Prologue
Je vivais dans une ferme si médiocre que le matin, dès l'aube, la lumière du soleil rentrait dans la maisonnette ce qui réveillait ensuite toute la basse-cour et enfin moi. En clair, impossible d'avoir une bonne nuit de sommeil car on est réveillé aux premières lueurs du soleil. Je vivais avec ma mère, ma petite sœur et mon cousin tout juste âgé d'un an de plus que moi avec qui je m'entendais très bien. Quant à la raison pour laquelle je n'avais pas de père, il était parti sur le champ en apprenant qu'il allait avoir un enfant, c'est à dire moi.
Nous vivions paisiblement avec nos coqs et nos moutons quant, lors de ma treizième année, trois hommes passèrent la nuit chez nous. Cette nuit-là, ces hommes tuèrent ma mère et ma sœur nous laissant seul à notre sort mon cousin et moi. Sur un coup de tête, nous décidâmes de quitter la campagne pour nous rendre là où nous nous sentirions moins exclus,c'est à dire, parmi les nôtres, à Rithar Nartum.Nous égorgeâmes donc tous les poulets qui étaient au nombre de 5 et les mirent dans nos sacs à dos afin d'avoir quelque chose à se mettre sous la dent pour le long voyage qui nous attendait.
Nous passâmes le reste de la journée à prier Hamal pour que notre mère et notre sœur (car je considérais mon cousin comme mon frère) soit bien traité au paradis.
Le lendemain, un peu après l'aube, nous partîmes sur la route, à pied pour un long chemin dans la plaine. Au bout de 3 semaines de marche, aperçûmes les montagnes au loin mais nous n'avions plus rien à nous mettre sous la dent. Nous nous sommes donc hâtés de rejoindre la ville la plus proche : Drannosis. Arrivés à Drannosis, nous étions morts de faim et étions prêt à tout pour avoir quelque chose à croquer. Nous nous jetâmes donc sur un homme âgé d'une cinquantaine d'année mais dont les cheveux était encore bruns et qui portait un pain sous le bras. Nous le prîmes chacun par un bras et l'emmenâmes gentiment dans une ruelle où nous récupérâmes le pain. Le problème était que l'homme que nous avions volé se trouvait en fait être le chef de la Guilde des Voleurs ce qui posa un sérieux problème car nous fûmes tout de suite encerclés par une dizaine d'hommes cachés dans l'ombre. Nous fûmes capturés et emmenés dans les égouts de la ville.
En me réveillant, j'avais les poignets liés dans le dos qui me faisaient atrocement mal. Je tombai à nouveau dans les pommes et fut réveillé par un sceau d'eau bien fraiche dans le visage. On nous assit sur une chaise et nous délia les mains. Nous ne firent même pas le moindre geste brusque pour essayer de nous échapper car nous savions qu'il était impossible de fuir se faire rattraper dans les cinq secondes. Nous écoutâmes donc ce que ces voleurs avaient à nous dire.
-Vous avez de l'audace pour essayer de me voler. Soit vous êtes fous soit vous ne saviez pas que je suis le chef de la Guilde des Voleurs.
-Nous venons de la région d'Inim. Nous n'avons pas mangé depuis trois jours et c'est pour cela que nous vous avons attaqué, pour vous voler votre pain afin de pouvoir manger.
-Vous êtes audacieux. J'ai justement besoin de nains comme vous pour aller espionner le roi à Rithar Nartum.
-Nous nous y rendions justement pour y vivre. Mais je vous avoue qu'espionner mes frères me fait mal au cœur.
-C'est soit ça, soit la mort.
-Bon, eh bien, nous espionnerons le roi alors. Pouvons-nous avoir quelque chose à manger, nous mourrons de faim et ne pourrons jamais arriver jusqu'à Rithar Nartum si nous ne mangeons pas tout de suite.
Après nous être restaurés pendant toute la journée, le lendemain matin, à l'aube, nous partîmes sur deux bourriques afin d'aller plus vite. Au bout de deux jours, nous arrivâmes à destination et empruntèrent les labyrinthes sous-terrains afin de rentrer dans la cité sous-terraine. Après une longue journée de marche dans les sous-terrains humides et sombres, nous arrivâmes dans la ville. Cette ville splendide attirait l'œil pour sa sculpture. Sur chaque place, on pouvait trouver une statue de nain ayant accompli un acte important pour son peuple, les tavernes dominaient dans la ville et le peu de naines aperçus resplendissaient de beauté. On pouvait voir largement dépasser au niveau de la taille un grand palais. Le roi devait sûrement y vivre donc sur ce, nous nous regroupâmes et nous dirigeâmes vers ce palais. Arrivé devant, mon cousin, Tharin observa avec admiration le garde du palais. Je m'adressais donc moi-même au garde.
-Mon salut mon frère, je souhaiterais dialoguer avec notre roi.
-En quelle honneur?
-Nous avons une information urgente à lui remettre.
-A propos de?
*Chuchote à l'oreille du garde*- De la Guilde des Voleurs de Drannosis.
*Le garde pousse une exclamation d'étonnement*- Entrez, je vous en prie!
Après de multiples rencontres dans le palais, nous finîmes par avoir une audience privée avec le roi. Nous lui relatâmes ce qui nous était arrivé depuis l'arrivée des trois hommes chez nous.
-Vous avez bien fait de m'en parler, ces voleurs sont vraiment malfaisants. Ils veulent à tout prix s'approprier ma hache qui est faite avec les matériaux les plus rares que l'on puisse trouver! Pour vous remercier, NaNaSHi, je vais t'intégrer dans le Grand Conseil et toi, Tharin, je vais t'intégrer dans la garde.N'est-ce point ce que tu voulais?
-Si, messire.
-Eh bien, parfait. NaNaSHi, on se revoit dans dix jours pour le Grand Conseil.
APrès dix longues années de siège au Grand Conseil, NaNaSHi finit par devenir conseiller du roi et Tharin devient lui, le chef de la garde royale.
Mon histoire
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Dernière modification par nanashi le 05 juin 2008, 04:23, modifié 6 fois.
Chapitre 1: L'annonce d'une grande guerre
Je m'endormis sur ma paillasse sous la poutre instable de ma forge où je vivais depuis mon arrivée sur Seridia.
Durant mon rêve, ma vie avant mon arrivée dans ces contrée défila devant moi. J'aperçus une vague forme de montagne puis, ma vue se clarifia et je pénétrai dans les soutterrains de ses montagne éclairés par des torches. Je parcouru une longue distance dans ce labyrinthe de souterains creusés dans du granit. Magnifique travail, me dis-je tout en continuant ma route. A la fin de ma longue promenade dans ses souterrains je me re retrouvai dans une immense cité naine. Je lus sur un panneau : " Rithar Nartum". Quel nom étrange me dis-je!
En face de moi, à quelques centaines de mètres se tenaient deux portes immenses gardées par deux soldats nains à l'allure fière. Ils portaient deux haches en titane, et un équipement complet en acier. Les forgerons de la cité semblaient donc être très bons. Sur leurs armures, on pouvait distinguer un aigle couleur rouge sans, sans aucun doute l'emblème de la cité. Un des gardes s'aproche de moi en m'appelant Messire NaNaSHi et me demande de bien vouloir entrer dans la salle se situant derrière ces deux portes imposantes. Je suivis le garde, étonné de me faire appeler Messire et entrait dans la pièce où le vieil homme qui semblait être le roi du fait de sa couronne me pria de s'asseoir à ses côtés. Le roi commença à parler de la situation financière de la cité qui était en baisse ce qui posait problème quant à nourrire toutes les troupes. Soudain, un garde entra à la hâte dans la pièce.
-Que t'arrive-t'il mon cher Tharin, le questionna le roi.
-Messires, une armée d'environ 10 000 orcs est entrée dans les souterrains et ils arriveront ici très vite car il semble que des magiciens leurs montrent la voix pour pénétrer dans la cité.
-Messieurs, l'heure est grave. Mon cher conseiller, qu'en pensez-vous?
Personne ne semblait répondre alors, je pris la parole.
-Vous m'en voyez sans voix, c'est la plus grande armée dont j'ai entendu parler depuis je vis par Nartum! Pour moi nous avons deux choix. Soit combattre l'ennemi et mourir avec honneur et en défendant le nom de notre cité, soit fuir. Le seul moyen de fuir est de passer par le souterrain secret situé dans cette pièce. Mon avis se tourne vers le combat. Notre race n'est pas lâche! Nous ne sommes que 5000 mais au moins, battons nous fièrement.
-Votre avis est toujours aussi intéressant. J'accompagnerais les nains qui souhaitent fuir, les femmes et les enfants et je te confie le commandement de l'armée ainsi que la défense de la cité. Que Nartum soit avec toi! Tharin, occupe toi de rassembler tous les hommes, femmes et enfants qui veulent fuir. Je m'occupe de tenir mon discours pour informer les nains de cette attaque.
Je m'endormis sur ma paillasse sous la poutre instable de ma forge où je vivais depuis mon arrivée sur Seridia.
Durant mon rêve, ma vie avant mon arrivée dans ces contrée défila devant moi. J'aperçus une vague forme de montagne puis, ma vue se clarifia et je pénétrai dans les soutterrains de ses montagne éclairés par des torches. Je parcouru une longue distance dans ce labyrinthe de souterains creusés dans du granit. Magnifique travail, me dis-je tout en continuant ma route. A la fin de ma longue promenade dans ses souterrains je me re retrouvai dans une immense cité naine. Je lus sur un panneau : " Rithar Nartum". Quel nom étrange me dis-je!
En face de moi, à quelques centaines de mètres se tenaient deux portes immenses gardées par deux soldats nains à l'allure fière. Ils portaient deux haches en titane, et un équipement complet en acier. Les forgerons de la cité semblaient donc être très bons. Sur leurs armures, on pouvait distinguer un aigle couleur rouge sans, sans aucun doute l'emblème de la cité. Un des gardes s'aproche de moi en m'appelant Messire NaNaSHi et me demande de bien vouloir entrer dans la salle se situant derrière ces deux portes imposantes. Je suivis le garde, étonné de me faire appeler Messire et entrait dans la pièce où le vieil homme qui semblait être le roi du fait de sa couronne me pria de s'asseoir à ses côtés. Le roi commença à parler de la situation financière de la cité qui était en baisse ce qui posait problème quant à nourrire toutes les troupes. Soudain, un garde entra à la hâte dans la pièce.
-Que t'arrive-t'il mon cher Tharin, le questionna le roi.
-Messires, une armée d'environ 10 000 orcs est entrée dans les souterrains et ils arriveront ici très vite car il semble que des magiciens leurs montrent la voix pour pénétrer dans la cité.
-Messieurs, l'heure est grave. Mon cher conseiller, qu'en pensez-vous?
Personne ne semblait répondre alors, je pris la parole.
-Vous m'en voyez sans voix, c'est la plus grande armée dont j'ai entendu parler depuis je vis par Nartum! Pour moi nous avons deux choix. Soit combattre l'ennemi et mourir avec honneur et en défendant le nom de notre cité, soit fuir. Le seul moyen de fuir est de passer par le souterrain secret situé dans cette pièce. Mon avis se tourne vers le combat. Notre race n'est pas lâche! Nous ne sommes que 5000 mais au moins, battons nous fièrement.
-Votre avis est toujours aussi intéressant. J'accompagnerais les nains qui souhaitent fuir, les femmes et les enfants et je te confie le commandement de l'armée ainsi que la défense de la cité. Que Nartum soit avec toi! Tharin, occupe toi de rassembler tous les hommes, femmes et enfants qui veulent fuir. Je m'occupe de tenir mon discours pour informer les nains de cette attaque.
Dernière modification par nanashi le 05 juin 2008, 03:12, modifié 1 fois.
Chapitre 2: La bataille fait rage
-Etes vous prêts à défendre cette cité et votre honneur? m'écriai-je
-Oui! s'écria le peuple nain d'une seule voix quand d'un coup ils furent encerclés par une armée d'orcs.
-Tirez, m'écriai-je.
Le déclic des arbalètes retentit et une volée de flèches transperça les orcs ennemi ce qui en fit tomber quelques uns.
-Un cyclope! s'écria la vigie
-Laissez-le moi, hurlais-je
Je me frayais un chemin à travers les orcs à coup de hache en titane. les orcs tombaient par dixaine autour de moi et je finis par atteindre le cyclope. Le cyclope balaya l'air d'un coup de massue que j'amortis sur mon bouclier pour ensuite lui planter sa hache dans la cuisse. Le cyclope esquissa une grimace, enfin ce qui me semblait être une grimace.Je retirai ma hache avec difficulté et le cyclope en profita pour m'écraser l'épaule gauche avec un énorme coup de poing. Je fis ensuite tournoyer ma hache à une vitesse impressionnate, force que je n'aurais jamais cru posséder et d'un coup, fis un bond impressionant à hauteur de ses genoux alors que je portais une armure en titane et découpai le cyclope au niveau du ventre qui tomba à genoux puis s'effondra. Je sentis alors une épée entailler mon dos. Je me retournais précipitament et trancha la tête de l'orc en question. Je tombai ensuite sur le dos. J'observais alors le plafond de cette cité incrusté de toutes sortes de pierres précieuses que je ne reverrais plus jamais avant de m'évanouir, j'avais trop perdu de sang.
-Etes vous prêts à défendre cette cité et votre honneur? m'écriai-je
-Oui! s'écria le peuple nain d'une seule voix quand d'un coup ils furent encerclés par une armée d'orcs.
-Tirez, m'écriai-je.
Le déclic des arbalètes retentit et une volée de flèches transperça les orcs ennemi ce qui en fit tomber quelques uns.
-Un cyclope! s'écria la vigie
-Laissez-le moi, hurlais-je
Je me frayais un chemin à travers les orcs à coup de hache en titane. les orcs tombaient par dixaine autour de moi et je finis par atteindre le cyclope. Le cyclope balaya l'air d'un coup de massue que j'amortis sur mon bouclier pour ensuite lui planter sa hache dans la cuisse. Le cyclope esquissa une grimace, enfin ce qui me semblait être une grimace.Je retirai ma hache avec difficulté et le cyclope en profita pour m'écraser l'épaule gauche avec un énorme coup de poing. Je fis ensuite tournoyer ma hache à une vitesse impressionnate, force que je n'aurais jamais cru posséder et d'un coup, fis un bond impressionant à hauteur de ses genoux alors que je portais une armure en titane et découpai le cyclope au niveau du ventre qui tomba à genoux puis s'effondra. Je sentis alors une épée entailler mon dos. Je me retournais précipitament et trancha la tête de l'orc en question. Je tombai ensuite sur le dos. J'observais alors le plafond de cette cité incrusté de toutes sortes de pierres précieuses que je ne reverrais plus jamais avant de m'évanouir, j'avais trop perdu de sang.
Chapitre 3 : Mon arrivée dans les Landes
Je me réveillai et m'aperçus que je me trouvais dans un bateau à rames. J'étais ligoté au mat permettant à la vigie d'observer l'horizon. Un orc m'aperçut, m'attrapa par le bras, me défis de mes liens et m'emmena à l'étage inférieur pour ramer avec mes frères nains. Cela me rendis le sourire de voir que je n'étais pas le seul rescapé. Nous ramions jusqu'à l'épuisement quand soudain, la calle où ne nous trouvions n’était gardée que par un orc qui n’était armé que d’un fouet. Alors, quand il me tourna le dos, je lui couvre la bouche avec mes mains et lui romps la nuque. Alors, tous les nains se levèrent et me suivrent sur le pont du bateau. J’étranglais le garde le plus proche avec le fouet et il tomba sans un bruit. Je fis signe à tous mes compatriotes de sortir et tout le monde fonça sur les orcs les plus proches. Malgré quelques morts de notre côté, nous n’étions plus des esclaves car nous avions éliminé tous les ennemis. Je m’apprêtais à prendre le gouvernail en main pour esquiver un rocher sur lequel nous foncions quand je me rendis compte que je n’en étais pas capable et que pour couronner le tout, le capitaine du bateau avait coupé la partie du bas du gouvernail ce qui m’empêchais donc de pouvoir esquiver ce rocher. J’attrapais alors un tonneau de vin en conseillant à mes frères de faire la même chose et je sautai ensuite à l’eau.
Le soleil était lourd d’autant que mes bras commençaient à fatiguer et j’étais triste car aucun de mes frères n’avaient survécues car ils ne savaient pas nager.
J’errai alors longtemps dans la mort quand, malgré ma vue troublée par la fatigue et le manque de nutrition, j’aperçus un vague petite îles, je pataugeais comme je pouvais malgré la fatigue et je finis par atteindre cette île sous le nom de l’île du Trépond.
(la nouveauté est le prologue au premier post)
Je me réveillai et m'aperçus que je me trouvais dans un bateau à rames. J'étais ligoté au mat permettant à la vigie d'observer l'horizon. Un orc m'aperçut, m'attrapa par le bras, me défis de mes liens et m'emmena à l'étage inférieur pour ramer avec mes frères nains. Cela me rendis le sourire de voir que je n'étais pas le seul rescapé. Nous ramions jusqu'à l'épuisement quand soudain, la calle où ne nous trouvions n’était gardée que par un orc qui n’était armé que d’un fouet. Alors, quand il me tourna le dos, je lui couvre la bouche avec mes mains et lui romps la nuque. Alors, tous les nains se levèrent et me suivrent sur le pont du bateau. J’étranglais le garde le plus proche avec le fouet et il tomba sans un bruit. Je fis signe à tous mes compatriotes de sortir et tout le monde fonça sur les orcs les plus proches. Malgré quelques morts de notre côté, nous n’étions plus des esclaves car nous avions éliminé tous les ennemis. Je m’apprêtais à prendre le gouvernail en main pour esquiver un rocher sur lequel nous foncions quand je me rendis compte que je n’en étais pas capable et que pour couronner le tout, le capitaine du bateau avait coupé la partie du bas du gouvernail ce qui m’empêchais donc de pouvoir esquiver ce rocher. J’attrapais alors un tonneau de vin en conseillant à mes frères de faire la même chose et je sautai ensuite à l’eau.
Le soleil était lourd d’autant que mes bras commençaient à fatiguer et j’étais triste car aucun de mes frères n’avaient survécues car ils ne savaient pas nager.
J’errai alors longtemps dans la mort quand, malgré ma vue troublée par la fatigue et le manque de nutrition, j’aperçus un vague petite îles, je pataugeais comme je pouvais malgré la fatigue et je finis par atteindre cette île sous le nom de l’île du Trépond.
(la nouveauté est le prologue au premier post)
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