L'histoire d'un Homme Bleu

[Thar_varth]

Après maintes et maintes verres d'outranque dans une taverne bien connue d'Illumen, je fini par raconter mon histoire... Voici ce qui a été retranscrit à la fin...

Histoire banale d'un Homme Bleu peu banal:

Gentes damoiselles, braves chevaliers, artisans, magiciens et autres compagnons aussi nobles soient-ils, je vais vous conter l’histoire d’un orphelin peu connu sur ces terres…

Elric, de mon nom d’emprunt, depuis mon départ forcé de mon clan, ainsi me nomme-t-on ici sur ces terres que peu d’hommes bleus ont foulées.

Les hommes bleus, comme certains doivent le savoir, vivent en clans s’autogérant. Nous vivons, au peut-être devrais je dire, je vivais dans un clan paisible. La chaleur tant adorée de mon désert natal me manque au plus haut point ici où verdoient tant de végétaux… La douce chaleur du vent reformant jour après jours les dunes de mon désert. Le plaisir de la découverte après chaque dune d’une nouvelle différente et tant rassurante. La création de points d’eau sur nos routes maintes fois changées. La construction de notre campement et le déplacement selon nos envies… Désolé je suis toujours nostalgique quand je repense et revoie en rêve mon pays natif…

Je suis issu d’une famille adorant l’art onirique et les délectations de l’esprit. Mon père si créatif à la voix de cristal est devenu depuis sa majorité le chef incontestable du clan.

Lors de ma Naissance une tempête de sable hurlante c’est levé au dessus du campement. Les plus sages des mages disent que c’est signe d’une grande destinée au loin du monde connus. Ma couleur violacée viendrait d’une facilité déconcertante pour notre plus grand sage de mon goût et aptitude particulière à la magie ainsi qu’une soif de découverte éclectique.

Le jour de mon 50ième anniversaire fut tragique, le campement fut attaqué sans crier gare pour un nombre impressionnant de guerrier assoiffé de meurtre. Mon père eu juste le temps de me faire fuir avant l’assaut final avec ma mère. Je n’eut point le temps de voire quel peuple cruel nous attaqua ce funeste jour, un petit doute tout de même. Nous avons marché des jours et des jours, plein nord, buvant aux sources que nous découvrions sur la route. C’est bien affaibli que nous arrivâmes en territoire sauriens. Ils nous accueillerent et nous fournirent un bateau pour fuir au loin.

Le sort capricieux en décida autrement, une tempête se leva aussi forte que celle de ma naissance comme me disait ma mère. Juste avant que le bateau ne se déchire en lambeaux sur une lame de fond au beau milieu de l’océan. Je perdis ma mère pendant le déchirement du bateau. Nous sommes resté en contact par télépathie 3 jours avant que sa voix ne retourne à la voix universelle de mon peuple. Je ne sais combien de temps j’ai vogué sur cette planche, dernier vestige du bateau. J’ai due perdre connaissance, toujours est-il que je me suis réveillé sur cette archipel un matin seul et orphelin dans cette contrée.

Aujourd’hui me voici parmi vous.

[Thar_varth]

Aujourd'hui, mon nom, je peux dire à tous,
Elric mon nom d'emprunt, inutil est devenu,
A tous je me présente Thar Varth je suis,
et vécu dans ma patrie natale.

[Thar_varth]

Après maintenant un bon moment de présence sur ces terres hostiles à première vu et pas uniquement pour mon peuple, je peu dire que je commence à m'habituer à ces étendus verdoyante ou montagneuses tant différentes et déconcertantes à la fois...

J'ai rencontré de multiple personnes issues de bien des peuples différents. La connaissance de ces autres peuple ne m'est que profitable, si de prime abord nous sommes si différent, nous sommes néanmoins sur les mêmes terres hostiles et nos préocupations sont souvent les mêmes...

J'ai eu l'immense honneur de représenter mon peuple lors de trois conseil devant le Seigneur de ces Terres Luxin de son nom. J'ai pu me lier d'amitié avec certains autres memebres du conseil. Je reconnais que la cohabitation de tant de peuples n'est pas si simple qu'il peu paraitre...

Le syndicats nous à même donné l'opportunité de renégocier les prix de vente et achats aux Natifs! Je n'ai pu que y participer évidemment.

Si j'ai vu de mes yeux divers crimes et guerres, la chose la plus choquante pour moi reste la personne utilisant un Nom devenu célèbre et imposant le respect baffouant nos mémoires, je ne m'avancerais pas encore mais je même l'enquête...

[Thar_varth]

J'ai parcourus la bibliothèque du palais du divin Fingel. A chaque livre fini, un nouveau m'intrigué... Je ne peux que vous conseiller d'y aller voir par vous même cette mine d'informations toutes plus intéressantes les unes que les autres…

J’ai découvert tant de choses stupéfiantes que ce soit sur mon peuple ou sur les autres que le soir après avoir éteint ma bougie, j’en ai rêvé chaque nuit. Des rêves de quêtes, de batailles, de villes, d’amitiés, d’entraide et bien d’autres…

J’ai consulté certains membres des plus instruits de bien des peuples pour vérifier si dans la mémoire de leurs peuples, les mêmes souvenirs que décrits dans ces livres existaient. Et là je me suis aperçu que la bibliothèque malgré le nombre de livre était bien fade face à la réalité !

Je vous encourage tous, qui que vous soyez, à apprendre des autres peuples toutes leurs merveilles ! Il est vrai, que ces histoires ne sont contées bien souvent qu’après quelques bonnes bières à la lueur de quelques bougies à mi mot à la fin d’une bonne soirée. Certains diront que ce sont des comptes pour les enfants, d’autre le fait de quelques talentueux conteurs et poètes. A tous conte une part de vérité existe, j’en ai eu maintes fois la preuve !

Toutes fois, certaines de mes idées de vengeances ont disparue ou du moins ont changées de direction… De ce fait marquant personnellement un petit chant est sorti de mon âme, je poserais donc ces quelques vers ici.

Oh étrange destinée,
La paix tant aimée,
Malgré que décidée,
N’en est que repoussée.

Les peuples tous alliés,
Sont se sont tous séparés.
L’alliance de Fingel née,
Par toutes et tous est oubliée.

Ne vivant que pour la paix,
Mon clan fut pourtant éradiqué.
A la vengeance en premier,
Je n’ai pu m’empêcher de penser.

De par mon voyage forcé,
Tous les peuples j’ai rencontrés.
Leurs histoires me furent contées,
Par eux mes idées ont changées.

Par les Landes les peuples ont changé,
Comme tous par un sort envoûtés.
J’ai compris que nul peuple n’est
La cause de mon peuple opprimé.

Le seul ennemi tant détesté,
La seule réelle menace avérée,
Le seul obstacle à la tant chérie paix,
Ne sont que les Landes pour les nommées.

D’autres chants, m’ont été inspirés par les histoires entendues, mais ils sont bien trop nombreux pour être chantés ici, des parchemins traînent ça et là, je n’y manquerais pas d’en faire un recueille quand le temps me le permettra. Pour l’instant, j’ai encore bien trop de livres à consulter et d’histoires d’aventuriers valeureux à entendre… A bientôt, au fond d’une taverne tard le soir ou entre deux étagères de livres à la bibliothèque du palais de Fingel, je sens qu’il me reste encore bien des découvertes à effectuer…

[Thar_varth]

Il m'est arrivait une rencontre qui a changé ma vie. Ca date un peu, mais il m'a fallut me remémorer le tout et réfléchir avant de raconter cette histoire…

Cette personne qui a changé mon destin, ou plutôt accepter mon destin, je l’ai vu par deux fois, deux soir de suite, lors de nuits sans étoiles et glaciale. Je vais vous raconter la première fois où je l’ai vue et lui ai parlé.

Peut être est-ce folie, mais maintenant que j’y pense avec le recul, il me semble qu’elle n’était jamais loin de moi, qu’elle attendait patiemment que je sois prêt… Toujours là même si je ne la voyait pas, toujours à la limite de mon angle de vu… Je me demande même si elle n’est pas étrangère au fait que mon bateau coulé, je me sois retrouvé ici…

Toujours est-il, que je l’ai rencontrée ainsi :

Une soirée comme une autre,
Dans une taverne comme notre,
Nous formions un petit groupe,
A boire et manger notre soupe.

La bourse malheureusement vide,
Le moral au plus bas, vie sordide…
Nous qui pensions gloire et honneur,
Nous vivotions grâce à de durs labeurs.

Un Elfe Noires dans sa cape enroulée,
D’une aura magique sombre entourée,
Entra et se mis dans un coin sombre.
Personne ne la remarqua dans l’ombre.

Intrigué, comme mes frères d’arme,
Comme envoûté par un puissant charme,
Je ne pouvais la quitter des yeux,
Pressentant l’appel du destin merveilleux.

A deux mains, mon courage fut pris,
Pour aller voir cette étrangère assise.
« Je me demandais si tu viendrais,
Toi l’Homme Bleu, je t’attendais ».

Moi dis-je ? Étonné d’être attendue.
« Si tu n’as pas fière allure ainsi vêtu,
Je sais à quoi tu aspires, toi et tes amis,
Ce que ta destinée te réserve et ton ennui. »

A ces mots un doux sourire m’envahi,
« Je connais le but de tes recherches ici,
Bien peu de traces tu trouveras ici,
Du mot je peux effacer tous tes soucis. »

« Je sais ce que tu veux faire et t’aiderai,
Mais saches que ta vie sera jonchée,
De maintes périls et difficultés,
Tu dois réfléchir au prix à payer. »

« Reviens donc me voir, demain soir,
Lorsque la nuit sera complètement noire.
Si tu te décides à accepter ta destinée,
Je t’expliquerais par où commencer. »

Elle se volatilisa et me laissa perplexe,
Avec un choix pour le moins complexe.
Je retournai à mes amis devant ma bière,
Je n’ai rien dit de tout ça malgré leurs prières.

Quand j’y repense, tout c’est joué à peu de choses. Cette taverne alors que j’y allais que peu souvent, le regard vague vers la porte alors que personne n’avait l’air de l’avoir remarquée…

Je sais au fond de moi que cette date était prévue depuis longtemps mais par qui ?
...

[Thar_varth]

Vous ne pouvez imaginer la nuit que j'ai passé à me tourner et retourner sur la paillasse infesté de vermine que j'ai louée au fond de l'écurie a la tenancière de la taverne.

J'ai rêvé le somptueuse Luminea mais les images étais entrecoupés de champs de batailles où je vis des membres de tous les peuples le crâne fracassé, égorgés, les membres arrachés et bien pires encore, le tout sous un rire sardonique dont je ne pouvait voir l'origine.

Je me suis éveillé en sueur glacées tellement de fois que ne pourrait en dire le nombre, j'ai même était tenté de dire à cette elfe, efface donc mes cauchemars que j'oubli tout maintenant...

Mais Luminea est si belle, vaut il me oublier ou comprendre ces cauchemar?

La journée suivante fut quelque peu morne, j'était plongé dans mes pensées incapable de faire quoique se soit, attendant avec impatience le moment du choix mais le redoutant à la fois.

C'est dans cette état d'esprit que je la rejoignis le soir :

Elle était là comme prévu,
Discrète, tout de noir vêtue,
Te voilà donc enfin devant moi,
Cette nuit le destin a t il parle en toi?

J'ai rêvé de la somptueuse Luminea,
Mais aussi des aventuriers passer à trépas
Le tout sous des rires omniprésent narquois.
Je ne sais vraiment que penser de tout ça.

Tu bien étudier l'histoire de Luminea pourtant,
Qui peux donc bien rire de ça fin maintenant,
Si ce ne sont bien sûr les Landes et ces suppôts.
Il te faudra choisir un de ces camps rivaux.

Chacun tente de modifier l'histoire à son avantage,
A toi de savoir lire en ton coeur ces présages.
Je vais t'aider car tel est ma tâche destinée.
Luminea si belle ne fut point détruite à jamais.

Les Landes ne sont point les seules en causes,
Les féaux sont ici pour empêcher toute chose,
Ou personne les mettant en grand péril,
Ils ne reculeront devant rien même de plus futile.

Si tu choisis Luminea et ce qu'elle représente,
Tu peux voire à présent ces dangereuses attentes.
A toi de choisir de voir ou oublier ce que je t'ai dis,
Je peux effacer tes rêves, c'est toi qui choisis.

Je ne peux rester sans tenté de faire quoique se soit,
Je serais pourtant bien seul pour mener ce combat.
Non point seul tu resteras, un homme viendra à Toi,
Ce jour là point seul dans ce combat tu resteras.

C'est ainsi que je compris ma destinée et l'accepta, attendant cet homme dont je ne savais rien pour qu'enfin je puisse commencer mon combat.

[Thar_varth]

Je me souviens de ce jour béni entre tous les jours qui me fis rencontrer Sir Ivar Grand Maître de l'ordre des Templiers de Luminea...

Luminea existe toujours... Cette ville aux milles merveilles, ce continent au combien merveilleux et qui plus est, pas si loin de Séridia...

Ville blanche immaculée,
En cinq cercles superposés,
Par les peuples construite,
Pour la paix établie.

Ville somptueuse en merveille,
Concrétisation collégiale,
Des esprits en sommeil,
Eveillé par Fingel être si spécial.

L’alliance née de ces Mains,
Contre les Landes établies,
Sans remettre au lendemain,
Les peuples furent unis.

De toutes parts arrivés,
Hommes et femmes motivés,
Pour s’établir là où était la terre,
Maudite en dangereuse naguère.

Oh grandes festivités par tous attendue,
Après un dur labeur grandement abattu,
La salle des rois si finement ouvragée,
N’ayant d’égal que le Temple ciselé.

Mais tant de bonheur ne pouvait,
Connaissant les Landes et leur cruauté,
Sans heurt et douleurs se passer,
Le massacre des jours sombres est arrivé.

La paix, le continent de Luminea vit en paix et harmonie! Les Landes y ont été repoussées à la mer! Cela est donc possible! J'appris les desseins de cet ordre de Templiers et je vis un résultat... Il commença à m'enseigner leur histoire et leurs découvertes ayant permis la destruction de ces Landes non invincibles... Malgré les jour sombres connus par cette ville…

Oh Temple sans nul pareil,
Tout de blanc et vermeil,
Représentant de la Prompte Poigne,
De splendeur et grandeur gagne.

Devant toutes et tous fièrement,
Vers le ciel érigé finement,
La volonté de défi face aux Landes,
Par fierté et volonté fus bien grande.

Les Landes devant cet affront visible,
Ne trouvèrent pas ceci si risible,
Par les portes magiques ouvertes,
La ville à leur haine fut offerte.

Nul n’oubliera le nombre de morts,
Par les Landes et ces démons forts,
De leur effet de surprise, à notre tour,
La garde baissée, nous avions ce jour.

Peu de temps fallut à nos guerriers,
Pour que les armes furent tirées,
Les démons de la ville furent repoussés,
Nul répit avant que tous ne furent trépassés.

Ce jour en notre souvenir, si sombre fut-il,
Nous servit de leçon non moins futile.
La grandeur et splendeur furent moins étalées,
Mais néanmoins bien structurées…

La splendeur de Luninea rejailli des Fingeliens plus tard…

[Thar_varth]

Sir Ivar m'intronisa Grand Maître de L'Ordre des Templiers de Luminea alors que les Landes se révoltaient envoyant pléthore d'ogres et cyclopes contre nous une poignée d'aventuriers dont maintes sont devenus Templiers aujourd'hui...

Au moment où nous pensions avoir repoussé le gros des forces des Landes, un Féal apparue devant nous... Il sembla bien connaître Sir Ivar. Après une joute verbale que je garde en mémoire, l'âge avancé de Sir Ivar et l'énergie dépensée par l'intronisation et le passage de savoir ne lui permit pas de résister à une mort affreuse...

Ce jour mémorable restera gravé en ma mémoire à la fois joyeux et triste, je n'ai point eu le temps de tout apprendre de lui, mais au moins je sais que Les Landes ne sont pas invincible... Tremblez les Landes devant les Templiers de Luminea! Tel nos frères nous vous combattrons jusqu'à la mort, que vos créatures infâmes quittent les terres de Séridia!

Voici un chant composé issu de ma transe lors de la venue de Sir Ivar encore chanté le soir au coin du feu de notre temple….

Futiles querelles, sang versé,
Pour rompre l’ennui de nos guerriers.
Peuples au combien différents,
Mais même comportement.

Nous fûmes, par le passé, tous unis,
Non sans un but aussi précis,
Que toutes nos différences,
Furent oubliés par décence.

L’ennemi commun bien trop puissant,
Pour qu’un seul peuple fit face,
Nos différences mises en avant,
Comme autant de forces en places.

Nos plus braves guerriers devant,
Les mages de bataille les suivant,
Invocateur et nécromancien distant,
Une cohorte unie face à l’opprimant.

En arrière nos plus grands alchimistes,
Travaillèrent de concert en puriste,
Pour nos plus célèbres ensorceleurs,
Nos meilleur fabricants et artisans en sueur.

Quel splendide spectacle mes amis !
Tous les peuples sous la même bannière unie !
Toutes races mettant en œuvre ses savoirs,
Pour qu’enfin cesse le désespoir.

Les Hommes Bleus coordonnant,
Cette armée par télépathie tout en chantant,
Les Kultars de leur magie s’aidant.
Les lignes ennemis se désagrégeant.

Les Hauts Elfes par leur expérience,
Nous renseignant par leur sagesse,
Les Eldorians grands épéistes,
Dans leurs armures étincelantes.

Les Sinans experts en nécromancie,
Une multitude de créatures face à l’ennemi,
Les Elfes Noirs éclaireurs, assassins,
Au cœur de l’ennemi accomplissant leurs destins.

Les Nains en toutes circonstances mineurs,
Forgerons, guerriers magnant la hache,
Les Galdurs, aux combats frénétiques,
Montrèrent leurs talents guerriers.

Mes sœurs et frères, le temps et venu,
Que les Landes menaçantes soient vaincues,
A quoi bon s’entretuer, quand l’ennemis,
De notre dispersion sans but, sourient.

Rappelez vous du Saint Homme Fingel,
Que les étendues brûlantes, comme sous le gel,
Verdoyantes, rocheuse ou désertiques,
Soient colonisées, prenons le risque.

Ensemble, de n’importe quel métier, vous exercez,
Une pierre à l’édifice de la victoire vous pouvez apporter.
Séridia n’est pas même encore pacifié,
Qu’Irilion est déjà prêt à être colonisé.

Mettons en commun notre Bravoure !
Pour que les landes reculent…
Mettons en commun notre Sagesse !
Pour qu’à jamais les landes périssent…

Quel que soit votre peuple, si vos querelles,
De coté, vous pouvez mettre pour que celles,
Qui se prétendent Maîtresse des lieux,
Ces Landes nous soyons victorieux.

Si l’honneur de vivre en peuple libre,
Comme pour moi est fondamental,
Si au fond de vous, votre cœur vibre,
Pour les Landes, la seule issue est fatale.

Rejoignez en premier lieu la résistance,
Plus grande deviendra la puissance,
Pour que l’esprit même des landes disparaisse,
Avec toute notre bravoure et sagesse !

Un jour viendra, je ne sais quand, mais il viendra !

[Thar_varth]

Nombres fingeliens passèrent, nombre de Templiers vinrent augmenter les rangs. Nombres créatures des Landes meurt une à une, bon nombre d'invasions furent repoussées... Que se soit les chimères des bois invoquées par le Féal Adrian pour se jouer des aventuriers il y a fort longtemps au désert des Pins, les combats contre les hordes vertes de ShagShaska, les pirates commendités par véreux dernièrement... Nombre de recherches dans tous les domaines par les Templiers, quelques invocations de chimères artiques ou fabrications d'armes et arumres... On ne compte plus les réussites politiques individuelles de membres non plus...

Ha la politique... Nids de vipères sans foi ni lois, ambiance malsaine où l'intérêt individuel est plus important que celui des peuples voir même de son propre peuple. Faites quelque chose, on vous sali par de fausses accusations, interprête vos dires pour espérer vous voir chuter...

Ha la jeunesse... Jeunesse qui critique sans connaître le passé, jeunesse qui se permet de juger des choses qu'elles n'ont point vu, Jeunesse qui vous demande où chercher les informations d'évenements tragiques consignées dans les bibliotèques ou tablettes du Palais...

Parfois cela deviens décourageant de voir tant de bile versé sans aucun but, de critiques destructrice plus que constructive, se révolter contre le présent sans se soucier du passé ni de l'avenir...

A quoi bon parfois passer des heures à rechercher la vérité sur la passé pour t'entendre dire mais non, je n'était pas là mais c'était pas comme ça...

Les traditions se perdent, l'histoire s'efface, fini le temps où les anciens sages garant de la connaissance étaient écoutés, chacun veut tirer avantage pour lui seul en se fichant des autres...

Désillusions sur la nature des peuples, sûrement dû à l'âge, la politique c'est bon pour les jeunes aux dents longues apparement maintenant, fini le temps où les premiers aventuriers arrivèrent, fini le temps où le Seigneur Luxin accepta de nous écouter sur la gestion de sa principauté. Non cela n'intéresse plus les peuples, chacun pense à ses droits acquis, mais personne ne sait grâce à qui... Cela même qui sont rabaisser...

Voilà la justice en ce bas monde, chacun pour soit et tout pour soit, ceci est parfait, les féaux doivent bien rire comme les Landes de voire tant de haine, d'attaques pour gagner quoi? le droit de voir les Landes continuer à tuer des aventuriers encore et encore. Mais cela ne dérange plus, la mort des uns n'apporte rien, seul compte le profit....

Fatigué, je me sens fatigué de ses futiles querelles, le temps passe mais personne n'en retire d'enseignements...

Ainsi devint la vision du vieil homme bleu se retirant bien souvent seul en son désert pour méditer...