Quelques mots à la dérive

[Eskrok]

Mélancolie grisé
Sur fond de teint
Ou sentiment prisé
Mais assez restreint
Et puis c'est tout
Comment dire la vérité
Sur un coup de sang,
On en envois partout
Jusqu'à parcourir ,éternité
On en oublis surtout
Le regard se perd
On ressent la solitude
Les liens se resserrent
Mirage ou plénitude
Plutôt traversé du désert
Et puis on marche, on trépasse
Mort abusif ou vie nocturne dépressif
Le passé nous suis a la trace
Une dérive, incompréhensif
Le temps s'écoule...
A bout de souffle...
Le Corp s'écroule
S'étouffe...

[Eskrok]

J'ai vécu mais comment définir un massacre
la vie chute dans les choix qu'on consacre
s'assagir regard figer ,planer dans les nuages
l'ami te sourit de pièces d'or remplis un sac
mais tous perdus dans le rivage
je perd mon temps a rester immobile pendant que la terre tourne
et que le ciel nous contemple tous
a rester au dépôt avec ma famille le village
j'ai vécu mais comment vous dire ce que j'ressent
dans mes gênes , qu'es ce qui me pousse ,qu'es ce que j'ai dans le sang ?
l'avenir attristé frustré ,esprit maussade
les doux souvenirs ,soupire sur quelques mots fade
s'étouffer sur des soucis ,s'enfuir dans les fou rire
un souffle ,un long récit de lames aiguiser sur des sourires
parfois de larmes essuyer sur des souvenirs
penser a retourner sur la terre de nos pères motive a survivre
mais tout nos rêvés part a la dérive
un parchemin dissimulé à la bouteille aux bord des rives
sous la pluie comme on dit les larmes de ce monde
pour finir c'est pas l'amour mais la mort qui fait tourner le monde...

[Eskrok]

Ces endroits où la vie d'homme ne vaut plus rien
Chaque coin du monde, ces endroits de l'enfant souvenir restreint
ne joue plus serein, ces coins du monde où l'on sait ce que c'est que la fin
Leur blessure profonde comparable à un ravin
Et tous ces terres où seul les morts connaissent la paix
Faille d'une utopie la guerre passe, le silence est paix
sacrée faucheuse les femmes n'en peuvent plus de courir
La beauté de ce monde c'est faste qu'on rêve de parcourir
Un long texte comme décrire cette envie de fuir
Oublier le pire se mettre ivre pour le fou-rire
On se sent minuscule et incertain
On méprise cette terre et on la fouille d'un air hautain
Remplacer le soleil par mirage le matin
entre villageois
On parle commerce loin du rivage c'est mourir sans voir loin
Ce n'est pas l'amour mais la mort qui fait tourner le monde
caprice souffrance dans un champ de corps immonde
Notre univers on s'entre-tue pour un long test
Où ça fourgue la mort mon contexte une montée d'ivresse
depuis tout ça Faut que je plane pour que ça tourne en rond
Chaque coin du monde on brûle tout pour dire que nous souffrons...