Chant à Ange Noir
De par les femelles vivant en cette terre,
Errant là en Séridia, Errant là en Irilion,
Une seule d’elle enjolive ces vers,
Un honneur accordé gagnant ma protection,
Une vie l’on me donna pour la servir,
Car un mâle entre tous elle a choisit,
Pour toujours je me dois d’obéir,
À la volonté de cette femelle de la nuit,
Ange, si belle si délicieuse,
Je me plierai devant tes désirs,
Pour qu’à jamais tu ne sois malheureuse,
Auquel cas le fouet viendra me punir,
De par les femelles vivant en cette terre,
Aucun autre mâle ne peut l’embrasser,
Une seule enjolive ces vers,
Car je serai pour toujours à ses pieds,
Les vers d'un Sombre Elfes
- Mageinvok
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Les vers d'un Sombre Elfes
Dernière modification par Mageinvok le 08 mai 2008, 06:46, modifié 1 fois.


De peur de rapetisser, nous oublions de grandir.
De peur de pleurer, nous oublions de rire.
- PAULO COELHO -
- Mageinvok
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Mage Invok quitta le tumulte des places publiques et se recueillit dans un lieux sombre et peu fréquenté. Il y a bien longtemps que sa vie d'avant, comme il l'appelait, ne l'avait pas torturée. Peut-être ses nouvelles fonctions au sein de son clan le poussaient-elles à chercher des réponses. Un questionement vains, certes ...
Amnésie
Dans les noirs désirs de mon âme,
Vit une rage ardente qui s'enflamme,
Tel fil aiguisée d'un belle lame,
Ignorant de mes origines d'avant,
Cherchant des réponses me manquant,
Qui, quoi, où, quand, comment?
La plaie dans ma mémoire oublier,
Ne cessera jamais de saigner,
Vivant dans ma vie scinder,
Qu'étais-je avant, que suis-je aujourd'hui?
Vivrais-je pour qu'elle me fuit,
Cette mémoire qui m'a détruit.
Amnésie
Dans les noirs désirs de mon âme,
Vit une rage ardente qui s'enflamme,
Tel fil aiguisée d'un belle lame,
Ignorant de mes origines d'avant,
Cherchant des réponses me manquant,
Qui, quoi, où, quand, comment?
La plaie dans ma mémoire oublier,
Ne cessera jamais de saigner,
Vivant dans ma vie scinder,
Qu'étais-je avant, que suis-je aujourd'hui?
Vivrais-je pour qu'elle me fuit,
Cette mémoire qui m'a détruit.
Dernière modification par Mageinvok le 17 juin 2008, 03:28, modifié 1 fois.


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Mage Invok entendis les cris de douleurs de sa Mrinn z'ress, impuisant devant son destin. Il aurait voulu soufrir pour elle, cela ne devait pas...
Il aurait voulut mourir pour elle, cela ne devait pas... Pas cette nuit là. Seule, désespérée, matirisée, violentée, lacérée, torturée... il ne pouvait rien contre la volonté d'Ange Noir. Elle lui ordonna de demeurer impassible, d'ignorer sa soufrance et ses tortures.
Ténèbres des Landes
Que de lunes passée dans le noir,
À mourir de rage et savourer mon désespoir,
Oh ! Landes,
Terre cruel des ses beautés,
Oh ! Landes,
Terre obscure dans l'immensité,
J'obsessive ta grande richesse,
Qui malicieuse tes colères,
Je désespoire de maigres vers,
Par servitude, dévotion, Mrinn z'ress,
Une plume tachée,
Un parchemin effrité,
Une encre sèchée,
Pour une femelle de beauté,
Fouet, sang et douleur,
Violence et soumission,
Tel serais-je en valeur,
Pour celle qui m'honneur de sa domination,
Il aurait voulut mourir pour elle, cela ne devait pas... Pas cette nuit là. Seule, désespérée, matirisée, violentée, lacérée, torturée... il ne pouvait rien contre la volonté d'Ange Noir. Elle lui ordonna de demeurer impassible, d'ignorer sa soufrance et ses tortures.
Ténèbres des Landes
Que de lunes passée dans le noir,
À mourir de rage et savourer mon désespoir,
Oh ! Landes,
Terre cruel des ses beautés,
Oh ! Landes,
Terre obscure dans l'immensité,
J'obsessive ta grande richesse,
Qui malicieuse tes colères,
Je désespoire de maigres vers,
Par servitude, dévotion, Mrinn z'ress,
Une plume tachée,
Un parchemin effrité,
Une encre sèchée,
Pour une femelle de beauté,
Fouet, sang et douleur,
Violence et soumission,
Tel serais-je en valeur,
Pour celle qui m'honneur de sa domination,


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La Fleur
J’ai vu un rayon de lumière après avoir traversé le styx
Une fleur s’ouvre après l’hiver sous la neige écrasé et fix
Sa conscience se remet à respirer la brume de l’aube
Mais ses consoeurs du jardin ont quitter l’aurore
Elle se demande comment elle a résisté devant la défaite face à la neige
Et a espérer l’été pour forger des racines solide comme une quête
Pour que l’automne la transforme en teint de jaune
Un sourir lumineux qu’elle crois n’être qu’un simple songe
Qui est maintenant le retour de sa floraison
Mage Invok écrase cette stupide fleur de sa botte. Mais qu'est qui lui prend à regarder les végétaux...
J’ai vu un rayon de lumière après avoir traversé le styx
Une fleur s’ouvre après l’hiver sous la neige écrasé et fix
Sa conscience se remet à respirer la brume de l’aube
Mais ses consoeurs du jardin ont quitter l’aurore
Elle se demande comment elle a résisté devant la défaite face à la neige
Et a espérer l’été pour forger des racines solide comme une quête
Pour que l’automne la transforme en teint de jaune
Un sourir lumineux qu’elle crois n’être qu’un simple songe
Qui est maintenant le retour de sa floraison
Mage Invok écrase cette stupide fleur de sa botte. Mais qu'est qui lui prend à regarder les végétaux...


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Pensées Chaotiques
Ensorcèle. Vibrer. Feu. Illégal.
Transperce. Chaleur. Nuit. Rare.
Passion. Contrôle. Clandestin. Instinct.
Complice. Crime... Hors La Loi. Victoire.
Lune. Noir. Ténêbres. Lame.
Venin. Langue. Joyaux. Pouvoir.
Meurtre. Sang. Survivre. Être.
Clan. Divinité. Éternité. Hypnotiser.
Chair. Pierre. Braise. Éclair!
Domination. Pudeur. Fierté. Sagesse.
Folie. Espoir... Chimère. Nues.
Ciel. Certitude. Sauvage. Rite.
...
Ensorcèle. Vibrer. Feu. Illégal.
Transperce. Chaleur. Nuit. Rare.
Passion. Contrôle. Clandestin. Instinct.
Complice. Crime... Hors La Loi. Victoire.
Lune. Noir. Ténêbres. Lame.
Venin. Langue. Joyaux. Pouvoir.
Meurtre. Sang. Survivre. Être.
Clan. Divinité. Éternité. Hypnotiser.
Chair. Pierre. Braise. Éclair!
Domination. Pudeur. Fierté. Sagesse.
Folie. Espoir... Chimère. Nues.
Ciel. Certitude. Sauvage. Rite.
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Re: Les vers d'un Sombre Elfes
L'aigle noir
Un beau jour,
Ou peut-être une nuit,
Près d'un lac,
Je m'étais endormie,
Quand soudain,
Semblant crever le ciel,
Et venant de nulle part,
Surgit un aigle noir,
Lentement,
Ses ailes déployées,
Lentement,
Je le vis tournoyer,
Près de moi,
Dans un bruissement d'ailes,
Comme tombé du ciel,
L'oiseau vint se poser,
Il avait, les yeux couleurs d'une île,
Et des plumes, aux couleurs de la nuit,
À son front, brillant de mille feux,
L'oiseau-roi couronné,
Portait un diamant bleu,
De son bec, il a touché ma joue,
Dans ma main, il a glissé son cou,
C'est alors, que je l'ai reconnu,
Surgissant du passé,
Il m'était revenu,
Dis l'oiseau,
Oh! Dis emmène-moi,
Retournons au pays d'autrefois,
Comme avant,
Dans mes rêves d'enfant,
Pour cueillir en tremblant des étoiles, des étoiles,
Comme avant,
Dans mes rêves d'enfant,
Comme avant,
Sur un nuage blanc,
Comme avant,
Rallumer le soleil,
Être faiseur de pluie,
Et faire des merveilles,
L'aigle noir,
Dans un bruissement d'ailes,
Prit son vol,
Pour regagner le ciel,
Un beau jour,
Ou peut-être une nuit,
Près d'un lac,
Je m'étais endormie,
Quand soudain,
Semblant crever le ciel,
Et venant de nulle part,
Surgit un aigle noir,
Lentement,
Ses ailes déployées,
Lentement,
Je le vis tournoyer,
Près de moi,
Dans un bruissement d'ailes,
Comme tombé du ciel,
L'oiseau vint se poser,
Il avait, les yeux couleurs d'une île,
Et des plumes, aux couleurs de la nuit,
À son front, brillant de mille feux,
L'oiseau-roi couronné,
Portait un diamant bleu,
De son bec, il a touché ma joue,
Dans ma main, il a glissé son cou,
C'est alors, que je l'ai reconnu,
Surgissant du passé,
Il m'était revenu,
Dis l'oiseau,
Oh! Dis emmène-moi,
Retournons au pays d'autrefois,
Comme avant,
Dans mes rêves d'enfant,
Pour cueillir en tremblant des étoiles, des étoiles,
Comme avant,
Dans mes rêves d'enfant,
Comme avant,
Sur un nuage blanc,
Comme avant,
Rallumer le soleil,
Être faiseur de pluie,
Et faire des merveilles,
L'aigle noir,
Dans un bruissement d'ailes,
Prit son vol,
Pour regagner le ciel,
Parole de la chanson "l'aigle noir" de Marie Carmen.
Édit : Mille excuses, on m'a informé que l'auteure originale de cette chanson est nulle autre que Barbara. Donc : Parole de la chanson " L'aigle noir " écrite, composée et chatée par Barbara, (par la suite reprise par Marie Carmen)


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De peur de pleurer, nous oublions de rire.
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