n'a pas pu s'empêcher de tenter le concours. Il s'avance avec un beau parchemin en peau de cerf sur lequel quelques vers sont couchés :
Fictive harmonie
Anéanti, couché au sol malgré moi,
Ma vue obstruée par un voile de soie,
Je regarde péniblement les cieux,
Qui prodigues, s’offrent à mes yeux.
La douce lueur des étoiles me berce,
Et j’admire cette splendeur, cette caresse.
Car ces astres sublimes dans le noir ciel,
Sont à l’unisson, ce que nous sommes à la querelle.
Je ne peux que m’ébahir de tant de sérénité,
D’harmonie, d’entente et de fraternité,
Quand moi, petit être, je guerroie pour ma ramure,
A des fins viles, orgueilleuses et impures.
Retentit alors le carillon belliqueux,
Félicité constellée, je te dis Adieu !
NapoleoN.