Dehors, sous la pluie, je laisse l'eau
S'écouler, jusqu'au plus profond de mes os
La vie en moi s'éveille dans cette noirceur
Qui ne m'apporte nullement aucune peur.
Sur mon visage viennent éclater,
Ces petites gouttes enchantées,
Qui me rappelent cette petite main,
Toute de douceur et d'entrain.
L'oublier, cette sensation, non jamais.
Elle m'a permis d'apprendre à rêver.
Je me lève, trampé, épuisé.
Je cours vers ma destiné,
Elle m'appartient, elle n'est pas tracée,
Et toi petite main, jamais je ne t'oublierai.